lundi 25 mai 2020

Comme d'habitude nos dirigeants et leurs équipes de ministres avec leurs administrations kafkaïennes pilotées par des fonctionnaires bornés :


Coignard – Vivement la trêve des confineurs !

CHRONIQUE. Les règles de levée progressive du confinement deviennent chaque jour plus illisibles. Au risque de décourager le citoyen ordinaire.

Quand je me regarde, je me désole. Quand je me compare, je me console. » L'exécutif ne pourra pas faire sienne très longtemps cette maxime de Talleyrand. La plupart de nos voisins européens accélèrent leurs procédures de sortie du confinement. Les bars et les restaurants ont d'ores et déjà rouvert leurs portes ou leurs terrasses en Italie et en Espagne. Ces deux pays, comme le Portugal, certes moins touché par l'épidémie, ont également annoncé un calendrier précis pour ce qui concerne les cinémas, les théâtres et les musées…
La France, pendant ce temps, est suspendue aux lèvres du Premier ministre, qui doit dire cette semaine, après avoir pris l'avis du conseil scientifique, à quoi ressemblera la phase deux de la liberté – partiellement – retrouvée. Une carte de France toute verte ou encore teintée de rouge ? Un abandon de l'autorisation de circuler seulement dans un rayon de cent kilomètres ? L'accès autorisé à toutes les plages ? La possibilité de retourner au café et au restaurant ? De se promener en Île-de-France dans les parcs et jardins ? Et même, rêvons un peu, d'aller au musée ?
Déconfinement et gestes barrières : ce qu'il faut savoir

Halte au « tout-punitif » !

Tout dépendra, bien entendu, de l'intensité avec laquelle circule encore le virus. Mais les incohérences entre ce qui est autorisé et interdit suscitent des interrogations croissantes. L'animateur et défenseur du patrimoine Stéphane Bern s'en est fait l'interprète sur France Inter, s'étonnant que l'on puisse visiter le château de Chantilly, mais pas son parc de 115 hectares, par exemple. « Je ne comprends pas la fermeture des grands sites comme Chambord ou Versailles, a-t-il déclaré. Un château pas visité, c'est pire que trop visité. C'est facile de maîtriser le flux des visiteurs, plus facile que dans les petits sites. »
Philippe de Villiers a, quant à lui, exercé une forte pression sur Emmanuel Macron pour la réouverture du Puy du Fou dès le début du mois de juin. Pourquoi, en effet, les zoos situés en zone verte pourraient-ils recevoir du public, mais pas ce parc en plein air ? Les promesses qu'il a reçues de l'Élysée entrent en contradiction avec les normes rigides prônées par Matignon.
Certes, les cotes de popularités des deux têtes de l'exécutif, mesurées par l'Ifop pour le JDD, Macron à 39 %, moins 3 points, Philippe à 46 %, plus deux points, semblent indiquer que l'attitude de Père Fouettard adoptée par le Premier ministre, lequel avait déjà manifesté son obstination dans la limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes ou l'urgence à imposer un « âge pivot » dans la réforme des retraites, n'agit pas, ou du moins pas encore, comme un repoussoir. Toutefois, le temps du « tout-punitif », où les contraventions pleuvaient plus vite que les masques, doit appartenir au passé. Tout le monde a soif de confiance et de grand air, pas de règlements vétilleux et de règles courtelinesques.
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Feront compliquer plutôt que simple et s’il faisait le contraire « il neigerait en plein été » ?!

Car avec leurs paperasseries de dérogations aléatoires, sujet à interprétation des forces de l’ordre ou interdictions de circuler séjourner ou même simplement se poser diverses selon la région ou on habite en France, il faut savoir décoder ce que le 1er ministre a décidé précisément ainsi que son ministre de l’intérieur car c’est nébuleux, sans parler du président qui lui n’est même pas totalement en accord avec lui ?!

En ce qui concerne ce déconfinement partiel selon les régions, imprécis avec des dates floues pas totalement arrêtées avec menace de reconfinement si la pandémie augmentait, ce que l’on nous rabâche sans cesse, c’est que le covid 19 est toujours là au cas où on l’aurait oublié et de continuer les mesure barrières et mettre des masques de toutes sortes différentes qui nous avons enfin et d’attendre le 2 juin peut être pour voir l’évolution de nos libertés diverses par encore totales loin de là !

Exemple :  Dans ma commune de 26000 habitants dans l’Essonne à 20 km de Paris les rayons du super marché carrefour market sont à moitié plein ou vide pour des denrées alimentaires courantes du quotidien, comme si nous étions en situation de rationnement (à quand les tickets de rationnement comme à CUBA !?)

Le gouvernement gère mal la pandémie, car il ne sait pas quoi faire, mais pour le quotidien des français dans leur vie courante, il ne fait pas mieux, c’est désespérant alors, si nous étions en guerre, comment ferait-il, les crises, ce n’est pas bon pour tous nos dirigeants de quelques bords qu’ils soient et cela fait réfléchir pour notre avenir !?

Ils ressemblent à une baudruche percée qui se dégonfle lentement !?

Jdeclef 25/05/2020 11h56

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