Assassinat
de Samuel Paty : quatre nouveaux mineurs mis en examen
Mercredi,
quatre collégiens ont été mis en examen, dont trois pour « complicité
d'assassinat terroriste », dans le cadre de l'enquête sur la mort de
l'enseignant.
Nouveau rebondissement dans l'enquête sur l'assassinat de Samuel
Paty, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). Jeudi 26 novembre, une source
judiciaire a fait savoir à l'Agence France-Presse que quatre nouveaux collégiens
avaient été mis en examen, la veille. Trois d'entre eux, âgés
de 13 et 14 ans, le sont pour « complicité
d'assassinat terroriste ». Le quatrième mineur est mis en examen pour
« dénonciation calomnieuse » : il s'agit de la fille de Brahim
Chnina, le parent d'élève qui est à l'origine de la campagne contre Samuel Paty
et qui a lui-même été poursuivi en justice et écroué.
Les trois mineurs mis en examen pour « complicité
d'assassinat terroriste » sont soupçonnés d'avoir désigné la victime
à l'assaillant Abdoullah Anzorov devant leur collège de
Conflans-Sainte-Honorine, a précisé cette source. Les quatre adolescents ont
été placés en garde à vue lundi ou mardi à la demande des juges
d'instruction antiterroristes du tribunal de Paris chargés de l'enquête.
Tous ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire à l'issue de leur
présentation aux magistrats instructeurs, a ajouté la source judiciaire.
Au total, 14 personnes sont poursuivies dans le cadre de
l'enquête
Ce nouveau coup de filet porte à 14 le nombre de
personnes poursuivies dans cette affaire. Deux premiers collégiens
de 14 et 15 ans avaient été mis en examen pour « complicité
d'assassinat terroriste » le 21 octobre, accusés d'avoir désigné
l'enseignant à l'assaillant contre « 300 à 350 euros », avait
indiqué le procureur antiterroriste Jean-François Ricard. Brahim Chnina, le
parent d'élève à l'origine de la campagne de dénigrement du professeur, et le
militant islamiste qui l'avait soutenu, Abdelhakim Sefrioui, sont également
poursuivis pour « complicité ». Les deux hommes avaient accusé le
professeur de « discrimination » envers les élèves musulmans sur la
foi du récit de la fille de Brahim Chnina, élève de Samuel Paty.
EXCLUSIF. L'« erreur » de Samuel Paty, selon
l'inspection académique !?
Cette dernière n'avait toutefois pas assisté au cours où le
professeur avait montré des caricatures du prophète de l'islam, le
6 octobre. Mais elle était présente la veille lorsque Samuel Paty avait
prévenu ses élèves de la teneur du cours du lendemain, et l'avait accusé
d'avoir alors demandé aux collégiens musulmans de se signaler. Le père et la
fille étaient allés porter plainte au commissariat contre Samuel Paty le
7 octobre.
Assassinat de Samuel Paty : la lettre ouverte de l'avocat de
Sefrioui à Macron
Samuel Paty, enseignant de 47 ans, a été décapité le
16 octobre à la sortie du collègue du Bois d'Aulnes à
Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) par Abdoullakh Anzorov, un réfugié russe
tchétchène de 18 ans, pour avoir montré des caricatures de Mahomet lors de
deux cours début octobre sur la liberté d'expression. Abdoullakh Anzorov,
radicalisé depuis plusieurs mois selon sa famille mais inconnu des services de
renseignement, avait été abattu par les policiers qu'il attaquait après son
crime.
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Mais donc, ils doivent avoir des parents ou responsables de leur éducation semble-t-il?!
Et au vu des événements
dramatiques qu'a subi ce professeur que dans cet établissement scolaire
soi-disant calme, il y avait des éléments douteux dans ses rangs?!
Ou dans son environnement
immédiat, car déjà 14 individus semblant impliqués ou poursuivis dans ce fait
criminel barbare même indirectement, ça fait beaucoup et surtout trop et montre
un sacré problème dans ce collège et ceux qui le fréquente !?
Et cela implique la
direction du collège, ces enseignants et notamment l'inspection d'académie et
le ministère de l'Éducation nationale qui dit souvent qu'il ne faut pas faire
de vague !?
Sauf que là, la vague est
devenue tsunami et que le fait d'avoir décoré des palmes académiques et de la
légion d'honneur et honoré à la Sorbonne temple de l'enseignement en France cet
enseignant après l'avoir assassiné avec une barbarie sans nom, est loin de
suffire!
Car hélas en France on a un
grand défaut on n'oublie trop vite ces drames et on passe à autre chose, alors
que l'on subit depuis des décennies des horreurs à cause de fanatiques qui ne
respectent rien et surtout pas la vie humaine, tout en ayant l'impudence de se
recommander de religions obscurantistes moyenâgeuses et en plus faisant du
prosélytisme pour essayer de les implanter dans notre pays !?
C'est totalement inconcevable
que nos dirigeants bien-pensants de tous de tous bords n'aient pas le courage
d'y mettre bon ordre pour simplement la sécurité des Français lambda !?
Jdeclef 26/11/2020 16h15
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