dimanche 24 mars 2024

Après s’être fait peur avec ce dictateur Russe Poutine déséquilibré que les allies E.U. et USA OTANIEN n’ont pas été capables de stopper ou d’empêcher de nuire on en rajoute une couche avec l’excité TRUMP que l’on connait par ses excès divers et variés qui peut être réélu président des USA !?

 

Ce que signifierait pour l’Europe un retour de Donald Trump (une mèche plus ou moins longue d’une bombe à retardement !?)

Gérard Araud
Chroniqueur

LA CHRONIQUE DE GÉRARD ARAUD. Sommes-nous (vraiment) prêts à survivre dans un monde où Trump serait encore plus débridé qu’en 2017 ?

Publié le 24/03/2024 à 08h00

CAR METTRE FACE A FACE DEUX EXCITES DIFFICILLEMENT CONTROLABLES C’EST UN RISQUE DE HAUTE INTENSITE COMME UNE 3 EME GUERRE MONDIALE ?!

Ce serait commettre une erreur d'imaginer un éventuel second mandat de Trump sur la base du premier. En effet, il n'est aujourd'hui plus le même. Il s'est radicalisé au point d'adopter toutes les théories du complot de l'extrême droite américaine. Persuadé qu'on lui a volé l'élection de 2020, narcissique pathologique et donc vindicatif, il entend prendre sa revanche non seulement en revenant au pouvoir mais en punissant les coupables de l'injustice dont il pense (à tort) avoir été victime.

Incapable de magnanimité, il déchaînera toutes les forces de l'État sur ses adversaires, au premier rang desquels Joe Biden. Il a annoncé son rêve d'être un dictateur pendant au moins 24 heures. N'y voyez pas une image : il n'a aucun respect pour le droit. La Constitution américaine risque d'être appelée à montrer sa solidité dans un climat de quasi-guerre civile.

À la Maison-Blanche, les têtes tombaient rapidement

Par ailleurs, en 2017, à son arrivée à la Maison-Blanche, il ne disposait d'aucune équipe et n'avait d'expérience ni de la vie politique ni de la direction d'une grande entreprise, encore moins de celle de la première puissance au monde. Il avait donc dû s'entourer de collaborateurs issus des milieux conservateurs qui se sont employés à contenir ses instincts et à les orienter selon les canons de la droite traditionnelle.

C'est ainsi qu'à la veille de réunions internationales, alors que j'étais ambassadeur à Washington, certains d'entre eux me transmettaient leurs conseils pour parvenir aux meilleurs résultats avec cet étrange président : « Surtout ne le prenez jamais de haut, ne lui faites pas la leçon, me suppliaient-ils, il fera alors l'inverse de ce que vous souhaitez et de ce que nous souhaitons. » Leur tâche n'était pas facile. Les têtes tombaient rapidement à la Maison-Blanche : quatre conseillers de sécurité nationale en quatre ans, qui d'ailleurs ne savaient ni ce que Trump déclarerait le lendemain ni ce que signifiait ce qu'il avait dit la veille. Face à leur impuissance, je n'avais d'autre recours que de suggérer que le président de la République l'appelle directement grâce aux bonnes relations qu'il avait su maintenir avec lui, ce qui frôlait parfois l'exploit.

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Or, si Trump est réélu le 5 novembre 2024, il sera convaincu, d'une part, de n'avoir plus rien à apprendre et, d'autre part, de la nécessité de briser ce qu'il appelle « l'État profond » en ne faisant pas appel à des conseillers blanchis sous le harnais, mais, au contraire, à des partisans certes inexpérimentés, mais qui lui seraient fanatiquement dévoués. D'ailleurs les listes en sont déjà dressées par un groupe d'extrême droite, la Heritage Foundation.

Vers une guerre commerciale ?

Dans ce contexte d'un Trump libéré de toute contrainte et déterminé à aller jusqu'au bout de ses foucades, que devrait en attendre l'Europe ? Il lui faudrait, en premier lieu, se débarrasser de toute illusion sur le maintien d'un « lien transatlantique ». Trump traitera notre continent comme il le fera de l'Asie ou de l'Afrique, sur la base de sa perception des intérêts de son pays, dans une logique purement transactionnelle avec comme clé, les rapports de force les plus brutaux. Déjà, dans son entourage, on évoque une guerre commerciale à coups de droits de douane pour réduire le déficit commercial dans les échanges entre les deux rives de l'Atlantique.

