jeudi 29 septembre 2022

Notre président est un épouvantail qui bat ses bras de paille au gré du vent : politique et politiciens du moment qui est médiocre et des Français qui risque de disjoncter

 

Dans les coulisses du dîner sur les retraites à l’Élysée

EXCLUSIF. Après trois heures de discussion avec ses ministres, le président a affirmé sa volonté d’aboutir à un texte en décembre sur la base d’un âge de départ à 65 ans.

MAIS NON IL NE CE DECIDE PAS FRANCHEMENT ET PIEGE MME BORNE NOTRE 1ERE MINISTRE INUTILE COMME D’AUTRES AVANT ELLE QUI A EU TORT DE LE SERVIR AVEC SA POSSIBILITE DE CET ARTICLE 49/3 ET LES FRANÇAIS N’AURONT RIEN A DIRE SAUF AVALER LA PILULE (EN RALANT !)

Plus question de perdre du temps. Après plus de quinze jours d'atermoiements et de divisions au sein même de la majorité sur la pertinence de relancer dès maintenant le chantier de la réforme des retraites et la façon de le faire, Emmanuel Macron a sifflé la fin de la récréation mercredi soir.

Le président avait convié à l'Élysée plusieurs poids lourds de son gouvernement, responsables parlementaires ainsi que chefs de parti de sa majorité pour un ultime tour de table sur cette réforme encalminée depuis la crise sanitaire en 2020. Sa Première ministre Élisabeth Borne ainsi que son fidèle bras droit Alexis Kohler étaient présents dans le salon des Ambassadeurs, où se déroulaient les agapes.

Macron sur les retraites : coup de bluff ou coup de force ?

En dépit d'une majorité relative au Parlement, le chef de l'État est déterminé à mettre en œuvre l'une des propositions les plus explosives de sa campagne présidentielle : celle de reporter l'âge légal de la retraite à 65 ans. Le 12 septembre, il a exprimé lors d'une rencontre avec la presse sa volonté d'aller vite, y compris si cela nécessite d'en passer par un simple amendement au budget de la sécurité sociale. C'était compter sans les réticences de plusieurs figures très vocales de son camp : François Bayrou, patron du MoDem, et Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée, pour ne citer qu'eux, hostiles à tout « passage en force ».

Entre l'assiette de fruits de mer et le fromage, Emmanuel Macron s'est montré très martial. « Ce qui se joue, c'est l'autorité de votre serviteur. Et je ne vais pas la lâcher au bout de six mois », a-t-il déclaré face à ses troupes. « Autour de la table, une personne a pris son risque. Cette personne, c'est moi, en défendant la retraite à 65 ans. »

On a déjà perdu assez de temps. Plus on attend, plus on dira de nous qu’on n’est pas solides.Gérald Darmanin

Parmi les convives, une majorité s'est exprimée en faveur d'un amendement au budget de la sécurité sociale, pour aller vite. « On a déjà perdu assez de temps. Plus on attend, plus on dira de nous qu'on n'est pas solides », a plaidé Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur. « Cette réforme est un sparadrap qu'il faut retirer immédiatement », a abondé le ministre du Budget, Gabriel Attal. L'ex-président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, s'est montré plus mitigé, défendant toutefois, lui aussi, un calendrier resserré, « au plus tard en janvier, pour une question tactique ». « Faisons le plus vite possible sans attendre Noël », a pressé Bruno Le Maire, patron de Bercy.

Réforme des retraites : le « cadeau empoisonné » de Macron à Borne

Dans le camp des réfractaires, le MoDem, par la voix de François Bayrou, a pris la parole à plusieurs reprises pour demander un temps suffisant de concertations et de négociations. « C'est faux de dire qu'en votant Emmanuel Macron, les Français savaient qu'ils votaient pour les retraites », a-t-il insisté, selon un participant. Édouard Philippe, présent comme chef de file de son parti Horizons, est lui favorable à l'option la plus rapide.

Au cours de l'échange, la position des Républicains a aussi été évoquée. Depuis toujours favorables à un allongement de la durée du travail, plusieurs figures du parti de droite ont toutefois fait savoir qu'elles ne soutiendraient pas une telle mesure par amendement au budget de la sécurité sociale. « Il faut assumer le fait que nous n'avons pas de majorité sur ce texte, les LR ne voteront pas », a exprimé Aurore Bergé, cheffe de file des députés Renaissance. Le ministre des Relations avec le Parlement, Franck Riester, pense possible, au contraire, d'aller convaincre un certain nombre d'entre eux.

Une mise en œuvre en juillet

« Vous n'arrivez pas à me démontrer l'intérêt qu'il y aurait à attendre », a répondu Emmanuel Macron à la fin de la conversation. Conclusion de l'hôte de l'Élysée : une concertation avec les « forces sociales et politiques » va être lancée dès jeudi, sur la base des termes de la réforme de son programme présidentiel, à savoir la retraite à 65 ans, la fin des régimes spéciaux, la pension minimale à 1 100 euros, la prise en compte de la pénibilité et des carrières longues.

