samedi 29 juin 2019

Pauvre France maintenant bientôt infiltrée par certaine religion à dogme moyenâgeux !


Qui est Rachid El Jay, l'imam visé par une tentative d'assassinat  ?

Le prédicateur brestois s'était fait connaître, en 2014, par une vidéo polémique. Mais, depuis deux ans, son discours avait changé du tout au tout.

Issu d’une famille modeste d’origine marocaine, Rachid El Jay est devenu imam en 2004. Depuis 2016, il a choisi de délaisser le salafisme pour s'inscrire dans le courant malikite
Il y a 5 ans, une vidéo où il condamnait, dans des termes outranciers, la musique rock avait enflammé la Toile. Cette séquence, republiée sur des sites d'extrême droite en septembre 2015, lui avait valu d'être catalogué comme un représentant de la pensée salafiste en France. Il faut dire qu'à l'époque les déclarations de Rachid El Jay, qui se présentait alors sous le nom de Rachid Abou Houdeyfa, ne faisaient pas dans la dentelle.
Rachid El Jay, né à Brest en 1980, est une figure bien connue du quartier populaire de Pontanézen. Son parcours académique reste cependant obscur. Plusieurs sources relèvent qu'il serait autodidacte en matière religieuse. D'autres disent qu'il aurait été formé par son père, lui-même imam auto-proclamé, d'origine marocaine. Ce qui est sûr, c'est qu'il a pris la tête de la mosquée Sunna en 2004, lorsque le précédent imam, Abdelkader Yayia Cherif, a été expulsé de France pour avoir appelé au djihad. « La mosquée Sunna est l'une des cinq de Brest. Elle ne saurait représenter l'ensemble des musulmans de la métropole », nuance l'entourage du maire socialiste François Cuillandre.

 « Sa proximité avec des figures controversées, tel Mehdi Kabir, l'imam de Villetaneuse, avec lequel il s'affichait alors, mais aussi des contacts entretenus avec des communautés ultras au Maghreb, au Moyen-Orient mais aussi outre-Atlantique avaient alors beaucoup nui à son image », indique une source du ministère de l'Intérieur. Les services de la place Beauvau avaient diligenté plusieurs enquêtes sur lui et même perquisitionné la mosquée qu'il dirige et son domicile. D'autres investigations avaient concerné les activités commerciales de l'imam qui anime, outre une chaîne YouTube suivie par plus de 750 000 personnes, une boutique d'objets de piété et une agence de voyages online proposant des pèlerinages.

Quatre ans plus tard, les autorités tiennent un tout autre discours. « Le regard que nous pouvions porter sur lui a totalement changé, et pas seulement en raison de la tentative d'assassinat dont il fait l'objet, le 27 juin », poursuit la même source. « Rachid El Jay a vraiment évolué », insiste un autre fonctionnaire français qui le connaît bien. « Les autorités marocaines nous ont prêté main-forte pour le convaincre de prendre ses distances avec certains contacts dangereux », poursuit un second contact.
Le changement, intervenu fin 2015, a été aussi radical que pouvaient l'être ses propos antérieurs. Ses prêches n'ont plus fait référence à des prédicateurs salafistes. Ce qui s'est d'ailleurs traduit par l'abandon de son surnom d'Abou Houdeyfa, qui était autant un hommage à son père qu'à un compagnon de Mahomet, présenté comme très rigoriste.
L'imam, aujourd'hui âgé de 39 ans, n'a cessé, depuis trois ans, de se placer dans le giron de la pensée malikite, un courant présenté comme « modéré » par les spécialistes et qui tire son nom d'une grande figure de l'islam (Mâlik ibn Anas) qui inspira la dynastie almoravide. Celle-là même qui régna sur le Maghreb et l'Andalousie pendant plus d'un siècle, après l'an mil. Rachid El Jay ne porte plus de « ghutrah » (ce foulard masculin très en vogue en Arabie saoudite). Il a taillé sa barbe naguère fournie et arbore de plus en plus fréquemment des costumes à la mode occidentale.

Menacé par Daech Rachid El Jay s'est, par ailleurs, inscrit au diplôme universitaire (DU) religions, droit et vie sociale, à la faculté de droit et de sciences politiques de Rennes. Selon plusieurs sources, Mohamed Zaïdouni, président du conseil régional du culte musulman (CRCM) de la région Bretagne et secrétaire général du Rassemblement des musulmans de France (RMF), a joué un rôle important dans cette reconversion.
La conséquence n'a pas tardé à se faire sentir. Dès le mois d'août 2016, une fatwa émanant de l'organisation État islamique frappait Rachid El Jay. « Cette menace venant de Daech avait été prise très au sérieux », assure la mairie. Pour autant, aucun dispositif de sécurité spécifique ne semblait avoir été adopté pour le protéger. Contactée, la préfecture n'était pas en mesure de confirmer ou non, à l'heure où sont écrites ces lignes, si une demande officielle de protection avait été déposée par la victime.
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Cela augmente depuis plus de 30 ans et commence à devenir insupportable de voir de pauvres gens faibles bien sûr, se laisser prendre dans les filets de celle-ci qui leur lave le cerveau en les abêtissant !

Cette religion à 700 ans de retard sur les nôtres en Europe par leurs dogmes extrémistes radicaux appliquant des dogmes moyenâgeux avilissant ceux qui y croient et en abêtissant ceux qui sont faibles ou pauvres qui ont besoin de se raccrocher à celle-ci avec espoir qu'elle les sortira de leurs mauvaises conditions de vie !

Ce système est vieux comme le monde qui sert à effrayer et mettre à la botte de certains religieux des croyants faibles ce n'est qu'une façon de pouvoir absolu mystique au profit de quelque uns qui harangue par leurs prêches extrémistes ceux qui s'y laissent prendre !

Bien sûr c'est plus facile dans un pays de bienpensant et laïque ou chacun peut croire à ce qu'il veut, mais hélas cette religion hégémonique gagne du terrain car nos dirigeants ne font à peu près rien pour s'opposer cette emprise qui devient étouffante, car elle veut supplanter à terme insidieusement les autres religions !
D'ailleurs à moins de faire de la politique de l'autruche comme nos gouvernements quel que soit leurs bords politique depuis des années on note de plus en plus des incidents divers dans le domaine public ne respectant pas les lois de notre république !

Quand on essaie simplement d'en parler en appelant un « chat un chat » on nous en empêche bien que nous soyons dans un pays libre démocratique protégé par la libre expression inscrite dans note constitution et çà c'est aussi préoccupant !

Quand dans un pays on ne peut plus croire ou ne pas croire à rien, en toute sécurité on tombe sous aliénation et asservissement et perte de simple liberté et voire à terme une dictature religieuse comme dans d'autres pays connus !

A croire que nos dirigeants de tous bords depuis des années ont peur de celle-ci ou ont perdu leur simple bon sens !?

Jdeclef 29/06/2019 09h55LP

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