Macron
« très confiant » pour la France malgré ces temps « de grandes
peurs »
Dans un
entretien fleuve au magazine « Zadig », le chef de l’État estime que la
pandémie de Covid-19 fait « revivre des temps au fond très
moyenâgeux ».
La pandémie de Covid-19, « métaphore de notre
époque » ? Emmanuel Macron se déclare « très confiant »
dans la capacité des Français à « repartir de l'avant » pour sortir
des crises récentes, qu'il compare à celles « des grandes épidémies »
et « des grandes peurs » de la fin du Moyen Âge, dans un entretien au
magazine Zadig publié mercredi. « Si on a une énergie collective et une
vision, on repartira de l'avant. Je pense que nous en avons la
possibilité », affirme le président dans un long entretien de 20 pages
consacré à « sa vision de la France ».
Arthur Chevallier – Emmanuel
Macron, le point de non-retour
Gilets
jaunes, réforme de l'ENA, enracinement…
Citant
également la crise des Gilets jaunes, Emmanuel Macron voit dans les Français
« un peuple très résistant », « extraordinairement
tenace », mais qui « s'embrase sur le coup de colères ». Il
défend la réforme controversée de l'ENA, qu'une ordonnance doit entériner
mercredi, car « la maladie de la France n'est pas la bureaucratie ni le
centralisme », mais « les corporatismes » défendant « des
intérêts qui protègent l'entre-soi ». Il est nécessaire, selon lui, de
« sélectionner différemment » pour la haute fonction publique, car
« quand on vient d'un milieu populaire, et plus encore quand on est issu de
l'immigration, il faut cinq à six générations pour accéder ne serait-ce qu'au
milieu de l'échelle sociale. C'est énorme et, pour tout dire,
décourageant ».
Emmanuel Macron,
moi communicant ?
Emmanuel Macron
souligne aussi l'urgence de répondre au sentiment de « décrochage »
d'une partie de la population qui exprime « la même inquiétude de la
désindustrialisation, d'un sentiment d'injustice, d'une impression de trahison
démocratique ». Témoignant de son attachement à Amiens, sa ville natale,
et aux Pyrénées, la terre des vacances de son enfance, Emmanuel Macron,
souvent décrit comme « déconnecté des territoires » par ses
opposants, affirme « aimer aussi infiniment Marseille » et sa
« créativité extraordinaire ». Il se montre également optimiste pour
l'avenir de la Seine-Saint-Denis, où « il ne manque que la mer pour faire
la Californie » et qui représente « un espace unique de transformation
économique et sociale ».
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De
la part de notre gouvernement et ses dirigeants dépassés, car le trop c'est
trop et active « ce sentiment d'insécurité » raillés par certains
pour d'autres sujets préoccupants !
Car
notre président donneur de leçon bien-pensant pratique une méthode Coué pour
transmettre sa soi-disant confiance aux français lambda !
Car
bien sur relayé par les médias et scientifiques émérites qui s’éparpillent en hypothèses
fumeuses, car pas d’accords entre eux pour arriver en plus enfin à des vaccins
nombreux, mais à une vaccination de masse ratée, comme la gestion globale de
cette pandémie que les plus craintifs compare à la lèpre ou la peste moyenâgeuse
ayant simplement peur, car pour l’endiguer, il n’y a pas grand-chose de
probant, à part ces mesures barrières ou confinements, et ces vaccins miracles,
mais qui n’ont pas encore donné totalement des résultats pour faire baisser les
contaminations et en n’espérant pas de rebond de la pandémie à la belle
saison avec les congés d’été ?!
Car
en fait, semble-t-il pas de traitement médicamenteux et pour les malades s’étant
sortis guéris, il y a des séquelles pour certains invalidants ?!
(A l’exemple du SIDA qui régresse car ayant des traitements
efficaces, mais n’a pas disparu et fait encore beaucoup de victimes !)
Alors
que notre président monarque sans couronne bien-pensant essaie de convaincre que
la pandémie régresse fait de la politique politicienne !?
Jdeclef
26/05/2021 13h32
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