jeudi 20 juin 2019

Hélas c'est malheureux de dire cela mais si on l'avait laissé partir en Syrie et aurait peut-être été jugé las bas, voire être tué en combattant ?!


Deux surveillants agressés à la prison du Havre par un détenu radicalisé

Un homme de 25 ans, condamné en 2017 à 7 ans de prison pour des faits de terrorisme, a agressé les deux agents avec un pied de la table de sa cellule.


Deux surveillants ont été « légèrement blessés » jeudi matin au centre pénitentiaire du Havre par un détenu condamné pour des faits de terrorisme, a indiqué la direction de l'administration pénitentiaire (DAP). Selon Olivier Duval, délégué CGT au centre de détention du Havre interrogé par l'AFP, une surveillante a été blessée au bras et son collègue à l'épaule, à la jambe et au pouce. Ils ont été pris en charge par les urgences. Ils ont un jour d'incapacité totale de travail (ITT).
L'agresseur est un jeune homme de 25 ans originaire de Mantes-la-Jolie (Yvelines) condamné en 2017 à 7 ans de prison pour association de malfaiteurs terroristes. Il s'était rendu en Syrie. Les faits se sont déroulés à 7 heures, à l'ouverture de la cellule. Le détenu a frappé les deux agents avec un pied de la table de la cellule, qui serait en fer. Il aurait alors crié « Allah akbar ». Il venait de sortir du quartier d'évaluation de la radicalisation pour être détenu en régime plus contraignant. Le détenu, qui a été rapidement maîtrisé, a été placé en quartier disciplinaire.

« Gestion calamiteuse » des détenus radicalisés

Le parquet de Paris s'est saisi du dossier, sans toutefois attribuer une qualification terroriste à ces violences, en raison de la compétence de sa section antiterroriste pour toutes les infractions commises par des détenus impliqués dans des affaires de terrorisme. L'enquête est ouverte des chefs de « violences volontaires avec arme et sur personne dépositaire de l'autorité publique ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure à 8 jours ». Les investigations sont confiées à la police judiciaire de Rouen, à la section antiterroriste, la sous-direction antiterroriste et la Direction générale de la sécurité intérieure.
Dans un communiqué, le syndicat Ufap-Unsa a dénoncé « la gestion calamiteuse » des détenus radicalisés. Début mars, à Condé-sur-Sarthe (Orne), Michaël Chiolo, détenu radicalisé, avait agressé deux surveillants avec un couteau en céramique avant de se retrancher avec sa compagne pendant près de 10 heures dans une unité de vie familiale de la prison.
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Chez nous, il confirme sa radicalisation ne pouvant supporter ses 7 ans de prison nettement moins dur qu'en Syrie ou Irak, ceci en passant ou pire aurait pu être tuer en combattant pour DAESH et peut être condamné à la peine capitale dans ces pays moyens orientaux, s'il avait été pris vivant, car la justice est nettement moins clémente dans ces régions (quand elle existe) !

Car certains radicalisés sont incurables, il n'avait que 7 ans à faire qui aurait été diminué par des réductions de peines automatiques pour bonnes conduites cet imbécile illuminé !

Ce type de personnage ne mérite que les prisons de haute sécurité avec doublement au moins de peine, quand ils commettent de tels actes pour ne pas les retrouver trop vite dehors !

D'ailleurs c'est tous les radicalisés que l’on n’arrive pas à gérer, donc pour ces individus dangereux incurables on n'a d'autres choix que de les tenir enfermé longtemps !

Il faut le faire au milieu de nulle part, puisque nous sommes dans le pays des droits de l'homme, mêmes pour les plus dangereux avec notre justice laxiste de bienpensant donneurs de leçons !

Dans le passé on avait encore un bagne à CAYENNE en GUYANE qui aurait bien rempli cette tache de gardiennage pour criminels de ce type, on l'a fermé par humanité, on en arriverait à le regretter maintenant pour au moins les éloigner de la France !

Jdeclef 20/06/2019 17h02

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