Le président a fixé l'objectif d'aboutir à un texte d'ici décembre pour un vote « à l'hiver 2022 ou tout début 2023 » et une mise en œuvre en juillet. Deux options quant au véhicule : dans l'hypothèse où les concertations aboutissent, un projet de loi sera examiné en janvier. À l'inverse, en cas d'échec des discussions, ce sera la voie de l'amendement au budget de la sécurité sociale qui sera retenue. La Première ministre, très réservée lors du dîner, a été chargée de l'annoncer dès jeudi matin. « Le président a réaligné tout le monde sur le fond », se félicite un convive. « Tout le monde est cocu, mais tout le monde est content ! » ironise un élu à la sortie du Château.

Retraites : la solution des économistes pour faire avaler la réforme Macron

Le chef de l'État a aussi soulevé la question du recours au 49.3, inévitable dans une situation de majorité relative. Avec, à la clé, le risque d'une motion de censure contre le gouvernement. Dans ce cas, le président considère qu'il faut dissoudre. « Il faut être conscient que pas un député ne veut repartir en campagne », a argumenté Richard Ferrand. « Moi, je ne veux pas de chienlit, a répondu Emmanuel Macron. Donc s'il y a une majorité pour voter une motion de censure, on repart en campagne et c'est tout. » Voilà ses troupes prévenues.

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politique et de l'humeur des Français lambda dont il craint les réactions qui peuvent être très protestataires tant ce qu'il veut faire n'arrange rien de nouveau même dans sa propre majorité !

Comme d'habitude il tergiverse et sa 1ere ministre BORNE va jusqu'à évoquer l'utilisation de ce fameux article 49/3 pour passer en force elle a de la constance de travailler pour un patron qui tergiverse ou change d'avis quand il en a un ?!

Jusqu'en coulisse il n'exclut pas une éventuelle dissolution du parlement et donc du gouvernement en cas de censure !

On disait HOLLANDE mou mais lui c'est pire sorti du même moule incapable de prendre des décisions rapides et constructive n'ayant pas d'idées nouvelles!?

Espérons qu'il a bien diné avec ses invités politiciens triés sur le volet pas forcément d'accord entre eux d’ailleurs et qu'il n'a pas eu d'indigestion car pour les Français lambda ils en ont une sans avoir mangé !?

Ce président n'est pas un vrai chef d'état car petit bourgeois parvenu pleutre gonflé d'orgueil comme une baudruche crevée qui fuit devant les problèmes qui sont normalement courant dans un pays que l'on doit gouverner et diriger !

Il ne craint pourtant rien car réélu par défaut jusqu'en 2027 par des Français perdus qui ont le défaut de choisir des dirigeants se prenant pour des monarques à qui on a donné trop de pouvoir mais de mauvais gouvernants qui en fait ignorent le peuple qu’ils les ont élus voire s'en fiche ?

E.MACRON est nettement plus à l'aise à pérorer en voyageant à l'étranger confortablement donnant des leçons de bienpensant hypocrite par ses discours que personne n'écoute voire même se moquant de lui mais comme il n'a pas d'amour propre cela glisse sur lui comme sur les plumes d'un canard qui cancane caquète et il n'a pas les Français râleurs sur le dos !

Les Français choisissent mal leurs dirigeants depuis 40 ans il serait temps qu'ils changent leurs façons de voter et surtout pas apour ceux des politiciens médiocres de tous bords actuels ?!

A NOTER CEPENDANT QU'EN 1981 LA RETRAITE ETAIT A 65 ANS ON Y ETAIT HABITUE MAIS F.MITTERAND POUR ETRE ELU LA MISE A 60 ANS POUR ETRE ELU ET BIEN SUR CELA  A MARCHE LES FRANCAIS GOGOS L'ONT ELU EN MASSE NE VOYANT PAS PLUS LOIN QUE LE BOUT DE LEURS NEZ ET PLUS TARD ON LEUR A MIS CES FAMEUX RTT QUE L'ON PEUT MAINTENANT RACHETER POUR ESSAYER D'AMENUISER CETTE INFLATION !

ET QUE FAIT ON AVEC NOS NOUVEAUX GOUVERNEMENTS ET DIRIGEANTS QUE NOUS ELISONS ET REELISONS CAR NE POUVANT RATTRAPER CE RETARD FABRIQUE PAR EUX "ILS COURENT COMME DES CHIENS PERDUS APRES LEURS QUEUES" CAR INCAPABLES DE PREVOIR QUOI QUE CE SOIT DEPUIS 40 ANS !

LES FRANCAIS SONT LES PLUS BETES ELECTEURS QUE L'ON PUISSENT VOIR OU TROUVER DANS NOS PAYS LIBRES CIVILISES ET DEMOCRATIQUES !

CONSEQUENCES PRESENTES ON DEVIENT RETROGRADE EN FRANCE CAR ON N'AVANCE PAS ON RECULE IL N'Y A PAS DE QUOI ETRE FIER ?!

Jdeclef 29/09/2022 09h52LP


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