dimanche 4 septembre 2022

Mme BORNE (notre 1ere ministre inutile comme d'autres avant elle) dans la gestion de notre pays chaotique depuis la réélection par défaut d'E.MACRON ?!

 

Michel Richard – Élisabeth Borne-Bruno Le Maire, super conflit pour superprofits !?

CHRONIQUE. L’une n’exclut pas de taxer les superprofits. L’autre ne veut pas en entendre parler. Crise au sommet. Et si on appelait le GIGN ?

UN GOUVERNEMENT ET CERTAIN MINISTRE QUI NE SONT PAS SUR LA MEME LIGNE DE LA 1ere MINISTRE SANS COMPTER UN PRESIDENT QUI NE FAIT RIEN A PART FAIRE UN CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION FUMEUX NE PEUT MARCHER CORRECTEMENT !

Il se trouve que cette fichue crise qui nuit à tout le monde profite à quelques entreprises, pétrolières, gazières et maritimes notamment. Et cela par une sorte d'effet d'aubaine, sans que leur management, leur conduite des affaires, leur habileté y soient pour grand-chose. Ainsi sont nés des superprofits se chiffrant en milliards d'euros. Qu'en faire ?

Le gouvernement en est encore à se le demander. C'est même pour lui une affaire empoisonnée qui oppose, au grand jour, la Première ministre, issue de la gauche, à son ministre de l'Économie, venu de la droite. Ce qui n'est pas rien, et fait tache, quoique les deux fassent semblant d'être sur la même ligne. De quoi en rire.

Élisabeth Borne ne ferme pas la porte à leur taxation si, du moins, les entreprises concernées refusaient de rendre du pouvoir d'achat aux Français. Total Énergies, par exemple, qui a baissé le prix de l'essence dans son réseau de stations, peut-elle s'en tenir quitte ? Et quid des autres heureux bénéficiaires ?

Borne et Roux de Bézieux : deux discours très accordés

Bruno Le Maire, lui, se félicite de la mesure du pétrolier et veut n'entendre parler de rien d'autre. D'ailleurs, le ministre ne sait même pas ce que sont les « superprofits », un concept pour lui vide de sens. Ce qu'il sait, c'est que les entreprises doivent être profitables. Point. Le reste relève d'une idéologie de gauche toujours prompte à taxer.

Une valeur sûre

On en est là, c'est-à-dire nulle part, mais pas pour toujours. Il faudra bien faire ou ne pas faire. De plus, Olivier Faure, soutenu par la Nupes, vient en rajouter en suggérant un référendum d'initiative partagée, dont il n'est pas difficile de pronostiquer le résultat !

Car, bien sûr, l'idée de taxer les superprofits de multinationales que l'on adore détester, fussent-elles tricolores, ne peut que plaire à l'opinion. Faire payer les riches, c'est un slogan de valeur sûre. La passion égalitaire des Français, quoiqu'impossible à étancher, se trouverait flattée de pareille ponction fiscale.

En outre, quand chaque Français est amené à payer son écot à la crise, à l'inflation, à l'énergie et au climat, il serait politiquement scabreux d'exempter de tout effort supplémentaire les entreprises les plus riches. Leur dispense d'exemplarité serait un défaut de solidarité. Accessoirement, à les épargner, Emmanuel Macron se conforterait en président des riches. Fâcheux.

Gagnant-gagnant

Face à quoi, Bruno Le Maire réplique en deux arguments. D'abord, la promesse d'Emmanuel Macron de ne jamais créer d'impôts. Le Maire s'en fait le gardien et le chantre. Il est vrai que, sous son règne, jamais les impôts n'ont autant baissé. Une prouesse dans un pays asphyxié par leur poids et shooté à l'addiction fiscale. Changer de pied serait se priver d'un titre de gloire.

Deuxième argument, on attenterait aussi à la confiance durement acquise auprès des étrangers en ne respectant pas la stabilité fiscale promise. Leurs capitaux et leurs investissements baisseraient à proportion de l'atteinte à l'attractivité française. « Taxer plus en France, c'est produire moins en France », résume Le Maire. Privilégier l'immédiat et compromettre l'avenir pour un petit plaisir passager, en somme.

Bruno Le Maire sur tous les feux

Comment s'en sortir ? On se permet une petite idée. Et si, à l'issue d'on ne sait quelles conversations nocturnes, les compagnies en question se portaient volontaires pour une contribution généreuse sur leurs bénéfices exceptionnels ? Elles y gagneraient en image, le budget français en argent et cela sans qu'aucun impôt ait été créé. Borne et Le Maire s'embrasseraient, Folleville ! Du pur gagnant-gagnant.

On rêve ? Si d'aventure, il fallait un intermédiaire discret à cette opération, on suggère les gendarmes du GIGN. On apprend qu'ils négocient à merveille avec les hackeurs demandeurs de rançon de l'hôpital de Corbeil-Essonnes. Ce serait bien le diable qu'ils échouent avec de convenables dirigeants d'entreprises.

Cette Veme république poussiéreuse monarchique obsolète :

Parle peu mais pas pour rien dire car elle est posée et semble réfléchir ?!

Mais qui l'écoute surement pas LEMAIRE rigide droit dans ses bottes comme d'autres anciens ministres de ces quinquennats passés voyant plus loin et notamment en 2027 pour lui !,

Pourtant comme 1ere ministre elle pourrait lui demander de mettre la pédale douce!?

Mais comme elle est disciplinée et aux ordres directs du président de la république qui semble totalement dépassé depuis sa réélection par défaut est aux abonnés absent elle ne peut faire grand-chose car la majorité relative au parlement est qu'elle n'a pas la main totalement et donc bien sur le chef d'état!?

Par cette situation parlementaire bancale par des échecs présidentiels sanctionnés par le Français qui commencent être lassés par ce monde politique de tous bords d'une médiocrité lamentable !?

Mme BORNE est semble-t-il une bonne technicienne qui a les pieds sur terre mais l'entourage ministériel qu'elle est censée diriger dans son gouvernement est médiocre car choisi par un président qui ne sait pas où il va dans tous les domaines !

Et pour le vote du budget il ne serait pas étonnant car forcée qu'elle déclenche le fameux 49/3 car avec la pauvreté de nos institutions de cette Veme république que l'on n'arrive pas à modifier depuis + de 40 ans la FRANCE végète et ce sont les Français qui en pâtissent !

Jdeclef 04/09/2022 11h40


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