Burkini à
Grenoble : Éric Piolle raillé par une porte-parole de LREM
L’élu
écologiste, qui veut autoriser le burkini dans les piscines grenobloises,
« fait du mal » aux « valeurs républicaines », selon
Prisca Thévenot.
Le
maire écologiste de Grenoble est plus que jamais ciblé pour ses propos sur le
burkini. Éric Piolle, qui veut autoriser ce maillot de bain pour femmes
musulmanes dans les piscines de sa ville, fait « du mal » aux
« valeurs républicaines » avec ce projet « absolument
grave », a estimé lundi 15 mai Prisca Thévenot, une des
porte-parole de LREM.
« En tant qu'élu de la nation, il devrait se remettre en
question, car j'ai l'impression qu'il ne se rend pas compte du mal qu'il est en
train de faire à nos valeurs républicaines », a-t-elle ajouté sur Radio J,
alors que le conseil municipal de Grenoble se penche lundi sur l'autorisation
du burkini – et du monokini – dans les piscines de la ville.
« Sur
le burkini, Piolle se croit cool, mais c'est un cynique »
« C'est absolument grave. On est en train, encore une fois,
de tomber dans ces vieux fantasmes qui considèrent que venir mettre un sujet
qui n'est pas anodin, en pleine période de campagne électorale, serait un sujet
d'actualité banale. Pas du tout », a ajouté la conseillère régionale
d'Île-de-France.
Alors qu'on lui faisait remarquer que le maire de Grenoble
souhaite autoriser aussi le monokini, Prisca Thévenot a fait valoir que
« nous sommes dans une société » et qu'« Éric Piolle doit
se rappeler quelque chose […] : une société demande qu'on réponde tous à
des règles communes », dont « une des premières » est « la
laïcité et l'égalité face à la loi ».
Burkini
à Grenoble : Wauquiez déclare la guerre à Piolle
Le
conseil des sages de la laïcité se prononce contre le burkini
Concrètement, il souhaite que le texte soit modifié, notamment son
article 12 qui exige des usagers une « tenue décente » et
« une attitude correcte ». Le texte précise que les baigneurs doivent
être vêtus d'un maillot de bain recouvrant « au minimum la partie située
entre le haut des cuisses et la ceinture et au maximum la partie située
au-dessus des genoux et au-dessus des coudes ». Des précisions qui
pourraient sauter dans le texte remanié.
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De
soi-disant écologie politicienne pour justifier un extrémisme où l'on pratique
le droit « d'interdire ce qui est interdit » style empêcheur de
tourner en rond « pour ce qui est contre et contre ce qui est pour » par
simple contradiction du pouvoir en place avec une liberté mal encadrée sans garde-fou
ou notamment la délinquance est importante dans cette grande ville de Province
ex organisatrice des J.O. d'hiver de 1968 qui avait fait sa notoriété avec de
grands champions qui se sont délités au fil du temps par la mauvaise gestion de
cette belle ville !
Par son
maire E.PIOLLE qui interprète la laïcité à sa façon comme cela l’arrange en
autorisant le port de tenue ostentatoire à consonnance religieuse pour les
femmes musulmanes dans des lieux public comme la piscine favorisant un communautarisme
pernicieux qui avilie les femmes en effaçant l’égalité entre hommes et femmes bafouant
les droits de l’homme et bien sûr des femmes qui se prêtent à ces pratiques !
En
oubliant que nous somme encore dans un pays judéo chrétien ou les religions
catholiques, protestantes, juives ou orthodoxes comme d’autres savent se faire discrètes
bien acceptées sans prosélytisme agressif à la différence de celle qui déclenche
ses dogmes extrémistes et surtout contre la liberté des femmes et la laïcité qui
est inscrite dans la constitution de notre république !
Mr PIOLLE
est un agitateur que l’état républicain doit remettre au pas, car il sème le
désordre (il y en a assez en France et dans sa ville) il faut respecter les
lois surtout en matière religieuse souvent non respectées et interdire les dérogations !
Jdeclef 16/05/2022
15h55
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