lundi 21 décembre 2020

Les réseaux sociaux ou tout le monde raconte leurs vies et ce qu'ils vont faire Sont des pièges à couillons !

 

Cannes : un anniversaire tourne à la fête sauvage durant le couvre-feu

La police a été contactée après que des dizaines de fêtards, non désirés, se sont invités à la fête d'anniversaire d'une adolescente, raconte « Nice-Matin ».

À la place des pochettes-cadeaux, les fêtards sont repartis avec des procès-verbaux… Vendredi 18 décembre, l'anniversaire d'une adolescente a viré au cauchemar, à Cannes, raconte Nice-Matin. La jeune fille souhaitait célébrer l'événement en petit comité en pleine pandémie de Covid-19, selon ses dires. Elle a invité moins d'une dizaine d'amis dans un petit appartement loué pour l'occasion, rue Macé. Mais les jeunes diffusent des images de leur soirée sur les réseaux sociaux, transformant finalement le petit événement en fête sauvage.

Des dizaines de personnes ont en effet afflué pour participer à la fête, malgré le couvre-feu instauré depuis la fin du second confinement. Les policiers municipaux, alertés par un appel, ont finalement pu dresser 23 procès-verbaux à 135 euros à la fin de la soirée. Mais le nombre de participants se situerait entre une trentaine et une soixantaine, sans qu'il ne soit vraiment possible d'établir un chiffre précis.

La police a attendu les fêtards à l'entrée

Car les agents de police n'ont pas pu intervenir à l'intérieur des lieux : la fête se déroulait dans une propriété privée. Quand la voiture des agents est arrivée sur place à 22 h 45, elle a été accueillie par un jet de cannettes – qui n'a pas atteint le véhicule. Les policiers municipaux se sont donc postés à la sortie de l'immeuble, sous la surveillance des caméras de la commune, rapporte le journal Nice-Matin.

Covid-19 : comment limiter les risques le soir de Noël

Vers minuit, les premiers fêtards ont commencé à sortir. Les agents les ont alors cueillis un à un avec des amendes. Les jeunes filles à l'origine de la fête d'anniversaire étaient parties plus tôt, devant la tournure prise par les événements. Interceptées sur la Croisette par une patrouille de police, elles ont été conduites au commissariat pour être entendues. Le parquet a été saisi et le commissariat enquête sur le déroulement des faits.

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Mais certains jeunes du fait de leur âge se croit à l'abri du virus Covid 19, comme quoi il aurait été plus utile d'insister sur la dangerosité de ce virus  pour tous, plutôt que cibler les personnes âgées qui elles font attention (n'est-ce pas Mrs Macron et Castex ! Mais le bon sens quand on fait de la politique, on ne sait pas faire !?)

Alors comme ils sont surveillés et qu'il y a toujours des bonnes âmes pour les dénoncer, à la police (quand elle fait son travail peut les cueillir facilement !)

Pour le reste les jeunes ou adolescents sont frondeurs et indisciplinés, notamment dans ce midi de la France ou l'été ils ont le soleil pour se défouler mais là, l'hiver avec les boites de nuits closes, comme les bars et autres lieux de rencontres les lieux festifs deviennent inexistants, donc il n'y a que le domaine privé qui reste, mais ils n'ont pas les discrétions requises pour échapper aux contrôles et interventions de la police et certains petits jeunes bobos dorés ont les moyens de supporter le PV de 135 euros !

Et leurs parents dépassés comme d'habitude, peut-être faut-il augmenter l'amende et la présenter à leurs parents en les percevant directement comme les contraventions au code de la route sur les comptes de ceux-ci !

En fait le Covid 19 ne fait pas encore assez peur !

Jdeclef 21/12/2020 15h43LP


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