lundi 17 juin 2019

Les écologistes (enfin pas tous) sont-ils devenus une secte d'empêcheurs de tourner en rond utopiques purs et durs ?!


Repentez-vous, le châtiment climatique est proche !

Toute une partie du mouvement écologiste prend aujourd'hui des accents millénaristes, aux dépens, malheureusement, d'actions réellement utiles.


Les millennials, la génération Z et tous ceux qui s'en remettent à nous, nous leur disons : « La fin du monde est dans douze ans si l'on ne fait rien pour le changement climatique », Alexandria Ocasio-Cortez, interviewée par Ta-Nehisi Coates, MLK Now, 22 janvier 2019. « J'aimerais vraiment qu'on ait plus que douze ans. Mais ce sont nos poumons qui étoufferont à cause des feux de forêt. [...] L'atermoiement climatique est le nouveau négationnisme climatique. » AOC sur Instagram Live.
Alexandria Ocasio-Cortez, plus connue sous son acronyme AOC, est la plus jeune députée américaine et a très peur de l'apocalypse. Le monde, prévient-elle à qui veut l'entendre, prendra fin dans douze ans. « Je suis désolée de vous le dire », a-t-elle ainsi annoncé lors d'un live Instagram qui la montrait faire la cuisine dans son appartement du Bronx. « Si nous ne faisons rien, il n'y a plus d'espoir. Toute la planète est menacée. Nous sommes en train de mourir. » Le seul moyen d'éviter cette catastrophe imminente ? Son New Deal vert.
Les alertes de fin du monde d'AOC ne sont ni de mauvaises interprétations ni des points annexes de sa pensée, même si elle est récemment revenue sur certains détails. Si son New Deal vert est visiblement une stratégie conçue pour lutter contre le changement climatique, une bonne partie de ce projet n'a rien d'écologique. Il s'enracine au contraire dans la théologie apocalyptique et dans les mouvements millénaristes laïques radicaux qu'elle a pu inspirer. Une fois au pouvoir, ces mouvements politiques se terminent effectivement par un cataclysme, sauf que ce n'est pas celui tant auguré.

