jeudi 21 mars 2024

Alors bien sur comme depuis 2014 /2017 suivi de 2022 avec la menace de ce dictateur russe déjanté qui n’a pas cessé d’aboyer et qu’il ravive n’ayant semble-t-il pas peur des Occidentaux de cette Europe Unie incapable de le stopper ou mieux de l’empêcher de nuire avec les USA Otanien qui lâchent pour l’instant leur aide à l’UKRAINE trop occupés par leurs élections présidentielles (avec en plus la menace de la réélection de TRUMP qui changera la donne mondiale !?)

 

L’ombre de la Russie plane sur le sommet du nucléaire (Hélas logique avec un dictateur Russe possédant une force de frappe massive de missiles nucléaires et anti occidentaux ou anti USA Otanien dont il veut la perte !?)

Alors qu’une cinquantaine de pays participent, à Bruxelles, à un sommet pour relancer l’atome, la dépendance énergétique de l’Occident à la Russie obsède les participants.

·         Par Géraldine Woessner

·         Publié le 21/03/2024 à 07h11, mis à jour le 21/03/2024 à 08h07

*      L'îlot de turbines de la centrale nucléaire de Zaporozhye à Energodar, dans la région de Zaporizhia en Ukraine, occupée par la Russie, le 2 mars 2024.  © Tass / Tass/ABACA

IL SERAIT TEMPS A CES PAYS ENCORE LIBRES ET DEMOCRATIQUES DE REAGIR AUTREMENT QU’EN PALABRANT COMME LE FONT NOS DIRIGEANTS DONNEURS DE LECONS POUR NE RIEN DIRE D’UTILE POUR NOUS PROTEGER DE CE FOU DESEQUILIBRE MALEFIQUE QUI PEUT DERAPER A TOUT INSTANT ET NOUS MENER A DES CATSTROPHES RECIPROQUES IRREMEDIABLES POUR l’HUMANITE ENTIERE !?

La plupart s'y étaient engagés à la COP28, à Dubai, sous l'impulsion de la France, et avec la bénédiction de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) : tripler les capacités nucléaires installées sur la planète d'ici à 2050 est l'une des clés pour atteindre nos objectifs climatiques – le Giec, dans tous ses scénarios, jugeant le développement de l'atome incontournable pour sortir des fossiles. À Bruxelles, ce jeudi, une cinquantaine de nations vont donc explorer ensemble les voies pour y parvenir, au nom du climat… Mais au nom, surtout, de la souveraineté énergétique.

Dépendance aux fossiles russes

En l'occurrence, d'un autre – dépendance qui n'a pas disparu avec l'instauration de sanctions contre la Russie. Annoncé en grande pompe par la Commission européenne en décembre 2022, l'embargo imposé sur l'importation de pétrole russe n'a pas effacé les dépendances. Le pétrole, orienté vers les raffineries indiennes ou turques, a légalement continué à irriguer l'Europe via ces pays, documente l'ONG Global Witness, qui estime les importations de pétrole russe en Europe à 35 millions de barils en 2023.

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Même contournement pour le gaz naturel liquéfié (GNL), vers lequel l'Europe s'est largement tournée, acheté en partie à… Moscou et dont elle ne peut se passer. Comme certains pays ne peuvent pas se passer du gaz russe : en décembre, 98 % du gaz importé par l'Autriche provenait de Russie. « Le nucléaire peut nous permettre de contrer ces dépendances », estime l'Élysée alors que la France a choisi de relancer massivement l'atome, et qu'Emmanuel Macron est attendu à Bruxelles ce jeudi.

Le nucléaire, une garantie de souveraineté ? Il peut l'être en théorie, et à une condition : que les pays occidentaux acceptent d'en payer le prix afin de reprendre à Moscou les savoirs abandonnés pendant le long hiver nucléaire qui a frappé l'Occident depuis le début des années 2000.

46 % des capacités mondiales d'enrichissement

Souvent pointée par l'opinion, la supposée « dépendance » à l'uranium russe est un mythe : la Russie est un acteur marginal du secteur de l'extraction de ce minerai, pesant moins de 6 % de la production mondiale. Si les États-Unis ont relancé l'exploitation sur leur sol de trois nouvelles mines d'uranium, l'Espagne, assise sur un important gisement dans la région de Salamanque, s'y refuse.

