Un monde
sans Macron ni Mélenchon
Hasard du
calendrier, Emmanuel Macron comme Jean-Luc Mélenchon pensent tous deux à leur
succession politique… sans désigner de dauphin.
EN
FRANCE DEPUIS DES LUSTRES ON NE SAIT QUE CHOISIR DES DIRIGEANTS OU POLITICIENS
DE TOUS BORDS QUI NOUS ELISONS VOIRE REELISONT INCOMPETENTS GONFLES D’ORGUEILS NE
PENSANT QU’A EUX ET GOUVERNANT MAL POUSSANT LA FRANCE VERS FOND QU’ELLE N’A PAS
ENCORE TOUCHEE MAIS ON N’EST PAS LOIN D’Y ARRIVER !?
Imaginez un monde politique
nouveau, un monde sans Emmanuel Macron et sans Jean-Luc Mélenchon… Cet exercice
de prospective vous semble insurmontable ? Il faut pourtant vous y
préparer, car les deux ennemis préférés de la politique française se sont
résignés, l'un comme l'autre, à envisager leur succession politique. L'actuel
président de la République ne peut se représenter pour un troisième mandat
– la Constitution le lui interdit –, tandis que le leader de la Nupes, âgé
aujourd'hui de 71 ans, ne semble pas vraiment emballé à l'idée de mener
une quatrième campagne présidentielle… « Je souhaite être remplacé »,
expliquait-il mardi 6 septembre au matin dans une interview publiée sur le
site Reporterre… Avant de se raviser le soir même : « Je réponds
n'importe quoi pour qu'on me foute la paix », corrigeait-il sur le plateau
du magazine de France 5 C dans l'air. Pour ne jamais fermer la
porte à un éventuel retour, rien de mieux que d'entretenir le flou entre vrai
et faux départ.
L'ancien trotskiste, trois fois candidat malheureux à la présidentielle, a
eu à cœur de former une nouvelle génération de cadres politiques capables de
lui succéder. Ils sont aujourd'hui nombreux à pouvoir espérer prendre la suite
du tribun, qui a déjà renoncé à se faire élire à l'Assemblée nationale. Manon
Aubry, Manuel Bompard, Alexis Corbière, Adrien Quatennens, Mathilde Panot ou
François Ruffin font partie des noms régulièrement cités. Tous ont en commun de
faire partie des députés très actifs de La France insoumise. « Le propre
de Mélenchon est de faire croire à chacun qu'il sera celui ou celle qui lui
succédera. Même certains députés du PS de la Nupes y
croient ! » se marre un cadre politique de gauche qui connaît
bien le leader Insoumis.
Nouvelle génération
Du côté d'Emmanuel Macron, c'est au cours d'un dîner avec sa garde
rapprochée à l'Élysée que le président a, pour la première fois, évoqué sa
succession et admis l'existence d'un bal des prétendants : « Il y a
des ambitions autour de cette table, et c'est normal. Elles s'exprimeront le
moment venu. J'y prendrai toute ma part, j'en serai le garant », a-t-il
prévenu. S'il n'est pas certain que le macronisme survive à Emmanuel Macron,
les candidats à sa succession sont déjà nombreux. Tous étaient déjà en
politique – chez les LR – avant l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence
de la République : Bruno Le Maire, Gérald Darmanin ou encore l'ancien
Premier ministre Édouard Philippe sont régulièrement cités comme intéressés par
le poste.
INFO LE POINT.
Macron prépare déjà l'après-Macron
Pas de dauphin
Aucun des deux leaders politiques ne semble vouloir désigner de dauphin. Ils
savent que cela aurait pour effet immédiat de les entraîner dans une ambiance
de fin de règne tout en accrochant une cible dans le dos des héritiers
putatifs. Autre point commun, le président de la République comme le leader
Insoumis ont à leur service des structures qui doivent davantage à leurs
charismes respectifs qu'à une tradition politique bien ancrée, des
« mouvements gazeux », pour reprendre le terme de Mélenchon.