La promesse millénaire

« Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. » Apocalypse 21:4
Le millénarisme prend plusieurs formes et annonce généralement une imminente dévastation. Mais il présage aussi une renaissance, suivie d'une période de gloire et de restauration (durant grosso modo 1 000 ans) pour les élus. L'expression la plus puissante de la pensée millénariste chrétienne est à trouver dans le Livre de l'Apocalypse, prévoyant la défaite de la Bête et de son prophète par les armées du ciel. Lors du conflit final, la défaite de Satan entraîne la fin de l'Histoire et la Jérusalem céleste descend sur terre pour que Dieu puisse demeurer parmi son peuple.
La Révélation de Jésus-Christ, ou l'Apocalypse de saint Jean, est un texte des plus lugubres et sa signification est depuis longtemps âprement débattue parmi les érudits religieux. La conception médiévale de l'Apocalypse aura largement été façonnée par Joachim de Flore (1135-1202), parfois surnommé « le moine fou ». Flore était persuadé que l'Apocalypse était une prophétie à prendre au pied de la lettre et que la catastrophe promise allait précéder une ère de paix sans précédent – le « Troisième Âge », selon sa formule.
Par conséquent, l'Europe fut déchirée par des mouvements radicaux attendant fébrilement la délivrance. Les hérétiques furent impitoyablement persécutés. L'abîme proche, l'Europe tomba dans un bain de sang en perspective d'un Troisième Âge qui n'arriva jamais. Cette période d'enthousiasme apocalyptique verra l'antisémitisme prospérer : en 1140, la mystique Hildegard de Bingen prêche que l'Antéchrist est vivant et qu'il est juif, entraînant ainsi de nombreux pogroms en Allemagne.
En 1553, les anabaptistes, une secte chrétienne pratiquant l'hérésie du baptême des adultes, fondent une cité-État millénariste proto-communiste à Münster. Leur roi prophète, Jean de Leyde, se proclame Messie et annonce sa présidence des derniers jours. Tout l'argent est mis en commun, les fidèles prennent leurs repas ensemble dans des réfectoires en écoutant des lectures de la Bible, la polygamie est obligatoire et les femmes sont considérées comme des biens communs. Mais la promesse de paradis se mue rapidement en règne de la terreur. Tous ceux qui veulent fuir la commune sont exécutés et les princes catholiques en viennent à assiéger la ville. Dieu n'interviendra jamais pour protéger Münster, mais son roi messianique sera arrêté et torturé à mort.
Dans son livre de 1957, Les Fanatiques de l'Apocalypse : millénaristes révolutionnaires et anarchistes mystiques au Moyen Âge, l'historien Norman Cohn montre que les mouvements millénaristes voient toujours le salut comme :
  • Collectif : il doit être apprécié par une collectivité de fidèles
  • Terrestre : il doit être réalisé sur Terre et non dans un quelconque outre-monde paradisiaque
  • Imminent : il est vu comme aussi proche qu'immédiat
  • Total : il transformera radicalement la vie sur Terre et la nouvelle dispensation ne sera pas qu'une simple amélioration du présent, mais la perfection elle-même
  • Miraculeux : il ne pourra être accompli que par ou à l'aide d'agents surnaturels
On aurait pu s'attendre à ce que la pensée millénariste disparaisse avec les Lumières et l'Âge de la Raison, mais, comme l'observe Cohn, les idées et folies qu'elle a inspirées ont refait surface dans les mouvements totalitaires et révolutionnaires laïques du XXe siècle.
Un cataclysme dont le monde émergera totalement transformé et racheté.
Dans ce qui pourrait être une description du New Deal vert, Cohn avance que ces mouvements se sentent investis d'une mission extraordinaire, une lutte d'une importance exceptionnelle « différente de toutes les autres luttes historiques connues, un cataclysme dont le monde émergera totalement transformé et racheté [...], telle est l'essence même du phénomène récurrent qu'est le millénarisme révolutionnaire ».
Le philosophe John Gray a, lui aussi, étudié comment le paradigme millénariste religieux s'est exprimé dans des mouvements radicaux prétendument laïques. Comme il l'explique dans un article de 2009 du New Statesman :
« La mentalité millénariste n'a pas pris fin avec le déclin de la religion – au XXe siècle, les mouvements totalitaires laïques se sont construits sur des schémas de pensée similaires. [...] Les communistes comme les nazis anticipaient un cataclysme historique, une rupture de l'histoire après laquelle la vie humaine aurait été totalement transformée [...] Les uns comme les autres reproduisaient la notion apocalyptique d'un salut collectif, structurellement identique à celle véhiculée par bien des branches du christianisme médiéval. Sauf que ce n'était plus Dieu qui apportait le salut au monde, mais “l'humanité” – ou du moins sa partie éminemment progressiste ou racialement supérieure – qui allait en initier la miraculeuse transformation. »
Le maoïsme, Pol Pot, les jacobins, les bolcheviks et les nazis cadrent tous avec les analyses de Cohn et Gray. Tous étaient disposés à tuer en masse pour faire émerger une société transformée, une nouvelle Jérusalem sur terre. Au lendemain de l'Holocauste et de l'effondrement du totalitarisme communiste en 1989, on a pu croire que l'Occident s'était débarrassé pour de bon de ce cadre mental. À tort.

