lundi 25 mai 2020

Un virus et pandémie qui se transforme en crise sanitaire majeure et économique qui a mis notre pays à genoux !


Coronavirus : les plaintes contre le gouvernement s'accumulent

VIDÉO. Il est majoritairement reproché aux ministres d'avoir volontairement refusé de prendre certaines mesures contre l'épidémie, explique le « JDD ».

Ils sont médecins, détenus, élus ou candidats aux élections municipales. Tous dénoncent la gestion par l'exécutif de la crise du coronavirus et estiment en avoir personnellement été victimes, au point de se tourner désormais vers la justice. Le 12 mai dernier, le procureur général François Molins annonçait « 63 plaintes déposées auprès de la Cour de justice de la République », seule instance habilitée à juger des actes commis par des membres du
BHL – 63 plaintes ? Pitié pour la République
Ce dimanche, le JDD nous apprend que de nouvelles plaintes ont été déposées, 71 au total, et que le rythme ne fléchit pas. Toutes, ou presque, visent Édouard Philippe, responsable pénalement des actes du gouvernement, le président étant irresponsable au cours de son mandat, et sont également dirigées contre différents ministres, Agnès Buzyn et Olivier Véran en tête, suivis par Nicole Belloubet et, dans une moindre mesure, Christophe Castaner et Muriel Pénicaud.
Coronavirus : les fautes qui pourraient être reprochées à l'État

Les déclarations de Buzyn ont ouvert la voie Si Me Hervé Banbanaste, qui représente une candidate aux municipales contaminée, concède que « beaucoup de plaintes ne sont pas crédibles », écrites par des particuliers avec d'inévitables imprécisions juridiques, d'autres sont rédigées par des avocats à l'argumentaire étalé parfois sur plusieurs dizaines de pages. Mais tout cela va être regroupé, selon Me Fabrice Di Vizio, qui représente trois médecins du collectif C19, afin de « raccrocher les plaintes des citoyens au wagon » des avocats.
« En communication de crise, la reconnaissance des failles se transforme en force »
La majeure partie des plaintes s'appuie, selon le JDD, sur l'article 223-7 du Code pénal, selon lequel « quiconque s'abstient volontairement de prendre ou de provoquer les mesures permettant, sans risque pour lui ou pour les tiers, de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende ».
Les déclarations d'Agnès Buzyn dans Le Monde le 17 mars dernier, ont, pour beaucoup, ouvert la voie. En expliquant au quotidien du soir avoir prévenu dès janvier son gouvernement des risques que représentait le coronavirus, l'ex-ministre de la Santé a tendu à prouver que l'absence de mesures de lutte contre l'épidémie était délibérée, une décision consciente et réfléchie. Ainsi, les médecins représentés par Me Di Vizio cherchent à savoir « s'ils ont été de la chair à canon », « envoyés au combat sans protection », tandis qu'un groupe de candidats et militants LR infectés après le premier tour des municipales, maintenu coûte que coûte, s'en prend au ministère de l'Intérieur.
 Pénurie de masques : à qui la faute ?
L'important est, selon l'avocat, de tirer les choses au clair. « Que Mme Buzyn ait une dispense de peine ou trois mois avec sursis, ce n'est pas ce qui importe, explique-t-il au JDD. Un homme qui ne connaît pas son histoire s'expose à la revivre. »
À Nîmes, Me Khadija Aoudia a déposé plainte fin mars au nom d'une cinquantaine de détenus et reste optimiste quant à la future instruction de cette plainte. « Même s'il semblerait que la règle soit le classement sans suite, dans notre cas, il y a de tels manquements qu'il serait surprenant de ne pas ouvrir d'information judiciaire. »
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On peut reprocher à nos dirigeants donneurs de leçons bienpensant, c’est de n’avoir pas prévu l’arrivée de ce virus, d’avoir réagi avec retard et de ne pas avoir pris de fait les mesures urgentes possibles, sans compter avoir menti sur les manques de matériels et protections divers comme les masques par exemple !

Pour les virus, ce n’était pas une surprise ils passent au-dessus de notre pays depuis des décennies comme le SRAS, MERS et autres etc. moins virulents que celui-là, pourtant les épidémies mortelles, on en a subi de nombreuses depuis le moyen-âge et on les a vaincues (mais pas toutes pour certains virus) qui reviennent comme nos guerres entre humains qui ont tendance à oublier trop vite leurs malheurs et ne pas en tirer les leçons !

La gestion désordonnée de cette crise sanitaire les a dépassés, car ce ne sont que des politiciens élus bornés à l’esprit sclérosé par leurs mauvaises politiques habituelles, leurs égos et leurs conforts matériels, raison pour laquelle ils s’accrochent à ce pouvoir qu’on leur a donné en les élisant !

Depuis le début de cette crise avec leur confinement et déconfinement miracle on ne s’y retrouve plus, car avec des résultats aléatoires qui n’élimine pas le virus ?!

Pour le reste, il y a la justice, mais surtout le droit qui les protège, car ils sont peut-être responsables, mais pas coupables pénalement, d’ailleurs certains ont été infectés par ce virus, mais avoir ciblé les personnes âgées devenues inutiles dans leurs EPADH ou ailleurs et ce n’est pas fini est inqualifiable et mérite sanction !

Qui devrait être dans l’avenir, une interdiction pure et simple de tous mandats politiques électifs ou gestion d’administrations dans notre pays !

Les français peuvent râler, traîner en justice leurs dirigeants (hormis notre pseudo monarque protégé par son immunité présidentielle) ils ne risquent pas grand-chose et certains auront même le culot de se représenter à de prochaines élections !

Mais ça, c'est la FRANCE...

Jdeclef 25/05/2020 09h55

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