mercredi 19 juin 2019

Le cas typique du politicien professionnel qui a profité au mieux du système de cette V eme république qui nourrit et protège si bien ses élus de tous bords par les français ne l'oublions pas !


Les nouvelles perles de Mélenchon

CHRONIQUE. Après l'échec aux européennes, le chef des Insoumis garde prudemment le silence sur ses intentions, mais pas sur ses sujets de prédilection…


J.L MELENCHON sort lentement de sa cure de silence. Les résultats de la liste qu'il avait façonnée pour les élections européennes l'ont mis en état de cryogénisation. Le 1er juin, il déclarait dans une note de blog attendre que « la poussière retombe avant d'analyser un nouveau paysage » et annonçait qu'il s'exprimerait après le 6 juin.
Mais le temps passe et le mutisme persiste sur ses intentions : rester à la tête d'un mouvement affaibli ou prendre du champ  ? Pour le reste, l'ex-ministre socialiste semble peu à peu revenir à la vie. Il s'est exprimé au nom de son groupe pour répondre à la déclaration de politique générale prononcée par Édouard Philippe le 12 juin : « Monsieur le Premier ministre, vous combattre, c'est faire notre devoir. » Mais c'est ce lundi 17 juin qu'il a de nouveau fait des étincelles dans l'hémicycle, à l'occasion du débat sur le rapport de la Cour des comptes consacré au budget de l'État.

« Deux choses nous coûtent trop cher »

Pour le leader de La France insoumise, il ne faut pas baisser les dépenses publiques, mais au contraire augmenter la pression fiscale : « Si l'État est en déficit, dit-il, c'est à cause de ses recettes. Ça fait trois décennies qu'on appauvrit systématiquement, méthodiquement l'État. On l'appauvrit pour favoriser certaines catégories sociales de ce pays. » Dans un pays champion de l'impôt, il fallait oser.
Jean-Luc Mélenchon précise sa pensée dans une phrase d'anthologie : « Deux choses nous coûtent trop cher : premièrement les riches, deuxièmement l'Union européenne. » Deux catégories qu'il connaît bien. Selon sa déclaration de patrimoine – dont il était hostile à la publication –, l'ancien candidat à la présidentielle est à la tête d'un bon million d'euros, soit plus que la plupart de ses compétiteurs de 2017. Le chef des Insoumis a donc réussi à faire sa pelote au cours de ses 40 ans de vie politique – il est devenu directeur de cabinet du maire socialiste de Massy en 1978, et a été élu pour la première fois, comme conseiller général de l'Essonne, en 1985. Depuis, il n'a vécu que de ce que lui rapportaient ses mandats électifs. D'ailleurs, il a été député européen pendant huit ans et a pu, à ce titre, profiter des largesses de l'Union qu'il déplore aujourd'hui.
De telles incursions dans le débat public ne calment pas les critiques et les flèches décochées au sein de son mouvement. La dernière en date est une tribune publiée dans le JDD ce mardi, dans laquelle d'anciens Insoumis notamment dénoncent « l'effondrement de l'espoir porté par LFI ». Avec 6,31 % des voix, le score de sa liste représente le tiers de celui qu'il avait réalisé à la présidentielle de 2017. Et des voix se font entendre dans son propre camp pour souligner que ce résultat n'est pas meilleur que celui obtenu par le Front de gauche lors des européennes de 2014. Comme si la stratégie mise en œuvre depuis lors avait été vaine… Face à ce constat implacable, le silence n'est pas une stratégie durable.
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Le cas typique du politicien professionnel qui a profité au mieux de ce système de cette V eme république qui nourrit et protège si bien ses élus de tous bords par les français ne l'oublions pas !

Pour le reste ce personnage politicien chevronné tribun hors pair pratiquant le « faite ce que je dis, pas ce que je fais » hypocrite pour vendre çà marchandise politicienne comme un camelot aboyeur de foire !

Il est arrivé à leurrer des gogos qui s’y laisse prendre, car il y en a pas mal chez nos concitoyens lambda par une tartuferie bien utilisée pour abuser les plus faibles !

Mais ce qu’il n’avait pas prévu, car se croyant plus intelligent que les autres politiciens et par un égo démesuré (mais il n’y a pas que lui !)

Et semble-t-il pourtant ce cas de figure électorale n’est pas nouveau, car s’étant déjà produit dans le passé par ces élections européennes mal comprises par certains français ou leur semblant inutile pour d’autres, en profitent par leurs votes pour sanctionner souvent le pouvoir en place et les leaders de partis classiques de cette ancienne classe politique dont ils ne veulent plus, qui étaient si sur d’eux...
Comme on a pu le voir dans cette campagne électorale très médiocre pour ce parlement européen !

Alors, J.L.MELENCHON a subi un échec retentissant mérité qui l’a laissé sans voix (pour l’instant) avec d’autres des anciens grands partis français !
Si ces élections européennes semblant lointaines dans l’esprit des français ont servi à pousser aux placards ses extrémistes empêcheurs de tourner en rond, trublions ne pouvant pas prendre le pouvoir, car les électeurs n’en veulent pas, car porteur d’anarchie rampante ou ces anciens partis poussiéreux, c’est toujours ça de gagné pour le pays !

Jdeclef 19/06/2019 10h14 LP

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