Eschatologie écologiste

Le New Deal vert a été parrainé par AOC et présenté comme résolution du Congrès (H.Res.109). Intitulé « Reconnaissant le devoir du gouvernement fédéral de créer un nouveau pacte écologique », le texte préconise une neutralité des émissions mondiales nettes de gaz à effet de serre d'ici à 2050 et la modernisation immédiate de tous les bâtiments existants aux États-Unis pour atteindre l'efficacité énergétique. Bien qu'il n'y ait évidemment aucun appel à la violence dans ses pages, les discours de ses partisans regorgent cependant d'idées et de rhétorique apocalyptiques. Dans cette nouvelle ère d'enthousiasme millénariste, on notera par ailleurs au sein de la gauche conspirationniste la plus attachée à une vision utopique (mais pas dans le New Deal vert à proprement parler) une résurgence du spectre de l'antisémitisme et de ses tropes d'un pouvoir juif malveillant.
AOC n'a cessé d'arguer que le New Deal vert n'était pas particulièrement radical et qu'il s'inscrivait dans la droite ligne de la tradition politique nationale, de la Révolution américaine au New Deal original de Roosevelt. Le sénateur Ed Markey, parrain de la version de la résolution présentée au Sénat, a été moins circonspect quant à la nature de leur projet. Dans un mordant éditorial du Boston Globe intitulé « Le New Deal vert n'est pas qu'une résolution, c'est une révolution », Markey écrit : « La crise climatique n'est pas une question politique, mais une question de vie et de mort. » Il ajoute que « les objectifs du New Deal vert constituent une menace existentielle pour l'industrie pétrolière et ses magnats, ainsi que pour les principaux donateurs républicains comme les frères Koch et leurs alliés pollueurs du secteur privé ».
Mais pour les gens qui s'inquiètent du réchauffement de la planète tout en comprenant l'état actuel des technologies, la messe est loin d'être dite. C'est le cas de David Hart, expert en innovation au sein de l'Information Technology & Innovation Foundation, qui écrit : « Je suis de tout cœur avec les objectifs du Green New Deal. [...] Je veux que les États-Unis cessent d'émettre des gaz à effet de serre, créent des millions d'emplois et promeuvent la justice et l'équité. Je n'ai qu'un problème avec ce projet. Il ne résoudra pas la crise climatique. »
L'un des soucis fondamentaux du New Deal vert, c'est qu'il n'est pas rentable à l'échelle planétaire. Chercher à développer de nouvelles technologies, meilleures et moins dispendieuses, serait une trajectoire plus pragmatique et efficace vers la réduction des émissions de carbone dans le monde. Et que de nombreux écologistes demeurent allergiques au nucléaire n'est pas non plus d'un grand secours.
Écologie : vérités et fariboles
Mais ce sont des arguments empiriques. Le New Deal vert se place dans une optique millénariste et il est à ce titre bien plus proche d'une prophétie biblique. Il serait donc naïf de le soumettre à un examen critique empirique.

