samedi 24 mars 2018

D'accord le président MACRON par ses discours essaie de montrer sa détermination (comme d’habitude…) Et c’est tout !


Radouane Lakdim, né le 11 avril 1992 à Taza au Maroc, et déjà connu des services de police

Aude : ce que l'on sait de l'attaque qui a fait au moins 4 morts

Parmi les 16 blessés, le héros Arnaud Beltrame hélas décédé. Le président Macron a fait part de la détermination du gouvernement à lutter contre le terrorisme.


 Radouane L., 25 ans, "suivi" par les services de renseignements, a tué trois personnes et en a blessé grièvement deux autres lors de trois attaques à Carcassonne et Trèbes revendiquées par le groupe djihadiste Etat islamique. Il a agi "seul" et a été abattu par les forces de l'ordre.

- Vers 10 h 15, l'homme vole une Opel Corsa blanche à Carcassonne (Aude), tuant le passager et blessant grièvement le conducteur, dont le pronostic vital est engagé. Il se dirige ensuite vers une caserne de CRS. C'est là que peu avant 11 heures, il prend pour cible "à plusieurs reprises" un groupe de quatre policiers qui rentraient de leur footing, blessant l'un deux avec une arme de poing.

- L'assaillant roule ensuite vers Trèbes, commune à 8 km à l'est de Carcassonne. Vers 11 h 15, il laisse la voiture au parking et pénètre dans un supermarché Super U, où se trouvent une cinquantaine de personnes. En y entrant, il crie "Allah Akbar" (Dieu est le plus grand, ndlr) et revendique être un "soldat" de l'EI. Se disant "prêt à mourir pour la Syrie", il demande "la libération de frères" avant d'ouvrir le feu, tuant par balle un employé et un client.

- Appelés sur les lieux, les gendarmes interviennent alors que Radouane L. retient des personnes en otage. Un lieutenant-colonel du groupement de gendarmerie de l'Aude, Arnaud Beltrame, 45 ans, "au péril de sa vie a fait le choix de prendre la place des otages retenus à l'intérieur du supermarché", a expliqué le procureur de Paris François Molins. L'assaut du GIGN est donné après plusieurs tirs et l'homme est neutralisé à 14 h 20.

L'auteur Né au Maroc le 11 avril 1992, Radouane L., vivait à Carcassonne. Fiché S depuis 2014, il était connu de la justice pour des faits de droit commun. Son casier judiciaire affiche deux condamnations: l'une en 2011 à une peine d'un mois de prison avec sursis pour "port d'arme prohibée" et l'autre en 2015 pour "usage de stupéfiants et refus d'obtempérer" à un mois de prison, peine effectuée en août 2016. En 2016 et 2017 il fait l'objet "d'un suivi effectif" des services de renseignements, sans qu'il n'ait pu mettre en évidence de "signe précurseur pouvant laissent présager un passage à l'acte terroriste", selon François Molins. Une "proche qui partageait sa vie" a été placée en garde à vue en début de soirée, a annoncé le procureur.

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Pour lutter avec efficacité contre ce terrorisme islamique qui ne cesse pas malgré la chute de DAESH !

Les discours alambiqués et les compassions pour les victimes et forces de l’ordre comme ce lieutenant-colonel de gendarmerie qui a fait plus que son devoir en donnant sa vie pour sauver une femme prise en otage par ce criminel !

Mais cela ne suffit plus, car cet individu une fois de plus était fiché, soit disant surveillé depuis longtemps et considéré comme potentiellement dangereux et ce n’est pas la 1ere fois que l’on constate une faille parce que ce type d’individu n’était pas incarcéré, car bien sur radicalisé !

Le manque de sévérité et de suivi strict est flagrant une fois de plus par notre justice qui protège trop les criminels, mais là, il s’agit de terrorisme lâche et islamiste !

Parallèlement à cela le profil de ces assassins est souvent le même franco marocains/algériens/tunisiens, enfin du Maghreb ou autres issu de l’immigration et de la petite délinquance, voir trafiquant divers de stupéfiant habitant dans des citées périphériques de nos grandes  villes et dissimulés dans la population, mais aussi en province et pas seulement en IDF et ses départements !

Mr MACRON doit absolument ne pas reproduire ce que n’ont pas fait ses prédécesseurs bienpensants partisans du politiquement correct hypocrite bienpensants depuis des décennies et qu’il ne faut pas appliquer à ce fléau de terrorisme islamique et souligner ce nom que l’on taisait trop, car inspiré par cette religion, même si tous les pratiquants de celle-ci ne sont pas des terroristes bien sûr, sauf qu’il faut lutter avec force contre les extrémistes salafistes de celle-ci, ce qui est insuffisant et appliquer une justice d’exception pour ce type de faits et leurs criminels lâches !

Car rien n’est terminé, ce drame vient de le prouver  la sécurité n’est pas acquise en France !

Jdeclef 24/03/2018 09h42

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