CRITIQUES DE BON SENS: Commentaires d'articles de presse sur fait de société ou politique du monde
dimanche 29 novembre 2020
Cette manifestation habituelle de beaucoup de français qui ne réfléchissent pas :
Sécurité
globale : 133 000 manifestants selon
l'Intérieur, 500 000 selon les organisateurs
VIDÉO.
Plusieurs rassemblements se sont déroulés en France contre un texte
jugé attentatoire à « la liberté d'expression », après une
semaine agitée.
Ce samedi 28 novembre, 133 000 manifestants se
sont rassemblés en France pour montrer leur opposition au texte de loi
sécurité globale et à sa mesure phare, qui prévoit de restreindre la
possibilité de filmer les forces de l'ordre, mais aussi contre les violences
policières et le racisme. « Floutage de gueule », « Qui nous
protégera des féroces de l'ordre ? » : les manifestants ont
sorti les pancartes et fait fleurir les slogans. Ces chiffres sont ceux du
ministère. Selon les organisateurs, ils étaient plus de 500 000.
À Paris, la « marche des libertés » s'est
élancée entre la place de la République et celle de la Bastille et a
rassemblé 46 000 personnes, selon le ministère de l'Intérieur, 200 000
selon les organisateurs. En milieu d'après-midi, des tensions ont éclaté à
l'avant du cortège parisien, près de la place de la Bastille, et se
poursuivaient en fin de journée. Autour de 17 h 30, un kiosque à
journaux, l'entrée d'un bâtiment de la Banque de France et une brasserie
adjacente ont été incendiés, nécessitant l'intervention des
pompiers. Selon un tweet de la préfecture de police, à 18 h 15,
neuf personnes ont été interpellées. Un autre tweet a appelé à la
dispersion.
37 policiers blessés, selon Darmanin
Des groupes de manifestants très mobiles et tout en noir ont jeté
des projectiles en tout genre sur les forces de l'ordre, qui ont
répliqué par des tirs de gaz lacrymogène, selon une journaliste de l'Agence
France-Presse. Plusieurs manifestants blessés, dont une femme à la tête, ont
été pris en charge par d'autres manifestants ou les équipes de street medics, a
constaté une autre journaliste de l'Agence France-Presse. Autour de la statue
de la place, des manifestants ont descellé les pavés pour les lancer sur
les forces de l'ordre, qui ont multiplié les charges.
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