Le futur a un message pour vous

Au cours de la dernière semaine sainte, peu avant Pâques, The Intercept publiait une vidéo promotionnelle intitulée « Un message du futur avec Alexandria Ocasio-Cortez », accompagné d'un long article de Naomi Klein. Le film est coécrit par le mari de Klein, Avi Lewis et AOC, il est narré par cette dernière et illustré par la militante Molly Crabapple. Il entend montrer à quoi ressemblera l'avenir une fois le New Deal vert appliqué.
Lorsque la vidéo commence, nous sommes en 2028. AOC a quelques cheveux blancs et prend le train à grande vitesse reliant New York à Washington tout en méditant sur son rôle dans le sauvetage de l'Amérique. Après avoir mentionné son arrivée en 2018 dans un Congrès à la diversité inédite, AOC se lance dans un récit conspirationniste du réchauffement mondial : nous apprenons qu'ExxonMobil savait ce qui se passait dès les années 1980, pour ensuite délibérément choisir de semer « le doute » et « le déni » face au changement climatique alors même qu'une « bombe climatique », l'ouragan Maria, dévastait Porto Rico, l'île des ancêtres d'AOC. « Beaucoup de gens », dit-elle d'un ton triste, « ont baissé les bras et affirmé que nous étions perdus ».
Heureusement, en 2020, les démocrates reconquièrent la Maison-Blanche et lancent « la décennie du New Deal vert » – une transformation sociale et écologique incluant, entre autres, de nouveaux « emplois verts », une couverture médicale universelle, la sécurité de l'emploi fédéral avec des salaires décents, des services de garde d'enfants pour tous et de plus grosses fiches de paye pour les enseignants, employés de maison et auxiliaires de vie.
Si le New Deal vert a été largement critiqué pour ses lacunes technocratiques, le film en admet quelques-unes au débotté. « En matière de guérison du pays », soupire AOC, « nos connaissances n'étaient vraiment pas parfaites. Mais, heureusement, les communautés autochtones nous ont offert leur expertise séculaire. » Une sagesse qui n'allait pas suffire pour empêcher d'autres incendies, sécheresses et la submersion de Miami. Qu'on se rassure, le New Deal vert avait préparé les Américains grâce à de nouvelles infrastructures et – c'est là le clou du spectacle – « en s'engageant en faveur de droits universels comme la sécurité sociale et un travail valorisant pour tous, nous n'avions plus aussi peur de l'avenir ». Le film se termine avec « Ileana », une petite fille de couleur née dans le district d'AOC qui, une fois adulte, est élue au Congrès en 2028 au siège de la députée et prend sa suite pour continuer son excellent travail. « Nous pouvons être », conclut AOC, « tout ce que nous avons le courage de voir ».
Le film montre bien quelle vision de l'avenir se fait AOC. Sauf que sa logique est précaire et confuse. Les liens entre ses impératifs de justice sociale et ses décisions politiques visant à réduire les émissions de carbone sont plus que ténus. Par exemple, on peine à comprendre la connexion entre la diversité accrue du Congrès et l'arrêt du changement climatique. Et on ne saisit pas très bien non plus comment une couverture santé universelle pourrait guérir l'environnement – bien que la sagacité de l'anti-humanisme fasse débat dans les cercles écologistes, certains courants verts voient dans la croissance démographique le cancer de la planète.
Démographie : faut-il arrêter de faire des enfants ?
Mais si le message du futur d'AOC n'a pas de sens comme projet environnemental, il est tout à fait logique comme prophétie millénariste. L'Apocalypse est imminente. Il y a une bataille du bien contre le mal. L'issue est un paradis terrestre. Ici, le « reste » du peuple de Dieu, comme illustré tout au long du film, ce sont ceux qui ont « fait face à des injustices systémiques ». Ou comme le détaille la résolution du New Deal vert, il s'agit des « peuples autochtones, communautés de couleur, communautés de migrants, communautés désindustrialisées, communautés rurales dépeuplées, pauvres, travailleurs à faible revenu, femmes, personnes âgées, sans-emploi, personnes handicapées et jeunes ».
La Bête est incarnée par des entreprises et des capitaux – ExxonMobil et ses sbires, comme vraisemblablement (ils ne sont pas nommés) Fox News, le Parti républicain et tout libéral, centriste ou personne de gauche au sens large ne souscrivant pas à la ligne de Justice Democrats, l'organisation de jeunes progressistes dont fait partie AOC. Donald Trump, naturellement, est l'Antéchrist.
Une FAQ largement tournée en ridicule et qui s'est trouvée un temps sur la page d'AOC sur le site du Congrès, avant d'être prestement supprimée, promettait que le New Deal vert offrirait « une sécurité économique à tous ceux qui sont incapables ou réticents à travailler ». Cette dernière formule, en particulier, a fait tomber bien des mâchoires, mais cette FAQ était simplement une version réchauffée du royaume final, avec des saints jouissant du confort et des richesses, de la sécurité et du pouvoir pour toute l'éternité. Il s'agit d'une promesse millénariste égalitaire standard et non d'un plan de lutte contre le changement climatique.
Au lieu de se moquer du New Deal vert d'AOC et de ses éléments les plus absurdes, nous devrions nous en inquiéter. Il nous rappelle que beaucoup d'Américains ont une soif désespérée de salut que la religion n'étanche plus. Et met en évidence un problème fondamental, une sorte de perturbation sociale ou économique dont la crise des opioïdes est un autre symptôme.
Pendant longtemps, le moindre doute, voire la moindre discussion neutre sur le réchauffement climatique, ont été considérés comme des positions intolérables. La prudence pragmatique et l'incrémentalisme ont été méprisés et assimilés, a minima, à de la pleutrerie suicidaire. Ce qu'il y a de nouveau avec le New Deal vert, c'est qu'une telle certitude dogmatique s'étend désormais à toute discussion sur les solutions technologiques au changement climatique. « Je serai damnée », a ainsi déclaré AOC au mois de mai, « si les mêmes politiciens qui sont restés les bras ballants reviennent aujourd'hui pour nous dire de sauver nos vies avec des demi-mesures ».
Que nous devrions d'abord progresser scientifiquement et développer de meilleures technologies avant de mettre en œuvre un projet aussi ambitieux que le New Deal vert est un discours sonnant de plus en plus comme hérétique. Aujourd'hui, évaluer et proposer des technologies vertes n'est plus une question de politique pragmatique, c'est une question de doctrine eschatologique, de « ma vérité ».
Avec le New Deal vert, des idées apocalyptiques laïques ont fait leur entrée dans la politique américaine lambda. La pensée millénariste a toujours été présente aux États-Unis, mais elle était circonscrite à la sphère religieuse et admise comme telle. Aujourd'hui, les gens qui annoncent une Apocalypse imminente ne sont plus des fadas agitant des clochettes au coin des rues ; ils ont leur siège au Congrès. Les mêmes idées millénaristes radicales qui ont prospéré au Moyen Âge ou dans l'instabilité des sociétés européennes du début du XXe siècle se retrouvent désormais au cœur du Parti démocrate.
La vision millénariste radicale peut-elle sortir les États-Unis des ténèbres dans lesquelles ce pays est aujourd'hui plongé ? AOC répond : « Vous ne pouvez pas être ce que vous ne pouvez pas voir. » Mais nous avons bien vu à quoi ressemblent les mouvements apocalyptiques laïques. Aucun d'entre eux n'a vu advenir ses prophéties d'un Troisième Âge, ni réalisé ses promesses d'un paradis sur terre. Invariablement, la mise en œuvre de leurs visions ne nous a garanti qu'une chose : nous mener toujours et tout droit en enfer.
*David Adler est un écrivain vivant dans le Connecticut rural.
** Cet article est paru dans Quillette . Quillette est un journal australien en ligne qui promeut le libre-échange d'idées sur de nombreux sujets, même les plus polémiques. Cette jeune parution, devenue référence, cherche à raviver le débat intellectuel anglo-saxon en donnant une voix à des chercheurs et des penseurs qui peinent à se faire entendre. Quillette aborde des sujets aussi variés que la polarisation politique, la crise du libéralisme, le féminisme ou encore le racisme. « Le Point » publiera chaque semaine une traduction d'un article paru dans Quillette.
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C’est stupide et dangereux de faire peur à certains êtres faibles en leur lavant le cerveau pour enfin prendre plus de pouvoir politique ?!

