Cannes :
un anniversaire tourne à la fête sauvage durant le couvre-feu
La police
a été contactée après que des dizaines de fêtards, non désirés, se sont invités
à la fête d'anniversaire d'une adolescente, raconte « Nice-Matin ».
À la place des pochettes-cadeaux, les fêtards sont
repartis avec des procès-verbaux… Vendredi 18 décembre, l'anniversaire
d'une adolescente a viré au cauchemar, à Cannes, raconte Nice-Matin. La jeune fille souhaitait
célébrer l'événement en petit comité en pleine pandémie de Covid-19, selon
ses dires. Elle a invité moins d'une dizaine d'amis dans un petit appartement
loué pour l'occasion, rue Macé. Mais les jeunes diffusent des images de leur
soirée sur les réseaux sociaux, transformant finalement le petit événement en
fête sauvage.
Des dizaines de personnes ont en effet afflué pour
participer à la fête, malgré le couvre-feu instauré depuis la fin du second
confinement. Les policiers municipaux, alertés par un appel, ont finalement pu
dresser 23 procès-verbaux à 135 euros à la fin de la
soirée. Mais le nombre de participants se situerait entre une trentaine et une
soixantaine, sans qu'il ne soit vraiment possible d'établir un chiffre précis.
La police a attendu les fêtards à l'entrée
Car les agents de police n'ont pas pu intervenir à
l'intérieur des lieux : la fête se déroulait dans une propriété privée.
Quand la voiture des agents est arrivée sur place à
22 h 45, elle a été accueillie par un jet de cannettes – qui n'a pas
atteint le véhicule. Les policiers municipaux se sont donc postés à la sortie
de l'immeuble, sous la surveillance des caméras de la commune, rapporte le
journal Nice-Matin.
Covid-19 : comment limiter les risques le soir de Noël
Vers minuit, les premiers fêtards ont commencé à sortir. Les
agents les ont alors cueillis un à un avec des amendes. Les jeunes filles à
l'origine de la fête d'anniversaire étaient parties plus tôt, devant la
tournure prise par les événements. Interceptées sur la Croisette par une
patrouille de police, elles ont été conduites au commissariat pour être
entendues. Le parquet a été saisi et le commissariat enquête sur le déroulement
des faits.
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Mais certains jeunes du fait
de leur âge se croit à l'abri du virus Covid 19, comme quoi il aurait été plus
utile d'insister sur la dangerosité de ce virus
pour tous, plutôt que cibler les personnes âgées qui elles font
attention (n'est-ce pas Mrs Macron et Castex ! Mais le bon sens quand on
fait de la politique, on ne sait pas faire !?)
Alors comme ils sont
surveillés et qu'il y a toujours des bonnes âmes pour les dénoncer, à la police
(quand elle fait son travail peut les cueillir facilement !)
Pour le reste les jeunes ou
adolescents sont frondeurs et indisciplinés, notamment dans ce midi de la
France ou l'été ils ont le soleil pour se défouler mais là, l'hiver avec les
boites de nuits closes, comme les bars et autres lieux de rencontres les lieux
festifs deviennent inexistants, donc il n'y a que le domaine privé qui reste,
mais ils n'ont pas les discrétions requises pour échapper aux contrôles et
interventions de la police et certains petits jeunes bobos dorés ont les moyens
de supporter le PV de 135 euros !
Et leurs parents dépassés
comme d'habitude, peut-être faut-il augmenter l'amende et la présenter à leurs
parents en les percevant directement comme les contraventions au code de la
route sur les comptes de ceux-ci !
En fait le Covid 19 ne fait
pas encore assez peur !
Jdeclef 21/12/2020 15h43LP
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