mercredi 23 décembre 2020

Le climat social se dégrade selon notre pseudo monarque président, alors il doit être Sourd et aveugle et se penche peut-être de la fenêtre de sa tour d'ivoire pour s'en rendre compte, mais qu'il fasse attention de ne pas tomber !

 

Violences, police : « Le désordre, c'est la barbarie », selon Macron

Dans un entretien fleuve à « L'Express », le chef de l'État est notamment revenu sur le climat social qui tend à se dégrader, selon de nombreux observateurs.

Emmanuel Macron se remet, lentement, de son infection au coronavirus. Isolé à la Lanterne, à Versailles, le chef de l'État continue de travailler, et récemment, il a même livré ses impressions, ses observations et son regard sur l'état actuel de la société à l'occasion d'un entretien-fleuve accordé à l'hebdomadaire L'Express. Car outre la pandémie de coronavirus, l'année 2020 aura également été celle d'une certaine résurgence de la violence, à bien des égards. Et d'une remise en question de l'autorité, de manière générale, et de la façon dont elle est appliquée par les forces de l'ordre, elles-mêmes régulièrement victimes de violences verbales et physiques.

Un constat que reconnaît Emmanuel Macron qui juge notamment que tout désordre est, en quelque sorte, barbare. « Nous sommes confrontés à une violence de rue parfois inouïe. Ont ressurgi un mouvement d'extrême droite et plus encore dans notre pays un mouvement d'extrême gauche qui prône une violence anticapitaliste, antipolicière, avec un discours structuré, idéologisé, et qui n'est rien d'autre qu'un discours de destruction des institutions républicaines », estime ainsi le président de la République dans les colonnes du magazine. Une situation qu'il juge « grave » et dangereuse pour la République comme pour la démocratie.

Le risque de l'anéantissement de l'autorité légitime

Le président pose d'ailleurs comme « inacceptable », « le retour de la violence extrême qui consiste à blesser ou tuer celui ou celle qui est là pour défendre l'ordre républicain ». Il va même jusqu'à prédire que sans prise de distance, et sans réflexion poussée, la France prend le risque d'un « anéantissement de toute autorité légitime, de tout ordre et, par voie de conséquence, de toute liberté ». Et de marteler : « Le désordre, ce n'est pas la liberté, mais bien la barbarie. »

Cotta – Macron voulait changer le monde, c'est le monde qui l'a changé

Selon le chef de l'État, certaines forces politiques en France « sont en train de tuer la démocratie », et sans toutefois les nommer, il ne se montre pas tendre envers ses cibles. Des forces qui, de son avis, justifient, à mauvais escient, « la violence en arguant que ceux qui la pratiquent sont des victimes de l'ordre établi ». D'ailleurs, il n'hésite pas à fustiger la période actuelle : « Sous couvert d'une espèce de tolérance à tout, nous avons fini par accepter la haine et la violence. » Une « ligne rouge », selon lui, dont il faut se méfier.

Emmanuel Macron, « toujours du côté de l'ordre républicain »

Revenant notamment sur les manifestations récentes, émaillées de violences, et sur les critiques régulièrement faites à l'encontre des forces de l'ordre lors de ces mêmes rassemblements, Emmanuel Macron affirme à L'Express que les citoyens disposent de toutes leurs libertés, mais que lorsque ces mêmes individus deviennent violents, ils deviennent eux-mêmes une menace pour les libertés qu'ils disent défendre. Et d'apporter un certain soutien aux policiers et gendarmes qui doivent notamment gérer ces cas de violences : « Le véritable débat démocratique à avoir ne porte pas sur l'organisation des policiers (…) mais sur les moyens et les façons d'éradiquer cette violence dans la société à laquelle les forces de police sont confrontées. »

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Et le chef de l'État de s'en prendre violemment à ce qu'il appelle une « mélasse intellectuelle qui tout à la fois dénonce toute forme d'autorité, la défense de l'ordre républicain, justifie la violence de rue sans jamais l'interroger et ne vient pas au secours de la défense de la liberté d'expression et de nos principes fondamentaux quand ils sont menacés ». « Certains aiment la liberté qui crée la chienlit, mais ne défendent pas la liberté d'expression », fustige-t-il. Et s'il se dit prêt à se battre pour que les libertés individuelles des citoyens soient respectées, Emmanuel Macron insiste auprès de l'hebdomadaire : jamais il n'acceptera que ces libertés permettent une justification d'un désordre. Défendre la liberté d'expression, oui, tout en étant « toujours du côté de l'ordre républicain ».

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Car tenir ce genre de propos, quand on est au pouvoir chargé de gérer le pays c'est se moquer des Français, comme il le fait habituellement, ou admettre que son bilan de Monsieur réformiste qui voulait changer tout et ce depuis le début son quinquennat est toujours dans la catégorie médiocre, voire fiasco pour l'instant !

Et la venue de la crise sanitaire non prévue comme ce Covid 19 mondial n'est pas une excuse, car qu'on est un vrai chef ou homme d'État on doit faire face pour gérer et diriger fermement des situations exceptionnelles et semble-t-il, n’est pas à la hauteur, car pas du même monde qu'il est censé diriger !

Car le peuple lambda et même plus de classe moyenne est prêt à exploser et ne l'écoute plus, même s’il l'a écouté au début, par ses discours alambiqués creux devenus trop nombreux genre de pétards mouillés qui ont fait pschitt !

Car pour diriger la France il faut être au niveau du peuple et le comprendre et çà il ne sait pas faire et plus grave, quelle que soient les catégories de la population !  

Jdeclef 23/12/2020 14h24


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