Et quand ils l’ont, ils ne sont pas capables de savoir quoi en faire d’utile et de s’entendre même dans leurs rangs ?!

On en a eu la preuve depuis des décennies de par ces élus par exemple chez EELV les verts écologistes, ministres et autres dans les divers gouvernements de notre pays de quelques bords qu’ils soient de gauche ou droite !

Mais ces soi-disant écologistes illuminés en sont mêmes arrivés à prédire la fin du monde dans un avenir proche !?

Un peu comme les modes alimentaires que l’on nous distille sans arrêt surtout à la télévision, car en ouvrant celle-ci, chaque matin eu prenant son petit déjeuner, par leurs émissions de bien-pensants et de lobbyistes en plus avec des conseils pour se soigner tant il y en a qu’on s’y perd, soi-disant éclairés des spécialistes et ses chroniqueurs souriants et sympathiques pour faire passer la pilule !

C’est comme le Bio devenu à la mode qui est arrivé pour mieux se nourrir sainement car moins touché par les pesticides que l’on repend sur les cultures vivrières qui ont déjà montré leurs limites, car difficile à faire respecter totalement les règles, tout en en augmentant le prix de ces produits ceci en passant pour les consommateurs !

Comme le changement climatique et la pollution qui est sérieux, c’est un fait, mais qui ne sera jamais réglé individuellement par notre petite France, car notre Planète change comme elle la déjà fait depuis des milliards d’années même si les hommes veulent le limiter et surtout s’ils en ont la volonté d’améliorer leur qualité de vie !

Il faut arrêter enfin d’écouter ces illuminés, car il y a déjà les religions qui divisent les hommes et c’est nettement suffisant, comme le profit et l’argent roi car en fait on régresse vers des mysticismes divers préoccupant qui ne profite qu’à ceux qui ont le pouvoir !

Jdeclef 17/06/2019 09h09LP

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