Béglé – Le
Covid-19, poison lent des chefs d'État et de gouvernement
Et si la
défaite de Trump préfigurait un mouvement de remplacement
des dirigeants de nos démocraties balayés par un Covid qu'ils n'ont pas su
juguler ?
À court terme, Emmanuel Macron, Angela Merkel et les
autres dirigeants européens gagnent avec Joe Biden un partenaire plus aimable,
plus rationnel et plus classique. Mais la défaite de Donald Trump peut
également être le premier domino d'une longue série. Les électeurs des grandes
démocraties vont être tentés de renvoyer chez eux les chefs d'État ou de
gouvernement qui ont géré l'épidémie de Covid-19. À tort ou à raison
ceux-ci apparaissent comme les apporteurs de mauvaises nouvelles, les messagers
du pessimisme, voire des chefs de guerre vaincus et les parties
prenantes des mauvais souvenirs d'une période noire que l'on veut
impérativement chasser de nos mémoires.
En 1945 et 1946, les Britanniques et les Français ont
viré purement et simplement Winston Churchill et Charles de Gaulle qui les
avaient défendus avec succès et héroïsme pendant la guerre, mais incarnaient à
leurs yeux, cette sueur, ce sang, ces larmes et ces maux dont on ne voulait
plus entendre parler. Alors le Français Emmanuel Macron, l'Italien Guiseppe
Conte, l'Allemande Angela Merkel, le Belge Alexander de Croo, l'Espagnol Pedro
Sanchez ou l'Anglais Boris Johnson, qui incarnent une gestion hasardeuse du
combat contre le Covid, ont beaucoup, beaucoup de soucis à se faire. Ils
sont pour bien de leurs concitoyens les pages d'un livre qu'on
souhaite vite refermer et oublier.
Être un chef de guerre, c'est bien, mais gagner la guerre, c'est
mieux
Emmanuel Macron n'est pas immunisé contre cette sortie de piste.
Il s'est lui-même installé en chef de guerre. D'abord en décrétant que la France
était en guerre contre le coronavirus. Puis en se faisant filmer devant un
hôpital militaire de campagne à Mulhouse le 25 mars. Être un chef de
guerre, c'est bien, mais gagner, la guerre c'est mieux. Or, avec 40 000
morts déjà recensés, une seconde vague puissante et une crise économique de
grande ampleur, la victoire n'est pas pour demain !
Coronavirus : les détails de l'opération militaire Résilience
Le paradoxe est là : pour montrer que la situation est grave,
on insiste sur le nombre de décès quotidiens, mais chaque victime est une
défaite pour le généralissime qui mène les troupes de cette drôle de guerre. Si
le président veut briguer le suffrage des électeurs dans 18 mois, il
faut que cette machine infernale cesse le plus tôt possible. Sans quoi,
les Français pourraient le tenir pour directement responsable des dégâts
de la maladie. Ce n'est pas en parlant de « couvre-feu », de
« confinement », d'« état d'urgence sanitaire », ou
d'« attestation de déplacement dérogatoire » que l'on mène une
campagne électorale ou que l'on bâtit un programme.
Emmanuel Macron est pris au piège : quand il tente de
s'extirper du coronavirus, on lui reproche son éloignement, voire son
indifférence, et on se gausse de la gestion de la crise par le Premier
ministre Jean Castex et le ministre de la Santé Olivier Véran. Quand il prend
le problème à bras-le-corps, il se marque au fer rouge d'une situation qui
laissera beaucoup de frustrations, beaucoup de mauvais souvenirs et de
critiques. Oui, la crainte selon laquelle dans deux ans le club des
ex-dirigeants de nos vieilles démocraties s'enrichira d'une bonne dizaine de
nouveaux pensionnaires est le cauchemar des chefs d'État et de
gouvernement.
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Pour éviter que son nombre
n'explose aux détriments d'autres espèces, puisqu’ils sont présents depuis que
notre planète existe bien avant l'être humain ?!
L’homme étant en haut de l’échelle
des espèces, il modifie tout sur notre planète et décide et dirige tout !
Mais l’infiniment petit est
semble-t-il le seul pour le détruire en nombre important subrepticement !
Mais il a un défaut, l’homme,
il se combat entre eux-mêmes et surtout parce qu’ils sont divers de par leurs
langues, leurs couleurs de peaux, leurs cultures et religions, et richesses ou pauvreté,
mais surtout par le profit et le pouvoir ou la loi du plus fort prime et cela
dure depuis leur venu sur terre, en s’accélérant surtout depuis plus de 2000
ans ou il est arrivé à maturité en nombre important !
Donc nos dirigeants derrières
lesquels les peuples se rangent, ont besoin de chefs pour les diriger qui eux-mêmes
sont aussi des hommes !
Et là on s’aperçoit qu’ils
sont pareils à ceux qu’ils sont censés défendre et protéger ou le chacun pour
soi prend le dessus, c’est humain dit-on ?!
Car cela fait ressortir leurs
défauts, égoïsme, orgueils démesurés, dédain pour les gens en dessous d’eux, totalitarisme
allant jusqu’à la dictature, bien qu’on ait abandonné, empire ou monarchie absolu
et essayé des formes de laïcité pour réguler les religions et mysticisme etc.
Alors quand un problème
grave se présente ces dirigeants de tous bords que nous avons élus dans nos
pays démocratiques libres, ils sont dépassés, et ce qu’on leur reproche, c’est
de n’avoir rien vu et surtout rien prévu tout comme leurs soi-disant élites scientifiques
qui s’écoutent parler, jusqu’à dire qu’il faut s’habituer à vivre avec ce virus !?
Trop habitués à vivre dans
le confort de nos sociétés modernes et évoluées !
Jdeclef 10/11/2020 11h37LP
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