Macron
crée un statut pour les soignants morts pendant l’épidémie
Le chef de
l’État a annoncé qu’un statut « mort pour le service de la
République » serait créé pour les soignants décédés pendant la crise du
coronavirus.
Emmanuel
Macron a décidé d'accorder aux soignants morts sur le front du Covid-19 une
distinction comme il en existe pour les militaires ou membres de forces de
l'ordre. Le chef de l'État a annoncé vendredi la mise en place prochaine du
« Mort pour le service de la République » pour les agents
publics décédés « dans des circonstances exceptionnelles », et
donc notamment les soignants qui sont morts après avoir lutté contre le
coronavirus.
« Je souhaite que nous donnions à notre reconnaissance un
ancrage solide dans la loi, que l'on accorde aux agents publics décédés dans
des circonstances exceptionnelles au service du bien commun un statut
spécifique, celui de mort pour le service de la République, qui permette à
leurs fils, leurs filles de devenir des pupilles de la République » et
bénéficier ainsi d'un « soutien matériel et moral pour les aider à se
relever », a annoncé le président de la République dans une vidéo postée
sur Twitter.
« La République doit beaucoup à ceux qui la servent et plus
encore à ceux qui ont donné leur vie pour elle. Les enfants des soignants
décédés pendant la pandémie (de Covid-19) seront pupilles de la République, comme
le proposaient François Jolivet et les députés LREM il y a un an », a
expliqué dans un tweet Christophe Castaner, le président du groupe LREM à l'Assemblée
nationale. Les députés LREM avaient alors fait voter une résolution en ce sens.
Elle va être traduite dans un amendement dans la proposition de loi sur le
modèle de sécurité civile et le volontariat des sapeurs-pompiers au menu de
l'Assemblée nationale la semaine prochaine, ont précisé à l'Agence
France-Presse des sources parlementaires.
Covid-19 : bientôt le bout du
tunnel ?
La mention
« Mort pour le service de la République » complétera la mention
« Mort pour la France », dédiée essentiellement aux décès des
militaires morts au combat, et la mention « Mort pour le service de la
Nation », conçue pour reconnaître l'engagement
du personnel assurant des missions de sécurité et « victimes
d'une agression reconnue comme étant une agression contre la France, contre la
nation tout entière », rappelle l'Élysée.
Mais pour compléter mon commentaire dans les métiers
à risque au service du public 24 heures sur 24 !
Il faut en tenir compte autrement que par de belles
paroles !
Car certains français indisciplinés abusent
trop des libertés nombreuses de notre république mal encadrées, sans compter
ceux qui basculent dans une délinquance violente en augmentation !
Il ne faut
alors ne pas oublier les policiers et services de l'ordre, la protection
civile, les pompiers, les médecins, infirmiers, ambulanciers du samu etc...
Il faut que
Mr le président arrête sa démagogie de bien-pensant donneur de leçons :
Politique
par laquelle on flatte les masses pour gagner et exploiter leur adhésion.
Il fait de
la démagogie pour se faire réélire notre président monarque sans couronne avec
trop de pouvoir qu'il utilise si mal...
Car parler
pour ne rien dire en s’écoutant parler depuis ces 15 mois de pandémie (pas terminée)
on en a eu des indigestions, tout comme les discours ses 1ers ministres et ministres
des gouvernements avec le leurs conseils de défense, conférence de presse etc.
!
Jdeclef
21/05/2021 13h17LP
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