dimanche 2 mai 2021

La CGT n'est plus ce qu'elle était, plus personne ne l'écoute et la respecte à l'image de son leader Martinez !

 

1er Mai : des violences contre la CGT à Paris, une enquête ouverte

Des militants de la CGT ont subi des violences samedi, lors de la manifestation parisienne du 1er mai, par des individus « se revendiquant Gilets jaunes ».

 

Quatre militants de la CGT ont été blessés gravement samedi 1er mai, à la fin de la manifestation parisienne. Ils ont été pris à partie par un groupe d'individus, « dont certains se revendiquant Gilets jaunes ». Dix-sept autres militants de la CGT ont également été blessés, mais plus légèrement. Le parquet de Paris a décidé d'ouvrir une enquête pour « violences volontaires » et « dégradations ». Les investigations ont été confiées à la Sûreté territoriale.

Les quatre blessés qui avaient été hospitalisés sont depuis sortis de l'hôpital, a-t-on appris auprès de la CGT. « Insultes homophobes, sexistes, racistes ont précédé des actes de vandalisation des véhicules des organisations », énumère la centrale de Montreuil dans un communiqué. Sur LCI, son secrétaire général Philippe Martinez a dénoncé un moment « scandaleux » et mis en cause samedi soir « la sécurisation de la manifestation puisque les camions ont été empêchés de dégager de la place de la Nation ».

Marlène Schiappa apporte son soutien aux blessés de la CGT

Des responsables syndicaux et politiques ont condamné ces actes, à l'instar du numéro un de la CFDT, Laurent Berger, qui a exprimé sur Twitter sa « solidarité » et jugé « indigne de s'attaquer à une organisation syndicale et à ses militants ». La ministre déléguée à la Citoyenneté, Marlène Schiappa, a aussi adressé dimanche sur France Info « un mot de soutien aux syndicalistes et aux personnes de la CGT qui ont été pris à partie », jugeant cela « évidemment absolument inacceptable et intolérable ».

L'idéologie, une affaire de statut social

Dès samedi soir, la ministre du Travail, Élisabeth Borne, avait condamné « très fermement » les perturbations ayant émaillé certains défilés. Plusieurs responsables politiques de gauche ont aussi condamné les violences. « La violence déployée contre le grand syndicat signe la gravité de l'événement. Où va la France ? » a tweeté Jean-Luc Mélenchon (LFI). « Une fois encore, des éléments ultra sont venus gâcher la fête des travailleurs », allant « jusqu'à s'en prendre à des syndicalistes de la CGT », a regretté de son côté Olivier Faure (PS), tandis que le PCF a témoigné de sa « solidarité », la porte-parole de Lutte ouvrière Nathalie Arthaud dénonçant une agression « odieuse ».

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Faire une enquête de plus qui ne sert à rien, c'est quand les incidents se produisent qu’il faut agir avec fermeté contre les voyous ou casseurs et autres blacks bloc habituels !

Le reste n'est que du bla-bla inutile ou on compte les vitrines des commerces cassées ou passants molestés !

Tant que notre état dit régalien n'agira pas avec fermeté contre toutes exactions pendant n'importe quelles manifestations cela continuera !

Il faut savoir ce que l'on veut, puisque manifester est un droit il faut que tous participants quels qu'ils soient, respecte les règles et la sécurité d'autrui, car l'anarchie n'est pas loin dans notre pays dirigé par des bienpensants donneurs de leçons hypocrites de tous bords qui ne maitrisent plus rien !

Cela dénote la façon déplorable de gouverner de nos dirigeants et ses gouvernements depuis les derniers quinquennats et çà empire à chaque fois !

Jdeclef 02/05/2021 17h20


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