Val-de-Marne :
le propriétaire du loft de la fête sauvage en garde à vue
En plein
reconfinement, les policiers ont dû intervenir dans un pavillon à
Joinville-le-Pont pour interrompre une soirée privée très alcoolisée.
Alors que la
France observe un deuxième confinement et des règles sanitaires strictes, des
policiers ont dû interrompre une soirée privée
réunissant 300 personnes dans le Val-de-Marne. Alertées par des
riverains, les forces de l'ordre ont été prises à partie par les fêtards dans, a
appris l'Agence France-Presse de source proche du dossier. Une enquête pour
violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique a été ouverte et
confiée à la sûreté départementale, a annoncé le parquet du Val-de-Marne.
Six
policiers ayant participé à cette intervention ont porté plainte. Le Parisien précise ce dimanche que le
propriétaire du loft où a eu lieu cette fête sauvage a été placé en garde à vue
pour mise en danger d'autrui. Selon l'Agence France-Presse, l'organisateur de
la soirée a également été placé en garde à vue.
Un
convive positif au coronavirus
Les faits
ont eu lieu la nuit de vendredi à samedi 14 novembre. Vers 2 heures
du matin, des voisins appellent la police en raison du tapage causé par une
fête dans le pavillon d'un particulier à Joinville-le-Pont (Val-de-Marne).
Arrivés sur place, les policiers constatent que quelque 300 personnes
sont rassemblées, « dans un mépris total des règles sanitaires », a
dénoncé samedi la préfecture de police sur son compte Twitter.
Selon une
source proche du dossier, les convives auraient été invités via les réseaux
sociaux. Les fêtards « manifestement très avinés », d'après une autre
source, prennent à partie les policiers et, « mécontents », leur
jettent des bouteilles, a révélé la préfecture de police. Les agents font alors
usage de grenades de désencerclement et évacuent ces invités. Aucun blessé
n'est à déplorer, a ajouté une source proche du dossier.
Il
n'y a eu aucune interpellation dans l'immédiat, mais les enquêteurs cherchent à
identifier les auteurs des violences ainsi que les organisateurs de la soirée.
Samedi après-midi, la préfecture de police a annoncé dans un tweet que
l'un des convives avait été testé positif au coronavirus, invitant tous les
invités de la soirée à se faire dépister au plus vite et à s'isoler. Il
n'y a eu aucune interpellation dans l'immédiat, mais une enquête est initiée,
diligentée par la sûreté départementale du Val-de-Marne, « afin
d'identifier les organisateurs de cette soirée clandestine ainsi que le
propriétaire des lieux », a précisé la préfecture.
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Mais là, la justice est inefficace,
car cette soi-disant fête organisée délibérément par celui qui l'a conduite et
ceux qui y ont participé, alors qu'interdite par nos autorités et le ministre
de l'intérieur méritait plus qu'une amende de 300 € en rapportant 40500 € au
total !
Surtout envers celui qui l’a
organisé par provocation semble-t-il, l’état par la voix du ministre de l’intérieur
devrait porter plainte à son encontre !?
Car quand un état dit
régalien n’arrive pas à maintenir l’ordre et pas seulement pour ce problème de
santé publique, il bascule dans une situation anarchique incontrôlable !
On se rencontre bien que
pour beaucoup de faits divers plus ou moins dangereux, les contrevenants ou délinquants
de tous poils n’ayant pas du tout peur des forces de l’ordre et des faibles
sanctions induites par une justice et son code pénal inadapté n’hésitent pas à transgresser
interdictions et règlements, voire les lois pour simplement s’amuser égoïstement
avec le chacun pour soi, sans se soucier des autres, à cause de nos libertés
mal encadrées sans garde-fou ?!
Car trop de liberté, tue les
libertés !
Jdeclef 15/11/2020 13h32
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