jeudi 1 mars 2018

Sans être trivial N.HULOT le médiatique se cache derrière le cul des vaches au salon de l’agriculture !


Salon de l'agriculture : Nicolas Hulot, une visite... en catimini

Le ministre de la Transition écologique a finalement décidé d'aller rencontrer les agriculteurs, loin des caméras. Chronique d'une hésitation.

La décision s'est prise à la dernière minute, mardi. Quelques coups de fil à l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) et à la Fédération nationale des syndicats d'exploitation agricole (FNSEA) plus tard, et Nicolas Hulot a finalement changé d'avis : il se rendra bien au Salon de l'agriculture, malgré ce qu'il laissait entendre quelques jours plus tôt. Ce sera une visite aussi surprise que discrète, sans caméras ni micros.
« Je préfère dialoguer loin des regards et des caméras, c'est ma méthode. Mon engagement ne se limite pas à la semaine du Salon de l'agriculture. » Ainsi se justifiait l'écolo dans les colonnes du JDD, dimanche. Une non-venue qui avait créé l'embarras chez certains de ses partenaires du gouvernement. À commencer par Stéphane Travert, le ministre de l'Agriculture avec qui les relations ont parfois été tendues, voire houleuses : « Moi, je suis là et moi, je fais mon boulot en étant là, car je suis le ministre de l'Agriculture. Après, mes collègues font ce qu'ils veulent. »
Si c'est pour se prendre un œuf sur la tête parce qu'il y a une dizaine de caméras, à quoi bon ?
Nicolas Hulot a hésité. Beaucoup. Début février, il avait pris date avec Christiane Lambert, la très influente patronne de la FNSEA, premier syndicat agricole. Un rendez-vous avait été officieusement arrêté dans l'entourage du ministre, le vendredi 2 mars, avant qu'il ne la décline. « Si c'est pour se prendre un œuf sur la tête parce qu'il y a une dizaine de caméras, à quoi bon ? Il travaille déjà avec les agriculteurs et les relations sont très bonnes », raconte un visiteur du soir du ministre. Ce week-end encore, alors qu'il était en compagnie de Jean-Yves Le Drian pour un séminaire de travail en Bretagne, certains proches le poussaient à changer d'avis. En vain.
Comme en septembre, lorsqu'il décidait subitement d'aller se confronter aux agriculteurs qui bloquaient l'accès aux Champs-Élysées, la décision a été prise d'un claquement de doigts. Ou presque. « Les conditions étaient réunies mardi pour une visite le soir, on a saisi l'opportunité », explique-t-on à l'hôtel de Roquelaure. D'autant que les journalistes se faisaient à ce moment plus rares dans les allées de la porte de Versailles. « Quand vous déambulez avec des dizaines de caméras et autant de micros autour de vous, la possibilité de discuter avec les acteurs est réduite pour ne pas dire nulle », abonde son entourage.
Pendant plus d'une heure, l'écolo et la syndicaliste ont ainsi pu mettre sur la table de nombreux dossiers, dont celui – très brûlant – des alternatives au glyphosate. Et, à en croire les deux parties, l'échange fut « excellent ».
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A hésiter comme cela, mais poussé par les autres élus de tous bords qui y sont allés, il montre qu'il est dépassé par sa fonction de ministre !

Ce pseudo écologiste qui ne peut imposer ces directives souvent utopiques devrait retourner à ses documentaires idylliques, cela lui allait mieux !

Car comme en fait, ce n'est pas lui qui décide à la fin, il ne sert à rien c'est une marionnette tenue par ses patrons et notamment par E.MACRON qui l'a piégé !

Jdeclef 01/03/2018 09h15 LP

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