dimanche 8 décembre 2019

MARTINEZ ne sait que vociférer en faux gaulois avec ses belles bacchantes pour diviser les français pour sa gloriole personnelle pitoyable !


Grèves : transports toujours très perturbés, Martinez hausse le ton

VIDÉO. Le numéro un de la CGT estime que le gouvernement fait « tout pour que la mobilisation et les grèves durent  » contre la réforme des retraites.

Le mouvement de contestation contre la réforme des retraites s'est installé dans la durée. Trois jours après le coup d'envoi de la mobilisation, les transports publics étaient toujours très fortement perturbés, samedi 7 décembre, avant une épreuve de force mardi 10 décembre et la présentation détaillée de la réforme le lendemain. Les marches « contre le chômage et la précarité », organisées traditionnellement le premier samedi de décembre, avaient cette année une tonalité particulière, en écho au mouvement contre la réforme des retraites. Elles ont rassemblé 23 500 manifestants dans toute la France, selon le ministère de l'Intérieur.
Plusieurs cortèges, certains émaillés de tensions, comprenant parfois des Gilets jaunes, ont défilé en région, mêlant les slogans. La police ou les préfectures ont compté 2 800 manifestants à Nantes, 1 800 à Marseille, 1 200 à Caen, 1 100 à Bordeaux, 800 à Lille et au Havre, 700 à Lyon… Réunis samedi, les trois premiers syndicats de cheminots ont appelé à amplifier la mobilisation contre le projet de « système universel » de retraite par points, qui doit sonner la fin des 42 dispositifs actuels, dont le régime spécial de la SNCF. Quelques heures plus tard, le numéro un de la CGT, Philippe Martinez, qui défilait à Paris avec chômeurs et précaires (1 600 manifestants, selon la Place Beauvau), se montrait cinglant envers le Premier ministre : « Il fait tout pour que la mobilisation et les grèves durent. »
Retraites : les petits arrangements de la CGT avec la réalité

Édouard Philippe sous pression

Édouard Philippe est sous pression et multiplie les consultations pour sortir de l'ornière après une mobilisation massive dans la rue jeudi (plus de 800 000 manifestants), un nouvel appel à une grande journée de grèves et manifestations mardi, alors que le trafic RATP et SNCF est très réduit. Seuls 15 % des Transilien (RER SNCF et trains de banlieue), un TGV sur six et un TER sur dix (essentiellement par bus) ont circulé samedi. Le trafic va rester fortement réduit à la SNCF comme à la RATP, avec même 14 lignes de métro parisien sur 16 fermées dimanche, 10 lundi. La SNCF a recommandé aux usagers d'éviter les Transilien lundi, l'affluence attendue dans les gares d'Île-de-France s'annonçant « très dangereuse ». Même ton alarmant à la RATP, qui a invité « tous les voyageurs qui en ont la possibilité à différer leurs déplacements », compte tenu du « fort risque de saturation du réseau » après le week-end.
Selon BFM TV, Édouard Philippe recevra dimanche à 17 heures à Matignon Agnès Buzyn (Solidarités), Jean-Paul Delevoye (Retraites) et Jean-Baptiste Djebbari (Transports). Ces trois ministres seront également reçus à 19 h 30 par Emmanuel Macron à l'Élysée, assure Le Parisien. Participeront également à cette réunion Gérald Darmanin (Budget) et Bruno Le Maire (Économie). Édouard Philippe a promis qu'il livrerait mercredi prochain « l'intégralité du projet du gouvernement ». Mais y aura-t-il matière à éteindre l'incendie ? « Le calendrier est bouleversé, mais rien ne change dans l'objectif du gouvernement : casser notre régime de retraite solidaire pour le remplacer par un système individualisé où chacune et chacun sera perdant », a regretté la CGT, où des voix militent déjà pour une troisième journée de mobilisation jeudi prochain.
Retraites : les vrais avantages du régime spécial de la RATP
Avant les annonces du Premier ministre, la ministre des Solidarités Agnès Buzyn et le haut-commissaire aux Retraites Jean-Paul Delevoye présenteront lundi les conclusions de la concertation relancée en septembre par le gouvernement. « M. Delevoye va nous dire lundi ce qu'il a retenu de ce qu'on lui a dit. On va aller voir s'il a vraiment écouté ce qu'on lui a dit », a ironisé Philippe Martinez.

