jeudi 15 septembre 2022

Que ces deux clowns tristes orgueilleux comme des paons faisant la roue ne font qu'alimenter la liste de ces élus incompétents qui ne pensent qu'à eux !

 

Un monde sans Macron ni Mélenchon

Hasard du calendrier, Emmanuel Macron comme Jean-Luc Mélenchon pensent tous deux à leur succession politique… sans désigner de dauphin.

EN FRANCE DEPUIS DES LUSTRES ON NE SAIT QUE CHOISIR DES DIRIGEANTS OU POLITICIENS DE TOUS BORDS QUI NOUS ELISONS VOIRE REELISONT INCOMPETENTS GONFLES D’ORGUEILS NE PENSANT QU’A EUX ET GOUVERNANT MAL POUSSANT LA FRANCE VERS FOND QU’ELLE N’A PAS ENCORE TOUCHEE MAIS ON N’EST PAS LOIN D’Y ARRIVER !?

Imaginez un monde politique nouveau, un monde sans Emmanuel Macron et sans Jean-Luc Mélenchon… Cet exercice de prospective vous semble insurmontable ? Il faut pourtant vous y préparer, car les deux ennemis préférés de la politique française se sont résignés, l'un comme l'autre, à envisager leur succession politique. L'actuel président de la République ne peut se représenter pour un troisième mandat – la Constitution le lui interdit –, tandis que le leader de la Nupes, âgé aujourd'hui de 71 ans, ne semble pas vraiment emballé à l'idée de mener une quatrième campagne présidentielle… « Je souhaite être remplacé », expliquait-il mardi 6 septembre au matin dans une interview publiée sur le site Reporterre… Avant de se raviser le soir même : « Je réponds n'importe quoi pour qu'on me foute la paix », corrigeait-il sur le plateau du magazine de France 5 C dans l'air. Pour ne jamais fermer la porte à un éventuel retour, rien de mieux que d'entretenir le flou entre vrai et faux départ.

L'ancien trotskiste, trois fois candidat malheureux à la présidentielle, a eu à cœur de former une nouvelle génération de cadres politiques capables de lui succéder. Ils sont aujourd'hui nombreux à pouvoir espérer prendre la suite du tribun, qui a déjà renoncé à se faire élire à l'Assemblée nationale. Manon Aubry, Manuel Bompard, Alexis Corbière, Adrien Quatennens, Mathilde Panot ou François Ruffin font partie des noms régulièrement cités. Tous ont en commun de faire partie des députés très actifs de La France insoumise. « Le propre de Mélenchon est de faire croire à chacun qu'il sera celui ou celle qui lui succédera. Même certains députés du PS de la Nupes y croient ! » se marre un cadre politique de gauche qui connaît bien le leader Insoumis.

Nouvelle génération

Du côté d'Emmanuel Macron, c'est au cours d'un dîner avec sa garde rapprochée à l'Élysée que le président a, pour la première fois, évoqué sa succession et admis l'existence d'un bal des prétendants : « Il y a des ambitions autour de cette table, et c'est normal. Elles s'exprimeront le moment venu. J'y prendrai toute ma part, j'en serai le garant », a-t-il prévenu. S'il n'est pas certain que le macronisme survive à Emmanuel Macron, les candidats à sa succession sont déjà nombreux. Tous étaient déjà en politique – chez les LR – avant l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République : Bruno Le Maire, Gérald Darmanin ou encore l'ancien Premier ministre Édouard Philippe sont régulièrement cités comme intéressés par le poste.