Michael O'Hanlon : « Si Trump ne vous aime pas, vous êtes comme son ennemi »

Mais ce sera évidemment l'Ukraine qui, quasiment dès le jour de l'élection avant même que Trump ne prenne ses fonctions, représentera un défi majeur pour l'Europe. Comme Orban l'a confirmé cette semaine après un entretien avec le candidat républicain, les États-Unis mettront alors un terme à tout soutien à Kiev. Que feront alors les Européens ? S'ils veulent rester aux côtés de l'Ukraine, ils devront accepter d'en payer le prix notamment en termes de mobilisation industrielle à un coût bien supérieur à ce qu'ils ont fait jusqu'ici ; et de le payer rapidement pour que l'impact sur la production d'armes et de munitions n'en soit pas trop retardé.

Quel avenir pour l'Otan ?

Un Conseil européen le lendemain du scrutin américain risque d'être nécessaire et soulignerait d'ailleurs le caractère dramatique de la situation. Mais allons plus loin : si en janvier 2025, Trump parvenait à un accord avec Poutine par-dessus les Européens et aux dépens des Ukrainiens, quel conseil donneraient les premiers aux seconds alors que leur opinion publique en serait probablement soulagée ?

Défense : sommes-nous prêts pour une guerre de haute intensité ?

Enfin, venons-en à l'Otan. La question immédiate ne serait pas d'une sortie des États-Unis de l'organisation mais plutôt de la crédibilité de la garantie américaine à l'Europe dès la prise de fonctions de Trump. En effet, l'article V du traité de l'Atlantique Nord qui fonde celle-ci est à ce point vague que tout allié peut faire à peu près ce qu'il veut en cas de guerre, y compris s'en tenir à une réaction symbolique. Dans ce contexte, Poutine pourrait aisément conclure que les États-Unis de Trump ne viendraient pas militairement au secours de l'Estonie ou d'un autre pays Balte… L'Europe montrera-t-elle la détermination d'assumer alors ses obligations avec la force nécessaire ?

En d'autres termes, l'élection de Trump signifierait que l'Europe serait, du jour au lendemain, confrontée seule aux dangers d'un monde où règne la force, une force dont elle a voulu oublier l'usage après en avoir abusé dans son histoire. Le réveil serait douloureux.

Bon avant tout c’est aux américains à se prononcer d’ici novembre avec la situation mondiale instable d’ici là tout peut changer avec Poutine cet autre malade excité sauf que là on a déjà gouté à TRUMP dans le passé et donc si opposé à l’autre Russe et son pays ennemi héréditaire çà peut faire des étincelles !?

Car si 2 mabouls arrivent face à face ce n’est pas facile à supporter et à gérer pour l’Europe dite Unie car alliée des USA depuis l’après-guerre mondiale et la fin de la guerre froide qui risque de se réchauffer ne parlons pas de la France et de notre président sans amour propre qui sait déjà fait avoir par Poutine en le recevant en grande pompe à Versailles et Brégançon et en lui parlant avec sa diplomatie de donneur de leçons stupides d’une inefficacité lamentable et qui pérore pour ne rien dire d’utile à qui nous français lambda avons donné trop de pouvoir qu’il utilise mal (quand il le fait !?)

Seul peut être le statut de l’OTAN qui est un bouclier même virtuel qui pourrait changer semble le plus important selon le président US élu BIDEN ou TRUMP qui sera élu !?

Alors les plans fumeux sur la comète de journalistes chroniqueurs divers médiatiques qui font leur buzz pour leurs jobs lucratifs et audiences il faut en prendre et en laisser du fait d’hypothèses diverses car la petite France et « sa macronie » de notre président qui bavarde seule chose qu’il sait faire mais mal car très mauvais diplomate et d’ailleurs pas seulement cela de par sa mauvaise gouvernance intérieure voire internationale que personne n’écoute vraiment qui soulent les Français qui l’ont élu et réélu comme des niais incurables (il n’y a personne dans son entourage pour avoir le courage de lui dire en face que c’est grave !?)

Il y a vraiment des soucis à se faire car répétons-le cette situation Russo ukrainienne est scabreuse pimentée en plus d’attentats terroristes de l’état islamistes sur MOSCOU « la cerise sur ce gâteau empoisonné » dont Poutine semble s’en fiche accusant les ukrainiens !?

JDeclef 24/03/2024 16h09

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1 commentaire:

  1. Bien entendu ce commentaire a été censuré il ne faut pas demander au moderateurs DU POINT et leurs redactions infeodées au pouvoir en place d'avoir un soupçon d'intelligence car bornés et incurables car ne pas voir ou accepter la verité en face c'est aller vers la catastrophe alors esperons que ce ne soit pas le cas pauvre FRANCE !

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