Déconfinement :
les cérémonies religieuses sont à nouveau autorisées
Un décret
a été publié au Journal officiel dans la nuit. Les fidèles devront
obligatoirement respecter les gestes barrières et la distanciation physique.
Le ministre de l'Intérieur et les responsables des cultes se sont accordés lors d'une réunion « sur les mesures à prendre pour assurer la sécurité sanitaire de tous », a expliqué le ministère dans un communiqué peu avant la publication du décret. Cette concertation s'est imposée au gouvernement après que le Conseil d'État lui a ordonné lundi de lever dans un délai de « huit jours » l'interdiction totale de réunion de cultes figurant dans le décret de déconfinement du 11 mai.
« Si l'on ne peut plus rendre hommage décemment à ses morts, à quoi sert d'être un homme ? »
« Si l'objectif d'une reprise généralisée des cérémonies religieuses reste le 3 juin », rappelle le ministère, « il sera ainsi possible […] de célébrer à nouveau, progressivement, des offices » à compter de la parution du décret.
Les gestionnaires des lieux de culte et organisateurs des cérémonies devront notamment s'assurer que les fidèles respectent les gestes barrières et la distanciation physique, portent un masque et se désinfectent les mains. À l'entrée du lieu de culte, une personne devra aussi réguler les flux pour ne pas dépasser une jauge maximale de fréquentation.
Le Vatican déconfine, Saint-Pierre rouvre ses portes
Réouverture la veille du dimanche de Pentecôte
Les mesures s'appliquent à « toute personne de onze ans et plus qui
accède ou demeure dans ces établissements », selon le décret. « Les
préfets de département pourront interdire l'ouverture ou ordonner la fermeture
d'un lieu de culte si ces règles ne sont pas respectées », précise le
ministère. « Nous avons travaillé et trouvé une solution pour permettre la
reprise des cérémonies religieuses tout en assurant la protection sanitaire de
chacun », se félicite Christophe Castaner dans le communiqué.notre grand entretien avec Mgr Rougé
La reprise des célébrations avec public avait d'abord été annoncée pour le 2 juin, avant que le Premier ministre n'évoque la date du 29 mai. L'épiscopat catholique a fait pression ces dernières semaines pour que ce soit effectif pour le dimanche de Pentecôte, le 31 mai.
L'Aïd el-Fitr, la fête de la rupture du jeûne qui marque la fin du mois sacré de ramadan, aura lieu dimanche, a annoncé vendredi soir le Conseil français du culte musulman (CFCM). Cette fête est traditionnellement célébrée par des grandes prières collectives en début de matinée. Avant la publication du décret, le CFCM a rappelé vendredi que ces prières ne pouvaient avoir lieu cette fois dans les mosquées.
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Car pour
prier, on n’a besoin d’être en foule dans des lieux confinés, comme ceux de
cultes, églises ou mosquées qui ne sont pas toutes fermées d’ailleurs, mais simplement
contingentées en nombre de pratiquants présents ces religions dans chaque lieu culte pour
éviter la transmission du virus entre eux !
Le 1er
ministre a fait fermer les parcs et jardins de la capitale pourtant à l’air
libre par exemple, mais la peur des religieux et leurs religions fait plus peur
à l’état semble-t-il dans notre France du XXI eme siècle qui régresse ?!
La peste au moyen-âge
très religieuse n’a pas été évité à cause de la religion omni présente à cette
époque de notre histoire ancienne !?
Rappelons-nous
quand même que c'est un rassemblement religieux qui a déclenché le plus gros
cluster dans l’est à Mulhouse et a infecté tout le grand est en France !
Un peu de
bon sens ne ferait-il, pas de mal, plutôt que de la mauvaise politique basique bornée
!
Jdeclef 23/05/2020
12H13
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