Forcément, dans ce type de structures, la question du chef est cruciale et
ouvrir la question de la succession, c'est prendre le risque de voir l'édifice
politique s'effondrer. Voilà pourquoi les deux responsables politiques ont
appelé les aspirants à leur succession à la retenue. « Le premier qui
déclenche une guerre civile au sein de LFI aura affaire à moi […] Mais
voilà ma consigne : faites-vous aimer. Celui ou celle qui sera le plus
aimé du grand nombre, vous verrez que cela vous paraîtra naturel », a
expliqué Jean-Luc Mélenchon… après six années de règne sans partage – et de
purges (Thomas Guénolé, Charlotte Girard, Georges Kuzmanovic, pour ne citer
qu'eux) – à la tête de son mouvement.
Jaurès contre Obama
Ceux qui ont eu un jour à rédiger un testament devant notaire savent
que rien n'est plus désagréable que d'envisager un monde qui continuerait de
tourner en dépit de son absence. Aucune raison que des responsables politiques,
abonnés aux jeux de pouvoir, échappent à cette faille narcissique ! Deux
hommes puissants confrontés à leur propre finitude, voilà qui devrait alimenter
la dramaturgie médiatique pour quelques années… Il n'y a pas que l'hiver qui
promet d'être long, il faut se préparer à assister au défilé de
ceux-qui-s'y-voient, ceux-qui-s'y-croient et
ceux-qui-font-semblant-de-ne-pas-y-songer… tout en espérant secrètement décrocher
la timbale.
« La Nupes ne
signe pas la refondation de la gauche »
Mais la comparaison entre Macron et Mélenchon s'arrête là, car les deux
hommes ne nourrissent pas les mêmes desseins pour leur succession. Jean-Luc
Mélenchon espère que sa pensée politique passera à la postérité, alors
qu'Emmanuel Macron semble redouter d'être celui qui, malgré deux mandats,
n'aura pas réussi à empêcher le pays de basculer vers l'extrême droite.
« Ma responsabilité, c'est que Marine Le Pen ne gagne pas en 2027 »,
aurait-il déclaré lors de ce fameux dîner. En somme, l'un se rêve en nouveau
Jaurès, tandis que l'autre redoute de finir comme Obama, ce président que l'on
disait moderne, adoré à l'international et qui, après deux mandats, a remis les
clefs de la Maison-Blanche à un populiste…
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Ne soient
plus là dans notre monde politique français ne seraient pas une grande perte!
Mais
c'est surtout le monde politique de tous bords qu'ils faut changer voire
renouveler et cette V eme république pseudo monarchique usée obsolète et usée
avant de tomber dans une anarchie rampante que l'on voit déjà défiler chaque
jours dans les faits divers quotidiens relaté par nos médias !
La France
continue de glisser vers le fond malgré que dans notre république démocratique
libre leur permettre de changer tout ce qui ne va pas et part à veau l'eau bien
que les Français peuvent voter droit qu'il utilise mal car ne sachant plus
seulement bien choisir ceux qui les dirigeront !?
Mais nos
concitoyens ne savent que râler ou manifester en se regardant le nombril
pratiquant le chacun pour soi pour garder leurs petits conforts habituels !?
Alors
bien sur certains se réfugie en votant pour les extrêmes droites ou gauches
comme les pays scandinaves pourtant bien plus disciplinés comme la SUÈDE
C'est
plus grave que ce qu'en pensent les Français lambda qui élisent un dirigeant
qui a trop de pouvoir qu'il utilise mal !?
Car c'est
le chemin vers la démocrature totalitaire que l'on connait déjà dans de grands
pays et là, finie nos libertés mal encadrées ou lois que certains ne respectent
pas en appliquant les leurs !?
Car les
zones de non droits comme on les appellent dans notre pays sont nombreuses et
ne diminuent pas !?
La FRANCE
est malade de sa bienpensante hypocrisie de donneuse de leçons diffusé par
certains de nos élus !
Jdeclef
15/09/2022 11h04
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