Législatives :
les ministres battus devront démissionner
Quinze
ministres, dont Élisabeth Borne, sont concernés : s’ils ne sont pas
élus en juin, ils devront quitter le gouvernement, indique l'Élysée.
La
tradition devient la règle. Les quinze ministres candidats aux élections
législatives de juin devront être élus s'ils veulent conserver leur maroquin, a
indiqué le palais présidentiel à l'Agence France-Presse. En effet, Emmanuel
Macron a renouvelé la consigne en vigueur depuis 2007 qui impose aux
ministres défaits de démissionner. Le chef de l'État avait adopté la même
position en 2017, quand six ministres ou secrétaires d'État étaient alors
concernés.
Selon l'Élysée, la règle s'appliquera aussi à Élisabeth Borne,
confirmant ainsi une information du Figaro. La Première ministre se
présente, pour la première fois de sa vie, dans la 6ᵉ circonscription du
Calvados. Un seul autre membre du gouvernement brigue un poste de député pour
la première fois, le ministre délégué aux Affaires européennes Clément Beaune,
candidat dans la 7ᵉ circonscription de Paris. Dans les deux cas, les
circonscriptions concernées avaient été remportées par un candidat de la
majorité présidentielle, lors des élections législatives de 2017.
Qui sont les ministres du nouveau gouvernement d'Élisabeth
Borne ?
Dans le même temps, treize autres membres du gouvernement sont
candidats pour les élections prévues les 12 et 19 juin
prochains. Certains sont candidats à leur réélection, quand d'autres ont
fait le choix d'une circonscription qu'ils ont déjà remportée, lors d'une
précédente législature. Ainsi, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin est
présent dans la 10ᵉ circonscription du Nord, Brigitte Bourguignon (Santé) dans
la 6ᵉ du Pas-de-Calais.
Dans la région francilienne, l'ex-patron du parti présidentiel et
ministre de la Transformation publique Stanislas Guerini brigue un
mandat dans la 3ᵉ circonscription de Paris, quand la ministre des
Outre-Mer Yaël Braun-Pivet veut être réélue dans la 5ᵉ des Yvelines.
Amélie de Montchalin (Planification écologique), elle, espère être à nouveau
choisie par les électeurs de la 6ᵉ circonscription de l'Essonne. Gabriel
Attal, promu ministre des Comptes publics, est candidat dans la 10ᵉ
circonscription des Hauts-de-Seine, et Olivia Grégoire, qui l'a
remplacé au porte-parolat, brigue un nouveau mandat dans la 12ᵉ de Paris.
Enfin, plus au sud, Olivier Dussopt espère conserver son mandat de
député de la 2ᵉ circonscription de l'Ardèche, le transfuge des Républicains
Damien Abad (Solidarités) est candidat à sa succession dans la 5ᵉ
circonscription de l'Ain. Le ministre de l'Agriculture, Marc Fesneau, se
présente dans la 1re du Loir-et-Cher quand l'ex-ministre de la
Santé Olivier Véran espère rester le député de la 1ʳᵉ circonscription de
l'Isère. Seule Justine Bénin, chargée de la Mer, se présente dans les
territoires d'Outre-Mer, à savoir la 2ᵉ circonscription de Guadeloupe.
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Car des
candidats ministres qui ont raté l'investiture à des postes divers, il y en a des
kyrielles (donc bien trop de choix ..!?!)
D'ailleurs
certains nommés par le président monarque selon son bon plaisir lors du 1er
quinquennat au début de sa mandature ont été renvoyé par E.MACRON comme BAYROU
très rapidement car trainant des histoires purement politiciennes ou autres
comme certains de son parti le MODEM !
Seule la
1ere ministre candidate forcée d’être élue dans le CALVADOS serait un ennui de
plus pour notre petit monarque sans couronne si elle n'était pas, car battue à
cette élection législative devrait passer la main un autre 1er
ministre !
Mais
notre président fat qui ne s'est pas amélioré pendant ces 5 ans passés trouvera
facilement assez de gogos aveugles ou sourds ou simplement stupides pour voter
pour elle !
Ce qui
donnerait un faux espoir à l'extrémiste de gauche aboyeur de foire de MELENCHON
(d'ailleurs ne concourant pas pour être député, d'être nommé 1er ministre,
politique fiction pour ceux qui y croient encore) qui a réussi à semer le souk
dans cette classe politique et politiciens de tous bords médiocres !
Ce président
parvenu petit bourgeois à qui notre Vème république devenue monarchique a donné
trop de pouvoir bien aidé par les médias et leurs sondages orientés ainsi que
les Français qu’il a réussi facilement à diviser peut maintenant faire ce qu’il
veut d’ailleurs son gouvernement est composé d’anciens ministres déjà présents
dans son quinquennat précédent ou mêmes ceux que l’on croyait voir partir qui
ont été reconduit !
Il
continue simplement à se moquer du peuple qu’on dit souverain (une utopie… ?!)
Confirmation
les Français ne savent plus voter n’y choisir et çà fait 40 ans que ça dure en
glissant sans s’en rendre compte vers un ersatz de simili démocrature déjà courante
dans d’autres grands pays !
Jdeclef 23/05/2022
12h29
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