INFO LE POINT. Macron prépare déjà l'après-Macron

Pas de dauphin

Aucun des deux leaders politiques ne semble vouloir désigner de dauphin. Ils savent que cela aurait pour effet immédiat de les entraîner dans une ambiance de fin de règne tout en accrochant une cible dans le dos des héritiers putatifs. Autre point commun, le président de la République comme le leader Insoumis ont à leur service des structures qui doivent davantage à leurs charismes respectifs qu'à une tradition politique bien ancrée, des « mouvements gazeux », pour reprendre le terme de Mélenchon. Forcément, dans ce type de structures, la question du chef est cruciale et ouvrir la question de la succession, c'est prendre le risque de voir l'édifice politique s'effondrer. Voilà pourquoi les deux responsables politiques ont appelé les aspirants à leur succession à la retenue. « Le premier qui déclenche une guerre civile au sein de LFI aura affaire à moi […] Mais voilà ma consigne : faites-vous aimer. Celui ou celle qui sera le plus aimé du grand nombre, vous verrez que cela vous paraîtra naturel », a expliqué Jean-Luc Mélenchon… après six années de règne sans partage – et de purges (Thomas Guénolé, Charlotte Girard, Georges Kuzmanovic, pour ne citer qu'eux) – à la tête de son mouvement.

Jaurès contre Obama

Ceux qui ont eu un jour à rédiger un testament devant notaire savent que rien n'est plus désagréable que d'envisager un monde qui continuerait de tourner en dépit de son absence. Aucune raison que des responsables politiques, abonnés aux jeux de pouvoir, échappent à cette faille narcissique ! Deux hommes puissants confrontés à leur propre finitude, voilà qui devrait alimenter la dramaturgie médiatique pour quelques années… Il n'y a pas que l'hiver qui promet d'être long, il faut se préparer à assister au défilé de ceux-qui-s'y-voient, ceux-qui-s'y-croient et ceux-qui-font-semblant-de-ne-pas-y-songer… tout en espérant secrètement décrocher la timbale.

« La Nupes ne signe pas la refondation de la gauche »

Mais la comparaison entre Macron et Mélenchon s'arrête là, car les deux hommes ne nourrissent pas les mêmes desseins pour leur succession. Jean-Luc Mélenchon espère que sa pensée politique passera à la postérité, alors qu'Emmanuel Macron semble redouter d'être celui qui, malgré deux mandats, n'aura pas réussi à empêcher le pays de basculer vers l'extrême droite. « Ma responsabilité, c'est que Marine Le Pen ne gagne pas en 2027 », aurait-il déclaré lors de ce fameux dîner. En somme, l'un se rêve en nouveau Jaurès, tandis que l'autre redoute de finir comme Obama, ce président que l'on disait moderne, adoré à l'international et qui, après deux mandats, a remis les clefs de la Maison-Blanche à un populiste…

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Ne soient plus là dans notre monde politique français ne seraient pas une grande perte!

Mais c'est surtout le monde politique de tous bords qu'ils faut changer voire renouveler et cette V eme république pseudo monarchique usée obsolète et usée avant de tomber dans une anarchie rampante que l'on voit déjà défiler chaque jours dans les faits divers quotidiens relaté par nos médias !

La France continue de glisser vers le fond malgré que dans notre république démocratique libre leur permettre de changer tout ce qui ne va pas et part à veau l'eau bien que les Français peuvent voter droit qu'il utilise mal car ne sachant plus seulement bien choisir ceux qui les dirigeront !?

Mais nos concitoyens ne savent que râler ou manifester en se regardant le nombril pratiquant le chacun pour soi pour garder leurs petits conforts habituels !?

Alors bien sur certains se réfugie en votant pour les extrêmes droites ou gauches comme les pays scandinaves pourtant bien plus disciplinés comme la SUÈDE

C'est plus grave que ce qu'en pensent les Français lambda qui élisent un dirigeant qui a trop de pouvoir qu'il utilise mal !?

Car c'est le chemin vers la démocrature totalitaire que l'on connait déjà dans de grands pays et là, finie nos libertés mal encadrées ou lois que certains ne respectent pas en appliquant les leurs !?

Car les zones de non droits comme on les appellent dans notre pays sont nombreuses et ne diminuent pas !?

La FRANCE est malade de sa bienpensante hypocrisie de donneuse de leçons diffusé par certains de nos élus !

Jdeclef 15/09/2022 11h04


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