mercredi 11 novembre 2020

Avant de faire des statistiques qui soulent les français et n'apportent rien de nouveau :

 

Covid-19 : une majorité de Français n'envisagent pas de se faire vacciner

VIDÉO. Alors que le vaccin de Pfizer suscite l'espoir, près de 54 % des Français n'ont pas l'intention de se faire vacciner, selon un sondage Ipsos relayé par BFM.

L'annonce, lundi, par le groupe pharmaceutique Pfizer a été accueillie avec beaucoup de soulagement : le vaccin sur lequel il travaille aurait « plus de 90 % d'efficacité dans la prévention du Covid-19 ». Le chemin reste toutefois long pour ce précieux sérum, actuellement en phase 3 de développement, soit l'étape ultime avant la mise sur le marché. Il devra également échapper à la défiance des populations à son endroit, en particulier celle des Français.

Selon un sondage Ipsos publié jeudi 5 novembre et relayé par BFM TV, la part de la population mondiale prête à se faire vacciner contre le nouveau coronavirus se réduit. Alors que 77 % des personnes interrogées dans 15 pays différents affirmaient il y a trois mois vouloir se faire vacciner, seulement 73 % font part de la même volonté en novembre. Et l'Hexagone est le territoire où la défiance est la plus grande : une petite majorité de Français (54 %) souhaite en effet bénéficier d'une piqûre, contre 59 % au mois d'août.

Vaccin anticovid : pourquoi il faut rester prudent

«  J'espère que tout le monde ira se faire vacciner  »

Prudents, les Français semblent vouloir attendre que le sérum prouve son efficacité dans le temps, avant de s'y résoudre. En effet, toujours selon le sondage d'Ipsos, 12 % des sondés comptent se faire vacciner «  immédiatement  », 38 % au bout de trois mois et 54 % au cours de l'année. Cela signifie qu'un an après la commercialisation du vaccin, seule un peu plus de la moitié des Français seront immunisés grâce à un hypothétique vaccin. Une méfiance causée par la crainte d'éventuels effets secondaires (32 %), le sentiment que les essais cliniques sont trop précipités (35 %) et l'adhésion d'une partie de la population aux discours antivaccins.

Vaccin anti-Sars-CoV-2 : où en sont vraiment les chercheurs

Mardi, le député européen écologiste Yannick Jadot s'est déclaré favorable à rendre le vaccin contre le Covid-19 obligatoire. «  Oui  », a répondu l'élu EELV sur France Info à une question sur l'obligation d'une vaccination contre le virus. «  À partir du moment où le vaccin sera là, j'espère que tout le monde ira se faire vacciner  », a-t-il ajouté. «  La vaccination obligatoire est évidemment une piste à envisager  », a également estimé le numéro trois des Républicains Aurélien Pradié sur Public Sénat.

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Et surtout aussi de laisser dire que se faire vacciner serait obligatoire, laissons ces nombreux vaccins faire leur preuve de leur efficacité et pour tout le monde pas catégorie d’âge !

De plus crier victoire trop tôt est pernicieux, car pas garantie en termes d’efficacité, car ces annonces claironnées par ses laboratoires ne sont pour l’instant que pour leur profit et notoriété, défaut de ces communications qui vont aussi vite que le net qui les véhicule !

Car en plus cette annonce un peu trop tonitruante qui ne sert surtout qu’à faire plaisir à nos dirigeants qui sont dépassés « courant après leur queue comme de pauvres chiens perdus » à l’image de notre 1er ministre, il faudra au mieux pour les plus optimismes, et si ces vaccins sont certifiés valables, ils ne pourront être disponibles au mieux que début 2021 et encore pas pour tout le monde !

Ce qui n’empêchera pas au virus de continuer faire des morts ou des contaminations et comme on dit d’éminents virologues, car eux on n’en manque pas, de vivre avec, si on abandonne dans la foulée ces petites mesures de protections, attention, rappelons-nous du 1er déconfinement !

En ajoutant pour enfoncer le clou « qu’on ne pourra plus vivre comme avant cette pandémie mondiale », en espérant que l’on n’oubliera pas celle-ci au mieux après la fin 2021, ce qui est souvent le cas dans nos sociétés démocratiques libres et évoluées depuis la fin des années 60,car trop gâtées par un progrès trop rapide faisant croire à l’invulnérabilité des hommes qui vient d’être mise à mal par un infiniment petit, de mère nature qu’elle leçon n’est-ce pas comme pour les catastrophes naturelles qu’elle déchaine aussi, que les hommes ne peuvent maitriser !?

Jdeclef 11/11/2020 12h25


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