vendredi 2 septembre 2022

LEMAIRE est le vilain petit canard qui lui promet vraiment le serrage de vis : Ce que les autres ne veulent pas faire mais lui n'a aucun scrupule car il pense à 2027 pour lui !

 

Pourquoi le bouclier tarifaire devient intenable

Le gouvernement veut faire passer une hausse des prix de l’énergie début 2023. Le maintien du bouclier tarifaire en l'état coûterait jusqu’à 50 milliards d’euros…

TOUT EST RELATIF LA DETTE DE LA FRANCE AU 24/6/2022 SE MONTE À 2901,8 MILLIARDS  114,5 % du PIB sur les 10 pays les plus riches LE JAPON en tête avec 266,2% du PIB LA FRANCE à égalité avec LE CANADA en 6 eme position…

Cette fois, c'est peut-être la véritable sortie du « quoi qu'il en coûte » que prépare le pouvoir. Emmanuel Macron et Élisabeth Borne s'apprêtent à décider de combien ils vont laisser le prix de l'électricité et du gaz augmenter à partir de début 2023, après avoir appliqué un bouclier tarifaire en 2022. Cette année, la hausse du prix de l'électricité, qui aurait dû augmenter de 35 %, a été limitée à 4 %. Quant au prix du gaz, il est bloqué depuis octobre 2021 alors qu'il aurait dû bondir de 47 % à juin 2022…

Dans une interview accordée aux Échos, le ministre de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire, a préparé les esprits, jeudi 1er septembre. « Sans le bouclier tarifaire, a-t-il prévenu, l'augmentation des tarifs du gaz et de l'électricité serait d'au moins 100 % l'année prochaine ! Soit une hausse de 120 euros en moyenne par mois et par ménage ».

Il n'est évidemment pas question de laisser advenir une telle hausse – totalement inacceptable pour les Français. Pas même une augmentation de 40 %, a précisé l'homme fort de Bercy. Mais ces derniers vont bien devoir assumer une partie du renchérissement des prix de l'énergie, après avoir été préservés en cette année électorale. La remise d'État sur les prix du carburant devrait même disparaître.

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Avec la crise du coronavirus, « on s'est habitué, pendant deux ans, à avoir un État un peu nounou. C'était donc difficile de débrancher le quoi qu'il en coûte », reconnaît un ténor de la majorité à l'Assemblée. Mais cette fois, il va falloir se sevrer. « Les gens ne sont pas idiots. Le maintien [du bouclier tarifaire] poserait la question d'un impôt différé. Les gens se demanderaient qui va payer à la fin », justifie-t-il.

Un bouclier devenu hors de prix

Il faut dire qu'avec l'envolée actuelle des prix de l'électricité et du gaz sur les marchés de l'énergie, le maintien du bouclier tarifaire dans sa version actuelle, afin d'éviter le doublement des prix évoqué par Bruno Le Maire, aurait coûté, rien que sur ces deux énergies, de « 40 à 50 milliards d'euros » sur l'année 2023, si les prix devaient se maintenir au même niveau toute l'année prochaine, a-t-on calculé à Bercy. Un gouffre financier énorme, au moment où les taux d'intérêt auxquels la France emprunte remontent. Même avec les hausses de tarifs que le gouvernement espère faire accepter aux Français, il y aurait largement de quoi, dans ce scénario très noir, empêcher le gouvernement de tenir sa cible de 5 % de déficit, qui doit déjà ne plus se réduire par rapport à 2022, avoue-t-on au ministère de l'Économie et des Finances, qui n'envisage pas d'économies budgétaires supplémentaires pour compenser.

Quels sont les ménages qui subissent le plus l'inflation ?

Une inflation qui se diffuse à l'ensemble de l'économie

Au mois d'août, l'inflation par rapport au même mois de l'année précédente a atteint 5,8 %, contre 6,1 % en juillet selon l'Insee. La hausse générale des prix a donc légèrement ralenti, ce qui paraît encourageant. Ce mouvement pourrait d'ailleurs se poursuivre en septembre et en octobre avec l'augmentation à 30 centimes de la réduction sur les prix du carburant, contre 18 centimes jusqu'ici.