Réforme « comme ma pancarte : en carton »

À Lille, Charles Suquet, retraité de l'enseignement supérieur et Gilet jaune, en est sûr : « Le gouvernement a écouté mais n'a pas entendu. On va revenir encore plus nombreux, ils finiront bien par comprendre. » « Ta réforme est comme ma pancarte, en carton ! » pouvait-on lire dans le cortège de Marseille, où était présent Jean-Luc Mélenchon, qui a appelé à « observer une stricte non-violence » lors des manifestations. « Le pouvoir, le régime ne compte plus que là-dessus, sur l'effet de repoussoir qu'auraient des violences », a déclaré le chef de file de La France insoumise lors d'un point presse.
De brefs incidents ont émaillé un défilé d'un millier de Gilets jaunes à Paris. Les manifestations de Nantes et Lyon, tendues, ont donné lieu à des heurts. Dans la capitale, le préfet de police a de nouveau pris un arrêté obligeant les commerces situés sur le parcours du cortège parisien de mardi prochain, entre Invalides et Denfert-Rochereau, à fermer. Plusieurs représentations prévues ce week-end à la Comédie-Française et à l'Opéra de Paris – où existent des régimes spéciaux de retraite – ont de nouveau été annulées, tandis que des musées parisiens n'ont ouvert que partiellement.
Le gouvernement a plusieurs foyers à éteindre, et pas seulement sur les régimes spéciaux, pour lesquels Édouard Philippe a promis des « transitions progressives » vers le futur système. Il doit aussi répondre aux inquiétudes des enseignants, qui craignent que leurs pensions baissent avec les nouvelles règles. Pour l'éviter, le Premier ministre s'est engagé à une « revalorisation progressive » de leur traitement. De leur côté, les professionnels du commerce et du tourisme commencent à s'inquiéter des conséquences d'un mouvement social potentiellement durable. À Lyon, les hôtels sont ainsi loin de faire le plein, alors qu'il est habituellement impossible de trouver une chambre en ville pendant le long week-end de la Fête des lumières.

Les régimes spéciaux de ces services publics sont des abcès que nos dirigeants et gouvernement de tous bords n'ont jamais pu percer, car manquant de volonté depuis trente ans et qui ont laissé perdurer ceux-ci !

Mais avec cette reforme sur les retraites et donc de ses régimes spéciaux, ceux notamment concernant les services publics qui doivent être mis au niveau du secteur privé pour plus d’égalité entre les salariés des deux secteurs, privés et publics ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui et obligatoire pour essayer de faire un seul régime égalitaire si possible !

Promesse de notre président qui en a fait son cheval de bataille pour son quinquennat il s’est peut-être lancé dans une mission impossible, mais il semble l’assumer, surtout que les français sont ambivalents, car pensant qu’une réforme des retraites semble utile, voire obligatoire pour déjà en garder une par répartition, et partager le fait de protester en demandant la suppression des régime spéciaux qui coûtent trop aux français indirectement par leurs impôts et qu’il faut aussi voir plus clairement les modalités de mises en place à marche forcée de cette réforme étant donné que les gouvernements passés ont traîné en repassant le problème à leurs successeurs !

Quant à Mr MARTINEZ le cégétiste borné, il fait tout et n’importe quoi car jusqu’à lâcher quelque fakes news avérées pour pousser plus les agents des services publics de poursuivre le mouvement de grèves et en attirant d’autres, mêmes dans le secteur public pour cette fameuse convergence des luttes datant d’un autre époque, il faut qu’il arrête son anachronisme corporatiste qui ne gêne que les utilisateurs et clients français lambda en faisant de la politique pour faire tomber le gouvernement et surtout E.MACRON qui sera toujours là jusqu’en 2022 protégé par notre constitution dont on voit les limites !

Jdeclef 08/12/2019 13h37

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