samedi 5 décembre 2020

Une loi qui déplait à certains, mais votée par des députés élus par le peuple ?! Sauf que là, c'est toujours les mêmes qui sèment l'insécurité, ces vandales que l'on n'arrivent pas à stopper ! ?

 

Sécurité globale : des milliers de manifestants et des incidents à Paris

La police a fait usage de gaz lacrymogènes, dans l'après-midi. Les manifestants défilent aussi avec les syndicats et contre la précarité.

Une semaine après d'importantes manifestations partout en France contre la loi sécurité globale, et son décrié article 24, les opposants remettent le couvert, avec un mot d'ordre plus large. À Paris, ils sont ainsi plusieurs milliers à s'être réunis ce samedi 5 décembre pour défiler contre la précarité et pour les libertés. Derrière une banderole proclamant « Liberté, Égalité, Fraternité, pour qui ! », les manifestants se sont ébranlés vers 14 h 15 de la porte des Lilas en direction de la place de la République.

Un manifestant lance une pierre, à proximité d'une barricade en feu, à Paris, samedi 5 décembre. 

La situation s'est tendue vers 15 h 45 et de sérieux incidents ont éclaté. Des projectiles ont été lancés sur les forces de l'ordre, qui ont répliqué en faisant usage de gaz lacrymogènes. Des voitures ont été incendiées sur le parcours. Plusieurs vitrines, dont celles d'un supermarché, d'une agence immobilière et d'une banque, ont également été endommagées par des casseurs avenue Gambetta, dans le 20e arrondissement, à l'avant du cortège.

Au milieu de ballons syndicaux, notamment de la CGT, FSU et FO, le défilé se déroulait au milieu des fumigènes et du bruit des pétards, au son notamment de « Tout le monde déteste la police ». La présence policière était conséquente, par crainte de débordements. Initialement prévue comme un rassemblement syndical (CGT, FSU, Solidaires, Unef, UNL, Fidl, MNL) contre la précarité, la journée de samedi voit s'agréger la contestation contre les violences policières et la loi sécurité globale, emmenée par la « coordination #StopLoiSécuritéGlobale », collectif de syndicats et d'associations, dont plusieurs organisations de journalistes.

Cotta – Les leçons politiques du couac de l'article 24

« C'est anormal qu'on ne puisse pas filmer »

« En deux ans, j'en ai vu des violences, c'est anormal qu'on ne puisse pas filmer », a déclaré à l'Agence France-Presse Nadine, Gilet jaune de 53 ans, qui gagne 1 300 euros par mois dans les services à la personne. Mais selon elle, « la violence date d'avant les Gilets jaunes, dans les banlieues, les jeunes y ont droit depuis longtemps ».

Sous une pancarte demandant le « retrait de la loi sécurité globale », le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a estimé que les causes convergeaient : « Il n'y a pas d'opposition entre les libertés publiques et individuelles et le fait de se battre contre la précarité et le chômage, surtout dans la période », a-t-il déclaré à l'Agence France-Presse, en citant les « abus des employeurs » et « les plans sociaux qui tombent ». « Mon avenir est en danger », s'est inquiété Maxime, 15 ans, dont deux en tant que Gilet jaune. « Je défile contre la violence policière », a-t-il ajouté.

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Alors à quoi sert de voter des lois, si elles se font dans la rue maintenant, et déclenche de la part de trublions violents des heurts dangereux ou des voyous cagoulés comme d'habitude qui dégradent, cassent, vandalisent, brulent, pillent en s'opposant aux forces de l'ordre en plus, car ceux-là ne sont pas là pour contester cette loi, mais pour semer un désordre pour se défouler comme des vandales !?

Et là c'est la route à l'anarchie totale ou il n'y a plus de lois et ce qu'on va gagner, c'est un état que deviendra policier et une démocrature au mieux !

Il parait que cette loi et cet article 24 devait être réécrite, alors pourquoi ne pas attendre et refaire voter cette nouvelle mouture !?

Car si à chaque contestation de loi même votée avant au parlement ne se passe plus sereinement, le pays devient ingouvernable !

On voit trop de ce genre de problèmes et faits divers ou décision de n'importe quel ordre pour tout et n’importe quoi, contesté par des individus délinquants depuis le phénomène des gilets jaunes et çà ce n'est plus supportable dans notre pays encore libre (mais pour combien de temps, car par trop de libertés mal encadrées!)

A « jouer avec le feu, » cela devient préoccupant, car on risque de tout perdre et en plus pendant cette crise sanitaire et économique actuelle, ce n’est vraiment pas le moment !

Le pays va assez mal comme cela !

Jdeclef 05/12/2020 17h14


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