lundi 26 mars 2018

Sauf que là, ce n'est plus de la liberté d'expression, mais des insultes envers un homme courageux qui a donné sa vie pour en sauver d'autres !


Trèbes : après ses tweets controversés, l'ex-candidat LFI plaide la liberté d'expression

D'après Europe 1, Stéphane Poussier conteste l'infraction d'apologie du terrorisme et revendique la liberté d'expression. Sa garde à vue a été prolongée.


Stéphane Poussier, ancien candidat insoumis aux élections législatives de 2017, s'était réjoui sur Twitter de la mort du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame. Interpellé à son domicile de Dives-sur-Mer (Calvados), il avait été placé en garde à vue pour « apologie du terrorisme ». Europe 1 révèle qu'elle a été finalement prolongée lundi 26 mars. D'après la station, Stéphane Poussier estime que ses tweets ont été rédigés au titre de la liberté d'expression. « Il revendique ses propos et conteste vigoureusement l'infraction d'apologie du terrorisme qui lui est reprochée », écrit Europe 1. Stéphane Poussier se trouve en garde à vue depuis dimanche matin 11 h 30. « Le parquet de Lisieux a prolongé la garde à vue de monsieur Poussier pour une durée maximum de 24 heures », a indiqué le procureur de la République de Lisieux David Pamart dans un communiqué. La peine maximale encourue pour ce type de délit est de sept ans de prison et de 100 000 euros d'amende.
 Tweets sur la mort d'Arnaud Beltrame : l'ex-candidat LFI interpellé
Stéphane Poussier s'est exprimé sur Twitter à la suite du décès d'Arnaud Beltrame après qu'il se soit substitué à une otage dans le Super U de Trèbes vendredi 23 mars. L'assaillant Radouane Lakdim a mené plusieurs attaques dans l'Aude, quatre personnes sont décédées. « À chaque fois qu'un gendarme se fait buter, et c'est pas tous les jours, je pense à mon ami Rémi Fraisse [le militant écologiste tué par une grenade lancée par un gendarme en 2014, NDLR] », avait alors tweeté l'ancien candidat de La France insoumise. Il se félicitait également de la mort d'un colonel : « Quel pied ! » Et d'ajouter : « Accessoirement, un électeur de Macron en moins. »
Rapidement, ses propos avaient suscité l'indignation. Au sein de sa famille politique, les tweets ont été condamnés par La France insoumise et par son leader Jean-Luc Mélenchon. Il avait annoncé son intention de déposer une plainte pour apologie du terrorisme. Le parquet n'avait pas de précision sur l'âge de Stéphane Poussier dans l'immédiat. Selon Ouest-France, il est âgé de 61 ans.

Il faut que la justice applique une peine exemplaire avec de tel individu aigri et pas jeune en plus, ce qui est impardonnable, parfait imbécile haineux contre les forces de l’ordre qui pourtant, quand il le faut défendent les simples français lambda, hommes, femmes, enfants en danger et font heureusement correctement leur métier et devoir !

On se disait que la France insoumise avait dans ses rangs de personnages peu recommandables comme on n’en trouve dans les extrêmes droite ou gauche et qui doivent être sanctionnés sévèrement à la hauteur de leur diatribes inconcevables cela se vérifie, elle n’a pas fait le tri pour être à l’assemblée et semer le désordre que son leader ex ministre socialiste en tienne compte !

Cet individu parle de liberté d’expression, mais il s’en sert pour déverser sa haine, elle n’est pas fait pour ça !

Peut-être qu’il veut que l’on la supprime, comme dans un état totalitaire, là, il verra la différence ?!

Cet individu mérite de passer un long moment à la case prison, cela le fera peut-être réfléchir sur sa honte et attitude impardonnable !

Mais il a de la chance, la justice est faible ainsi que notre code pénal que les juges interprètent comme ils veulent, pour ce type de personnages haineux, plus que pour les victimes, quel qu’elles soient !

Jdeclef 26/03/2018 14h45 LP

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