mercredi 16 décembre 2020

Le parti communisme français est anachronique devenu presque inexistant en France !?

 

Violences policières : le préfet Lallement chahuté en plein Conseil de Paris

En séance, mardi 15 décembre, des conseillers municipaux communistes ont pris à partie le préfet de police de Paris, avant de quitter les lieux, rapporte BFM.

La colère gronde toujours contre Didier Lallement, cible de nombreuses critiques ces derniers temps. Le préfet de police de Paris a été quelque peu bousculé, mardi 15 décembre au soir, lors du Conseil de Paris qui devait notamment voter le budget de sa préfecture. Comme le rapporte BFM Paris, plusieurs élus communistes de la capitale n'ont pas dissimulé leur opposition frontale aux violences policières et aux méthodes de maintien de l'ordre de Didier Lallement.

En pleine séance, alors que le haut fonctionnaire avait la parole, ils ont ainsi brandi des pancartes réclamant la démission du préfet ainsi que celle de son ministre de tutelle, Gérald Darmanin. Avant de subitement quitter la salle. Une façon de condamner plus fortement, selon eux, les directives données par le préfet lors de l'évacuation d'un camp de migrants, place de la République, en novembre dernier, ou encore celles données aux agents de police lors des manifestations contre l'article 24 de la loi de Sécurité globale. Une action coup de poing à laquelle se sont aussi joints des élus écologistes et Insoumis, précise France Info.

Un manque de confiance en la préfecture

« On a exprimé ce que des milliers de Parisiens expriment aujourd'hui : un changement de la doctrine sur le maintien de l'ordre et l'arrêt des violences policières », ont fait savoir ces conseillers municipaux dans des propos relayés par BFM Paris. « Nous n'avons pas confiance en le préfet Lallement et nous le faisons savoir par ce vote contre le budget de la préfecture de police », a précisé le président du groupe Communiste et Citoyen Nicolas Bonnet-Oulaldj.

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En séance, l'élue insoumise Danielle Simmonet a d'ailleurs clamé haut et fort ce que les élus reprochent au préfet en s'adressant directement à lui : « Votre stratégie de maintien de l'ordre est contraire aux fondamentaux de notre République. C'est le choix de l'escalade de la violence (…) Vous incarnez de fait le bras armé d'un pouvoir autoritaire totalement à la dérive. »

Comme le demandent les https://t.co/JxUZcTL0qP @FranceInsoumise, au #ConseildeParis avec les https://t.co/ZxDU4U0iE4 des groupes PCF et EELV, nous demandons la démission du Préfet Lallement. Mais @Anne_Hidalgo préfère prendre la défense de #Lallement et même couper le micro....

Et ces élus ne sont pas les seuls à critiquer Didier Lallement et à souhaiter son départ : le 7 décembre dernier déjà, plus de 70 élus de la capitale avaient adressé une lettre à Emmanuel Macron dans laquelle ils réclamaient la démission du haut fonctionnaire, indiquant que sa présence mettait « en danger » les Parisiens.

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En séance au Conseil de Paris, l'édile de la ville Anne Hidalgo a toutefois défendu le préfet de police en renvoyant la balle du côté du gouvernement : « J'ai entendu ici et là des mises en cause directes, personnelles, du préfet de police. (…) Nous sommes des responsables politiques, nous avons à nous adresser au ministre. Je considère que les responsables politiques n'ont pas à s'attaquer aux fonctionnaires. Si j'ai des choses à dire, je les dis aux responsables politiques », a-t-elle déclaré, citée par France Info.

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Alors certains aboient et la caravane passe et s'en prendre au préfet de police de Paris, c'est puéril et plutôt réservé à une gauche extrémiste qui est violente en parole et en actes quelquefois comme LFI de Mélenchon pauvre politicien élu triste sire !

Mais dans notre époque tendue à fleur de peau on le voit bien avec ses multiples manifestations de mécontentements pour tout et n'importe quoi qui dérape et surtout ces casseurs incontrôlables que nos forces de l'ordre car trop corsetés n'arrivent pas à stopper ni éradiquer ces malfaisants !

Mr Lallement il a le dos large et sait bien qu'il ne peut pas plaire à tout le monde loin de là !

Le jour où le président Macron sera chahuté, là, il y aura lieu de s'inquiéter, car on sera entré dans une vraie anarchie, voire plus grave !

Jdeclef 16/12/2020 13h31


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