mercredi 26 mai 2021

Mais justement avec cette communication indigeste à tout va depuis le début de cette pandémie hyper médiatisée :

 

Macron « très confiant » pour la France malgré ces temps « de grandes peurs »

Dans un entretien fleuve au magazine « Zadig », le chef de l’État estime que la pandémie de Covid-19 fait « revivre des temps au fond très moyenâgeux ».

La pandémie de Covid-19, « métaphore de notre époque » ? Emmanuel Macron se déclare « très confiant » dans la capacité des Français à « repartir de l'avant » pour sortir des crises récentes, qu'il compare à celles « des grandes épidémies » et « des grandes peurs » de la fin du Moyen Âge, dans un entretien au magazine Zadig publié mercredi. « Si on a une énergie collective et une vision, on repartira de l'avant. Je pense que nous en avons la possibilité », affirme le président dans un long entretien de 20 pages consacré à « sa vision de la France ».

Arthur Chevallier – Emmanuel Macron, le point de non-retour

Pour lui, la pandémie de Covid-19 « est la métaphore de notre époque. On revit des temps au fond très moyenâgeux : les grandes jacqueries, les grandes épidémies, les grandes peurs… » « Je relierais la période que nous vivons à la fin du Moyen Âge et au début de la Renaissance. C'est l'époque de phénomènes qui forgent un peuple, je dirais même de la réinvention d'une civilisation. C'est aussi un moment de tensions qui travaillent le pays, entre un État central et des féodalités. C'est enfin un temps où la question européenne se pose, sans oublier le rapport entre les religions. La capacité à embrasser le futur, à se projeter, est alors déterminante pour le rebond que prend le pays. C'est ce qui me rend très confiant », détaille-t-il dans ce trimestriel qui ambitionne de « raconter la France ».

Gilets jaunes, réforme de l'ENA, enracinement…

Citant également la crise des Gilets jaunes, Emmanuel Macron voit dans les Français « un peuple très résistant », « extraordinairement tenace », mais qui « s'embrase sur le coup de colères ». Il défend la réforme controversée de l'ENA, qu'une ordonnance doit entériner mercredi, car « la maladie de la France n'est pas la bureaucratie ni le centralisme », mais « les corporatismes » défendant « des intérêts qui protègent l'entre-soi ». Il est nécessaire, selon lui, de « sélectionner différemment » pour la haute fonction publique, car « quand on vient d'un milieu populaire, et plus encore quand on est issu de l'immigration, il faut cinq à six générations pour accéder ne serait-ce qu'au milieu de l'échelle sociale. C'est énorme et, pour tout dire, décourageant ».

Emmanuel Macron, moi communicant ?

Emmanuel Macron souligne aussi l'urgence de répondre au sentiment de « décrochage » d'une partie de la population qui exprime « la même inquiétude de la désindustrialisation, d'un sentiment d'injustice, d'une impression de trahison démocratique ». Témoignant de son attachement à Amiens, sa ville natale, et aux Pyrénées, la terre des vacances de son enfance, Emmanuel Macron, souvent décrit comme « déconnecté des territoires » par ses opposants, affirme « aimer aussi infiniment Marseille » et sa « créativité extraordinaire ». Il se montre également optimiste pour l'avenir de la Seine-Saint-Denis, où « il ne manque que la mer pour faire la Californie » et qui représente « un espace unique de transformation économique et sociale ».

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De la part de notre gouvernement et ses dirigeants dépassés, car le trop c'est trop et active « ce sentiment d'insécurité » raillés par certains pour d'autres sujets préoccupants !

Car notre président donneur de leçon bien-pensant pratique une méthode Coué pour transmettre sa soi-disant confiance aux français lambda !

Car bien sur relayé par les médias et scientifiques émérites qui s’éparpillent en hypothèses fumeuses, car pas d’accords entre eux pour arriver en plus enfin à des vaccins nombreux, mais à une vaccination de masse ratée, comme la gestion globale de cette pandémie que les plus craintifs compare à la lèpre ou la peste moyenâgeuse ayant simplement peur, car pour l’endiguer, il n’y a pas grand-chose de probant, à part ces mesures barrières ou confinements, et ces vaccins miracles, mais qui n’ont pas encore donné totalement des résultats pour faire baisser les contaminations et en n’espérant pas de rebond de la pandémie à la belle saison avec les congés d’été ?!

Car en fait, semble-t-il pas de traitement médicamenteux et pour les malades s’étant sortis guéris, il y a des séquelles pour certains invalidants ?!

(A l’exemple du SIDA qui régresse car ayant des traitements efficaces, mais n’a pas disparu et fait encore beaucoup de victimes !)

Alors que notre président monarque sans couronne bien-pensant essaie de convaincre que la pandémie régresse fait de la politique politicienne !?

Jdeclef 26/05/2021 13h32


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