dimanche 22 décembre 2019

Ça, c'est de la démagogie comme on n'en n'a jamais fait, car renoncer pour lui :


Emmanuel Macron ne touchera pas sa retraite de président de la République

Il sera concerné par la retraite à points. Le chef de l'État ne siégera pas non plus au Conseil constitutionnel, révèle « Le Parisien ».

C'est une mesure hautement symbolique. Alors que la France entre ce dimanche dans un 18e jour de grève contre la réforme des retraites, le chef de l'État annonce qu'il va renoncer à sa propre retraite de président de la République. Il sera le premier président de la République à y renoncer, révèle Le Parisien.
C'est un régime spécial parmi d'autres. Moins connu toutefois que ceux de la RATP ou de la SNCF. Grâce à l'article 19 de la loi du 3 avril 1955, les anciens présidents de la République bénéficient d'une retraite très avantageuse. Jusque-là, ses prédécesseurs se sont vus verser une somme équivalente au salaire d'un conseiller d'État : 6 220 euros brut par mois. Une somme qui n'est pas liée à des conditions d'âge, de durée de mandat ou de plafonds de revenus. Une somme qui peut aussi être cumulée avec d'autres revenus. Emmanuel Macron aurait pu en bénéficier dès la fin de son mandat en mai 2022. Mais il a choisi, par anticipation, d'y renoncer. « Il ne percevra pas cette retraite prévue à la fin de son mandat par la loi, car il estime que cette loi de circonstance a vocation à être normalisée. Il ne liquidera pas non plus cette somme lorsqu'il prendra sa retraite. Nous sommes dans une ère où les élus doivent être exemplaires », confie un de ses conseillers au Parisien.
Quand Macron attend que « les escargots dégorgent »

Vers une disparition de régime spécial ?

Pour autant, Emmanuel Macron va bien cotiser durant ses années au sommet de l'État. Un nouveau mécanisme va donc être mis en place afin de faire entrer le président de la République dans le cadre du régime universel par points. Son successeur, en 2022 ou en 2027 dans le cas d'un second mandat, se retrouvera dans la même situation, à moins que décision soit prise de rétablir le régime spécial du président de la République.
Emmanuel Macron ne s'arrête toutefois pas là. Il a aussi annoncé qu'il ne siégerait pas au Conseil constitutionnel. Jusque-là, les anciens présidents de la République pouvaient y siéger de droit et bénéficier d'une indemnité de 13 500 euros. Comme François Hollande avant lui, il y renonce donc. Toutefois, la suppression de cet avantage, un temps inscrite dans son projet de réforme constitutionnelle, n'est pas encore annoncée. Rappel utile de l'Élysée auprès du Parisien, Emmanuel Macron étant né le 21 décembre 1977, il sera concerné par l'ensemble du nouveau régime universel.
Toutefois, selon l'Élysée, « il n'y a pas de volonté d'affichage », seulement « une volonté de cohérence » de la part d'Emmanuel Macron. La présidence rappelle qu'il avait démissionné de la haute fonction publique le jour même de sa déclaration de candidature à la présidentielle en novembre 2016.
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N'est rien, il ne manque pas de fortune ou de bien comme ces nantis qui se succède à la tête de l'état, car il accepte de fait de dire qu'il n'en n'a pas besoin ?!

De la mauvaise psychologie pour récolter quelque point de sondage et espérer être réélu ?!

Il devrait démissionner comme F.HOLLANDE, car cela va devenir une habitude chez nos présidents et accepter sa défaite avec son énième réforme des retraites trop dure pour lui à mettre en place !

A contrario le gaulois MARTINEZ démissionnerait-il, lui ou surtout abandonnerait-il ses avantages de tribun syndicaliste, si cette réforme allait jusqu'au bout on peut en douter !?

Cet épisode social qui gâche Noël et les fêtes de fin d'année est déplorable dans notre pays trop libre avec ses concitoyens qui n'arrivent jamais à se mettre d'accord sur de multiples sujets car trop divisés et pratiquant depuis toujours le chacun pour soi !

Il faudra bien revoir, enfin notre démocratie et Veme république obsolète pour éviter ses multiples conflits sociaux en les régulant par la loi, s’il le faut, comme ces services publics en les forçant notamment à des services minimums en cas de grève car paralyser le pays par la volonté de quelques poignées d’irréductibles bornés coûtent plus chers qu’elle ne rapporte et désorganise la France pays qui végète à cause de trublions qui ne pensent qu’à eux !

Car on glisse vers une anarchie rampante, sous l’égide de ce trop nouveau président, qui n’en tient pas compte, les gilets jaunes ont montrés la voie, alors attention de ne pas chuter pour ne pas se relever, on n’est pas loin du précipice ..!

Joyeux noël à tous, si on peut ?!

Jdeclef 22/122019 09h01LP

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