mardi 27 septembre 2022

Ce mauvais concours de menaces nucléaires sont très préoccupantes car que se soit l'utilisation d'une bombinette ou d'une grosse bombe c'est du nucléaire !

 

Non au chantage atomique de Poutine

ÉDITO. La Russie se dit prête à tout pour renverser à son avantage le cours de la guerre en Ukraine. Européens et Américains doivent se préparer au pire.

LES EUROPEENS OCCIDENTAUX ET USA N’ONT RIEN COMPRIS DEPUIS LE DEBUT DE CETTE GUERRE D’AGRESSION DE L’UKRAINE FAITE PAR POUTINE ILS ONT TRAINES A REAGIR MAIS MAINTENANT N’ONT PLUS GRANDS CHOIX POUR STOPPER CE RUSSE FOU DANGEREUX COMME POUR D’AUTRES DICTATEURS TOUJOURS PRESENTS DANS LE MONDE !?

La pire phase de la guerre d'Ukraine est probablement encore à venir. L'avertissement prononcé le 21 septembre par Vladimir Poutine doit être pris au sérieux : il est désormais envisageable que pour la première fois depuis 1945, une arme nucléaire soit utilisée. Les Occidentaux doivent se préparer à ce moment fatal, car, assurément, nous entrerions alors dans un autre monde. Le président russe s'est placé dans un piège tragique. Tout indique qu'il est conscient que ses déboires en Ukraine risquent de déboucher sur un affaiblissement de la Russie plus profond encore que celui des années 1990, qu'il n'a de cesse de déplorer. Ses armées, mal commandées, mal équipées, mal entraînées, accumulent les revers. Le plan A, la prise de Kiev, a fait long feu. Le plan B, la consolidation et l'extension des conquêtes territoriales dans le bassin du Don, a échoué lui aussi.

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Vladimir Poutine est maintenant passé au plan C. Il prévoit d'annexer, selon le modèle éprouvé en 2014 en Crimée, les quatre régions ukrainiennes tombées en tout ou en partie sous le contrôle militaire de Moscou : Louhansk, Donetsk, Zaporijjia et Kherson. En les sanctuarisant, le despote menace implicitement du feu nucléaire quiconque tenterait de les lui reprendre. D'une guerre d'agression, son invasion de l'Ukraine devient par ce tour de passe-passe une guerre défensive contre l'Occident tout entier. « Si l'intégrité territoriale de notre pays est menacée, nous userons de tous les moyens disponibles pour protéger la Russie et notre peuple, a-t-il affirmé. Ceci n'est pas du bluff. » Il est improbable que la mobilisation partielle qu'il a décrétée change quoi que ce soit sur le terrain. Les Ukrainiens restent déterminés à reconquérir l'intégralité de leur territoire, y compris la Crimée. Dans ces conditions, l'escalade nucléaire ne peut plus être exclue.

Conséquences dévastatrices

À Moscou, on y prépare les esprits. Olga Skabaïeva, présentatrice de l'émission de débat 60 minutes sur la télévision d'État, affirmait sans ciller le 19 septembre qu'il aurait fallu envoyer un missile balistique à tête nucléaire sur Londres ce jour-là, afin d'éliminer les dirigeants occidentaux venus assister aux funérailles de la reine Elizabeth. La Russie a les moyens de crédibiliser sa menace : elle possède plus de 6 000 ogives, autant que toutes les autres puissances atomiques réunies, États-Unis compris. Sa doctrine officielle n'exclut pas l'emploi en premier d'une arme nucléaire sur le champ de bataille, contrairement à la France qui, elle, n'envisage qu'un emploi en seconde frappe, en cas d'attaque menaçant ses intérêts vitaux.

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La démarche de Vladimir Poutine a un nom : le chantage. Il ne faut pas y céder. Donbass et Crimée, même annexés, sont des territoires illégalement occupés. Accepter que les frontières soient modifiées de force en Europe sous la menace d'armes de destruction massive, ce serait ouvrir la voie à la catastrophe. Car si le Kremlin arrive à ses fins dans le Donbass, après la Crimée il y a huit ans, pourquoi s'arrêterait-il en si bon chemin ?

Intimider et diviser les Occidentaux

Les Occidentaux, en particulier les puissances nucléaires comme les États-Unis et la France, doivent faire comprendre à la Russie que l'emploi de l'arme suprême aurait pour elle des conséquences dévastatrices. Vladimir Poutine n'est ni fou ni suicidaire. Il a de moins en moins de soutiens – même la Chine vient de prendre, timidement, quelques distances. En Russie, son pouvoir commence à être contesté. Les ultras critiquent les reculades en Ukraine, son appareil dictatorial est miné par des intrigues, la population renâcle à s'enrôler.

S'il choisit l'escalade, c'est dans l'espoir d'intimider et de diviser les Occidentaux. La seule réponse rationnelle à ses menaces que peuvent apporter les Américains et les Européens est de continuer à isoler et à sanctionner durement son régime. Et de maintenir, sans faiblir, leur soutien à l'Ukraine.

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Que se soit par l'utilisation frappe nucléaire dite tactique par la Russie c'est toujours de l'atomique et déclenchera indirectement la suite par des ripostes des pays démocratiques libres européens qui possèdent l'arme nucléaire plus puissante que celles tactiques comme la France semble-t-il ou l'Angleterre et bien sur les USA alliés!?

Donc si les allies OTANIENS n'arrivent pas à se débarrasser de POUTINE de ce jeu d'échec de fou spécialité Russe !

On est très mal partis avec nos dirigeants donneurs de leçons bienpensants aussi hypocrites que leur diplomatie de salon !

Car les menaces de ce dictateur Russe acculé à ne rien faire sont bien plus précises et en plus qui s'allie avec la république islamiste d'Iran qui bien sur déteste autant que lui les occidentaux (bien que de cultures religieuses et autres différentes mais avec un ennemi commun occidental mais surtout US !)

On est presque arrivé au point de non-retour avec cette guerre Ukrainienne qui sert de raisons en forme d'alibi de faux jeton à ce menteur pour s'en prendre indirectement à l'occident et surtout aux USA et qui ont pourtant la force pour l'arrêter voire l'éliminer en se posant la question qui tirera le 1er ?!

C'est plus qu'effrayant car certains croient que cela ne pourra arriver mais ils ne sont pas capables de savoir ce qui se passe dans le cerveau de Poutine fermé comme une huitre et un animal malade ou blessé est bien plus dangereux car dos au mur !?

Les peuples civilisés de tous ces pays démocratiques libres ne sont plus en sécurité à cause d'un seul homme au XXI eme siècle c'est dément ?!

Car leurs dirigeants depuis + de trente ans croyaient à une paix éternelle d'après nos guerres mondiales mais surtout ne connaissent pas les hommes et leurs défauts car incurables !

Alors pour ceux qui croient à leurs dieux qu’ils prient ils ne leur restent plus que ça !

Jdeclef 27/06/2022 13h31LP


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