Mais le pic d'inflation est loin d'être passé, selon Bruno Le Maire. Celui-ci ne devrait pas être atteint avant « le courant 2023 », selon le ministre de l'Économie et des Finances. Car la hausse des prix se diffuse désormais à l'ensemble de l'économie. « Au début du choc, 70 % de l'inflation était tirée par les prix de l'énergie, aujourd'hui, c'est 40 %, car les prix du pétrole ont beaucoup baissé », explique-t-on à Bercy. Cantonnée au départ aux prix de gros facturés aux entreprises, l'augmentation des prix se transmet désormais aux prix de détails facturés directement aux consommateurs. « L'industriel de l'agroalimentaire, qui avait retenu ses augmentations de prix pendant des semaines, les fait passer à la rentrée », illustre-t-on au ministère de l'Économie et des Finances.

Selon l'Insee, le bouclier tarifaire, dans sa forme actuelle (y compris les mesures sur les carburants), a permis de faire baisser le taux d'inflation en France de plus de 3 points entre le deuxième trimestre 2021 et le deuxième trimestre 2022. Sur cette période, l'inflation a plafonné à 5,3 %, alors qu'elle aurait atteint 8,4 % sans le bouclier… L'Insee note aussi que ce dispositif gouvernemental a particulièrement protégé « les ménages les plus modestes et les plus âgés », dont la part des dépenses d'énergies dans leur budget est supérieure à celle des ménages aux revenus les plus élevés. On voit donc à quel point l'affaiblissement du bouclier tarifaire en 2023 risque d'être mal vécu. Le gouvernement pourrait décider d'augmenter le chèque énergie pour amortir le choc des Français aux revenus les plus limités. Reste à savoir si cela sera suffisant…

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En 2023 car il se dira obligé avec de multiples raisons et notamment l'UKRAINE c'est si facile de dire cela comme alibi même si les Français n'en sont pas responsables et c'est justement cela peut être qui ne passera pas (car les réductions sur les carburants sont l'arbre qui cache la forêt) mais ça fait plaisir ces baisses de quelques centimes de ces Français qui se sont habitués à leurs voitures dont certains qui se sont éloignés des grandes villes comme en IDF et qui ne peuvent plus se passer de véhicules quelque fois deux par foyer !

Mais il y a le reste l'électricité et gaz que tout le monde utilise !?

Car nos derniers dirigeants F.HOLLANDE et E.MACRON ont laissé se dégrader notre parc nucléaire sans l'entretenir correctement ou n'en construisant pas d'autres assez vite qui en plus ne fonctionne pas encore comme ce fameux EPR de Flamanville et avons fermé nos centrales à charbon dont certaines devront être remises en service tout ça peut être pour faire plaisir à des écolos illuminés empêcheurs de tourner en rond ou même les parcs d'éoliennes et ceux en mer nous sommes le pays le moins doté !

Voire développer l'usage de panneaux solaires nombreux ou mêmes peindre les toits des immeubles en blanc sans compter les isolations diverses des habitations car c'est l'état et nos dirigeants qui nous gouvernent le réchauffement climatique ne date pas d'aujourd'hui avec ces incendies qui ont fait peur (avec leurs pyromanes !)

Mais il ne savent que bavarder et dire qu'il faut faire ceci ou cela depuis des lustres mais cela coute cher alors maintenant il faut pressurer les Français pour qu'ils puissent vivre normalement car prévoir il ne savent pas faire et « quand ils ont le nez dedans ils disent que ça pue »?!

Mais oublie qu'ils ont été élus pour çà diriger gérer agir et ne pas rejeter la faute de leur imprévoyance coupable sur les autres ou le peuple (car là il risque de ne pas se laisser faire les FRANCAIS Mrs les donneurs de leçons qu'ils n’appliquent pas à eux-mêmes!?)

Jdeclef 02/09/2022 14h44 LP


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