dimanche 15 novembre 2020

Le gouvernement marque un point quand il dit qu'une catégorie de français sont indisciplinés (voire inconscients...)

 

Val-de-Marne : le propriétaire du loft de la fête sauvage en garde à vue

En plein reconfinement, les policiers ont dû intervenir dans un pavillon à Joinville-le-Pont pour interrompre une soirée privée très alcoolisée.

Alors que la France observe un deuxième confinement et des règles sanitaires strictes, des policiers ont dû interrompre une soirée privée réunissant 300 personnes dans le Val-de-Marne. Alertées par des riverains, les forces de l'ordre ont été prises à partie par les fêtards dans, a appris l'Agence France-Presse de source proche du dossier. Une enquête pour violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique a été ouverte et confiée à la sûreté départementale, a annoncé le parquet du Val-de-Marne.

Six policiers ayant participé à cette intervention ont porté plainte. Le Parisien précise ce dimanche que le propriétaire du loft où a eu lieu cette fête sauvage a été placé en garde à vue pour mise en danger d'autrui. Selon l'Agence France-Presse, l'organisateur de la soirée a également été placé en garde à vue.

Un convive positif au coronavirus

Les faits ont eu lieu la nuit de vendredi à samedi 14 novembre. Vers 2 heures du matin, des voisins appellent la police en raison du tapage causé par une fête dans le pavillon d'un particulier à Joinville-le-Pont (Val-de-Marne). Arrivés sur place, les policiers constatent que quelque 300 personnes sont rassemblées, « dans un mépris total des règles sanitaires », a dénoncé samedi la préfecture de police sur son compte Twitter.

Selon une source proche du dossier, les convives auraient été invités via les réseaux sociaux. Les fêtards « manifestement très avinés », d'après une autre source, prennent à partie les policiers et, « mécontents », leur jettent des bouteilles, a révélé la préfecture de police. Les agents font alors usage de grenades de désencerclement et évacuent ces invités. Aucun blessé n'est à déplorer, a ajouté une source proche du dossier.

Il n'y a eu aucune interpellation dans l'immédiat, mais les enquêteurs cherchent à identifier les auteurs des violences ainsi que les organisateurs de la soirée.

Samedi après-midi, la préfecture de police a annoncé dans un tweet que l'un des convives avait été testé positif au coronavirus, invitant tous les invités de la soirée à se faire dépister au plus vite et à s'isoler. Il n'y a eu aucune interpellation dans l'immédiat, mais une enquête est initiée, diligentée par la sûreté départementale du Val-de-Marne, « afin d'identifier les organisateurs de cette soirée clandestine ainsi que le propriétaire des lieux », a précisé la préfecture.

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Mais là, la justice est inefficace, car cette soi-disant fête organisée délibérément par celui qui l'a conduite et ceux qui y ont participé, alors qu'interdite par nos autorités et le ministre de l'intérieur méritait plus qu'une amende de 300 € en rapportant 40500 € au total !

Surtout envers celui qui l’a organisé par provocation semble-t-il, l’état par la voix du ministre de l’intérieur devrait porter plainte à son encontre !?

Car quand un état dit régalien n’arrive pas à maintenir l’ordre et pas seulement pour ce problème de santé publique, il bascule dans une situation anarchique incontrôlable !

On se rencontre bien que pour beaucoup de faits divers plus ou moins dangereux, les contrevenants ou délinquants de tous poils n’ayant pas du tout peur des forces de l’ordre et des faibles sanctions induites par une justice et son code pénal inadapté n’hésitent pas à transgresser interdictions et règlements, voire les lois pour simplement s’amuser égoïstement avec le chacun pour soi, sans se soucier des autres, à cause de nos libertés mal encadrées sans garde-fou ?!

Car trop de liberté, tue les libertés !

Jdeclef 15/11/2020 13h32

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