mardi 10 novembre 2020

Ces virus ne sont peut-être qu'une régulation naturelle du nombre d'habitants sur terre ?!

 

Béglé – Le Covid-19, poison lent des chefs d'État et de gouvernement

Et si la défaite de Trump préfigurait un mouvement de remplacement des dirigeants de nos démocraties balayés par un Covid qu'ils n'ont pas su juguler ?

À court terme, Emmanuel Macron, Angela Merkel et les autres dirigeants européens gagnent avec Joe Biden un partenaire plus aimable, plus rationnel et plus classique. Mais la défaite de Donald Trump peut également être le premier domino d'une longue série. Les électeurs des grandes démocraties vont être tentés de renvoyer chez eux les chefs d'État ou de gouvernement qui ont géré l'épidémie de Covid-19. À tort ou à raison ceux-ci apparaissent comme les apporteurs de mauvaises nouvelles, les messagers du pessimisme, voire des chefs de guerre vaincus et les parties prenantes des mauvais souvenirs d'une période noire que l'on veut impérativement chasser de nos mémoires.

En 1945 et 1946, les Britanniques et les Français ont viré purement et simplement Winston Churchill et Charles de Gaulle qui les avaient défendus avec succès et héroïsme pendant la guerre, mais incarnaient à leurs yeux, cette sueur, ce sang, ces larmes et ces maux dont on ne voulait plus entendre parler. Alors le Français Emmanuel Macron, l'Italien Guiseppe Conte, l'Allemande Angela Merkel, le Belge Alexander de Croo, l'Espagnol Pedro Sanchez ou l'Anglais Boris Johnson, qui incarnent une gestion hasardeuse du combat contre le Covid, ont beaucoup, beaucoup de soucis à se faire. Ils sont pour bien de leurs concitoyens les pages d'un livre qu'on souhaite vite refermer et oublier.

Être un chef de guerre, c'est bien, mais gagner la guerre, c'est mieux

Emmanuel Macron n'est pas immunisé contre cette sortie de piste. Il s'est lui-même installé en chef de guerre. D'abord en décrétant que la France était en guerre contre le coronavirus. Puis en se faisant filmer devant un hôpital militaire de campagne à Mulhouse le 25 mars. Être un chef de guerre, c'est bien, mais gagner, la guerre c'est mieux. Or, avec 40 000 morts déjà recensés, une seconde vague puissante et une crise économique de grande ampleur, la victoire n'est pas pour demain !

Coronavirus : les détails de l'opération militaire Résilience

Le paradoxe est là : pour montrer que la situation est grave, on insiste sur le nombre de décès quotidiens, mais chaque victime est une défaite pour le généralissime qui mène les troupes de cette drôle de guerre. Si le président veut briguer le suffrage des électeurs dans 18 mois, il faut que cette machine infernale cesse le plus tôt possible. Sans quoi, les Français pourraient le tenir pour directement responsable des dégâts de la maladie. Ce n'est pas en parlant de « couvre-feu », de « confinement », d'« état d'urgence sanitaire », ou d'« attestation de déplacement dérogatoire » que l'on mène une campagne électorale ou que l'on bâtit un programme.

Emmanuel Macron est pris au piège : quand il tente de s'extirper du coronavirus, on lui reproche son éloignement, voire son indifférence, et on se gausse de la gestion de la crise par le Premier ministre Jean Castex et le ministre de la Santé Olivier Véran. Quand il prend le problème à bras-le-corps, il se marque au fer rouge d'une situation qui laissera beaucoup de frustrations, beaucoup de mauvais souvenirs et de critiques. Oui, la crainte selon laquelle dans deux ans le club des ex-dirigeants de nos vieilles démocraties s'enrichira d'une bonne dizaine de nouveaux pensionnaires est le cauchemar des chefs d'État et de gouvernement.

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Pour éviter que son nombre n'explose aux détriments d'autres espèces, puisqu’ils sont présents depuis que notre planète existe bien avant l'être humain ?!

L’homme étant en haut de l’échelle des espèces, il modifie tout sur notre planète et décide et dirige tout !

Mais l’infiniment petit est semble-t-il le seul pour le détruire en nombre important subrepticement !

Mais il a un défaut, l’homme, il se combat entre eux-mêmes et surtout parce qu’ils sont divers de par leurs langues, leurs couleurs de peaux, leurs cultures et religions, et richesses ou pauvreté, mais surtout par le profit et le pouvoir ou la loi du plus fort prime et cela dure depuis leur venu sur terre, en s’accélérant surtout depuis plus de 2000 ans ou il est arrivé à maturité en nombre important !

Donc nos dirigeants derrières lesquels les peuples se rangent, ont besoin de chefs pour les diriger qui eux-mêmes sont aussi des hommes !

Et là on s’aperçoit qu’ils sont pareils à ceux qu’ils sont censés défendre et protéger ou le chacun pour soi prend le dessus, c’est humain dit-on ?!

Car cela fait ressortir leurs défauts, égoïsme, orgueils démesurés, dédain pour les gens en dessous d’eux, totalitarisme allant jusqu’à la dictature, bien qu’on ait abandonné, empire ou monarchie absolu et essayé des formes de laïcité pour réguler les religions et mysticisme etc.

Alors quand un problème grave se présente ces dirigeants de tous bords que nous avons élus dans nos pays démocratiques libres, ils sont dépassés, et ce qu’on leur reproche, c’est de n’avoir rien vu et surtout rien prévu tout comme leurs soi-disant élites scientifiques qui s’écoutent parler, jusqu’à dire qu’il faut s’habituer à vivre avec ce virus !?

Trop habitués à vivre dans le confort de nos sociétés modernes et évoluées !

Jdeclef 10/11/2020 11h37LP


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