jeudi 6 mai 2021

Tant que la pègre ou voyoucratie n'aura pas peur de la police et toutes forces de l'ordre diverses !

 

Policier tué à Avignon : « Éric était un collègue sur qui on pouvait compter »

Eric M., brigadier de 36 ans, a été tué à Avignon lors d’un contrôle anti-stupéfiant. L’auteur du meurtre est toujours en fuite et activement recherché.

 

Le brigadier Éric M., 36 ans, pacsé, père de deux jeunes enfants de 5 et 7 ans, a été tué par balle hier, mercredi 5 mai, en fin d'après-midi par un individu qui se livrait au trafic de stupéfiants en plein centre-ville d'Avignon. L'assassin a pris la fuite en trottinette après son crime. Pour l'identifier, outre les caméras de vidéoprotection, les enquêteurs ont fait appel au service central du renseignement territorial (SCRT). Depuis quelques mois, la division 3 du SCRT, chargée entre autres des violences urbaines, fiche tous les points de deal de France.

Avant de rejoindre, dès sa création, la brigade d'intervention interdépartementale Vaucluse-Gard, Éric M., originaire de Bédarrides, situé à 15 kilomètres d'Avignon, avait servi jusqu'en 2015, en tant que gardien de la paix au sein de la brigade anticriminalité (BAC) de Chennevières-sur-Marne (94), limitrophe de Champigny, régulièrement dans l'actualité pour son insécurité chronique. « C'est un collègue sur lequel on pouvait compter. Très pro et d'humeur égale », se souvient Stéphane Finance, ex « baqueux » du même service, aujourd'hui secrétaire départemental d'Alliance-Police nationale pour la Seine-Saint-Denis.

«  Éric, c'est quelqu'un de volontaire sur le terrain. Il ne se dérobe pas. »

« Éric ne lâchait rien. Sa première mission, c'est d'attraper les délinquants, il était très volontaire sur le terrain. Il ne se dérobait pas, notamment pour éradiquer le trafic de stups ou démanteler un trafic de voitures volées. Il a eu de nombreuses lettres de félicitations de la part de la hiérarchie », se rappelle un autre. La BAC Chennevières est connue pour ne pas chômer. La proximité de la cité du bois l'Abbé, à cheval sur Champigny et Chennevières, haut-lieu du trafic de drogue dans le Val-de-Marne et les quartiers pavillonnaires de Chennevières, régulièrement visés par les vols avec effraction, donnent du fil à retordre aux policiers locaux.

« On allait chasser les voyous ensemble durant deux ans, dit un baqueux de Nogent-sur-Marne. C'était un pur baqueux. Pour lui, c'était tout pour l'interpellation. Au Bois-l'Abbé ou Hautes-Noues à Villiers-sur-Marne, les voyous l'appelaient le Renard. Le surnom lui est resté chez nous. Il partait à la courette sur les voyous, c'était un marathonien. Ils les rattrapaient toujours. Je n'ai pas dormi de la nuit, on s'identifie forcément. C'est dur. »

La voix étranglée par l'émotion

Élève gardien de la paix de la 213e promotion de l'École nationale de police, Éric M. était passé brigadier en 2019, à Avignon. Après l'Île-de-France, il a passé quatre ans à Marseille avant de rejoindre le Vaucluse. Il avait rejoint la région dont sa famille est originaire pour éduquer et voir grandir ses enfants sereinement. « Il souhaitait qu'ils évoluent dans un cadre moins agressif », se souvient une connaissance. Un de ses ex-collègues qui l'a côtoyé cinq ans durant dans ce département de la petite couronne, la voix nouée par l'émotion, n'a pas pu s'exprimer.

Le frère d'Éric, également fonctionnaire de police, travaille en Seine-Saint-Denis, et sa sœur, policière aussi, à la sûreté territoriale du Val-de-Marne. Alors que le brigadier a succombé lors d'une intervention anti-stups, sa sœur participait, quasiment à la même heure, à 800 kilomètres du crime à une autre opération antidrogue, devenue une priorité gouvernementale depuis l'arrivée de Gérald Darmanin au ministère de l'Intérieur. Avec son équipe à Villejuif, elle a procédé à l'interpellation de 4 personnes pour trafic de stups. Elle a saisi près de 6 kg de résine de cannabis, 3 500 euros en liquide, de nombreux sachets d'herbe et de résine de cannabis.

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Cela continuera et surtout quand la justice et son code inadapté ne sera pas modifié radicalement par des sanctions sévères et de la prison ferme ou ils ne pourront ressortir après des remises de peines automatiques et jugement trop laxiste et surtout sans faille juridique qui favorise les avocats spécialistes pour faire acquitter des criminels qui en plus récidivent !

Il faut simplifier les jugements touchant ce type de criminels pour plus d’efficacité quand il y a mort de fonctionnaires chargés de protéger la population et empêcher les délits ou crimes de sang et notamment en plus quand il s’agit de lutter contre les trafics illicites de stupéfiants ou armes diverses !

Et surtout cesser les argumentations juridiques ou vices de forme divers qui vont jusqu’à la libération de malfrat pourtant coupable, parce qu’il manque par exemple un document ou une signature, voire une date mal transcrite sur un dossier d’instruction !

Mr Dupond Moretti qui a fait toute sa carrière sur ce type de pratique juridique a trouvé comme ministre de la justice ce poste offert par le président, car il ne fera rien, croyant avoir toujours raison s’appuyant sur un code pénal trop souple qu’il faut savoir lire et utiliser dont il ne changera rien, le bonheur de ces « acquittators » au service de la voyoucratie qui leur rapporte comme on avait surnommé cet ex avocat devenu ministre, mais qui n’aidera en rien une vraie réforme de la justice et du code pénal qui en fait arrange bien le pouvoir en place pour d’autres affaires spéciales plus près de la politique !

Macron en fait a su faire ce choix à dessein, ce n’est pas une erreur, mais son pouvoir voulu pour museler un avocat qui pouvait parler trop fort ce qu’il ne peut plus faire en tant que garde des sceaux ou la justice n’est pas totalement indépendante du pouvoir en France et il vaut mieux avoir un ministre de la justice servile qu’un possible adversaire !

Mais comme dans notre Veme république, c’est le pseudo roi sans couronne qui choisit et décide de qui sera ministre, si les français on a une mauvaise justice c’est normal ils n’ont pas la parole si ce n’est que la subir en tant que justiciable !

(Et on parle de démocratie en France plutôt un ersatz de démocrature dirigée par un pseudo monarque sans couronne qui a trop de pouvoir, mais on l’a élu !)

Jdeclef 06/05/2021 14h31


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