Mais il existe d'autres dépendances. L'uranium naturel, qui ne comporte que 0,7 % d'isotope fissile, doit être « enrichi » avant d'être brûlé dans un réacteur. C'est à cette étape que la Russie s'est rendue incontournable. La France, qui fait encore enrichir (en vertu de contrats de long terme passés avant la guerre) en Russie entre 5 et 15 % de son uranium, pourrait totalement s'en passer : elle a les capacités suffisantes de l'enrichir sur son sol. Ce n'est pas le cas de la plupart des pays d'Europe ni, surtout, des États-Unis…

 EXCLUSIF. EDF fait enrichir en Russie 15 % de son uraniumUne fois extrait, l'uranium naturel doit subir plusieurs transformations avant d'être brûlé dans un réacteur. Il doit être raffiné (pour être débarrassé de ses impuretés), puis converti en hexafluorure d'uranium (UF6), qui a la propriété de devenir gazeux à 56 °C. Cela facilite l'étape ultérieure d'enrichissement, particulièrement lourde et complexe, dans une énorme centrifugeuse. Peu de pays possèdent ces capacités : Orano, en France, possède 24 % des capacités mondiales de conversion d'uranium, selon Euratom. La Russie (20 %) et le Canada (20 %) proposent aussi ce service. La Chine (24 %) réserve ses capacités à son usage domestique. Enfin, les États-Unis disposent de 11 % des capacités mondiales. En clair, si l'Europe, en augmentant un peu ses propres capacités, pouvait se passer de la Russie pour convertir son uranium, ce serait plus compliqué pour les États-Unis, qui disposent tout de même d'un parc de 93 réacteurs…

Les capacités d'enrichissement d'uranium sont encore plus concentrées. En dehors de la Chine, seuls trois groupes dans le monde possèdent des capacités d'enrichissement : Rosatom (46 % des capacités mondiales), le consortium Urenco (regroupant Grande-Bretagne, Allemagne et Pays-Bas : 30 %) et enfin Orano (12 % des capacités mondiales). Urenco dispose d'un site aux États-Unis, mais aux capacités très inférieures aux besoins américains. La Corée et le Japon n'ont strictement rien. En clair : la France est, avec la Russie, le seul pays en capacité d'être indépendant. Et Rosatom reste incontournable… Aujourd'hui, 24 % de l'uranium brûlé dans les réacteurs américains est enrichi en Russie.

Réarmement nucléaire

La nécessité d'augmenter les capacités propres de l'Occident sera au cœur des discussions à Bruxelles. Orano a déjà annoncé un investissement de 1,7 milliard d'euros pour augmenter les capacités d'enrichissement de son usine Georges-Besse II. « La moitié de l'investissement était déjà contractualisée au moment où nous l'avons annoncé », confie un cadre d'Orano. Le consortium Urenco prévoit également d'augmenter ses capacités en Europe. Mais les États-Unis, aujourd'hui, n'ont rien décidé… « Souvenons-nous qu'il n'y a pas si longtemps travailler avec la Russie était normal. De nombreux pays ont mis leur avenir énergétique dans ses mains, car ça leur semblait alors économiquement pertinent. La guerre a changé la donne. »

Nucléaire : à La Hague, le gouvernement fait sa première annonce concrète Selon nos informations, des études ont été lancées, à la demande d'EDF, pour une nouvelle usine de conversion et de retraitement du combustible, que pourraient héberger la France ou l'Angleterre. Et, si la France a été la première à confirmer, à La Hague, la prolongation jusqu'à « au moins 2100 » de ses installations de retraitement du combustible, d'autres initiatives sont attendues des pays nucléarisés…

Si aucune annonce formelle n'est attendue à Bruxelles, selon l'Élysée, la rencontre devrait donner lieu, en coulisse, à des discussions intenses. En termes de stratégie, de projets… comme de financement. « Certaines institutions de crédit internationales ont des dispositions statutaires qui excluent encore explicitement le nucléaire. C'est complètement obsolète », estimait, en décembre, le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi. « Force est de constater qu'au sein de la Banque mondiale, de la Banque européenne d'investissement ou de la Banque asiatique de développement le mandat donné par les gouverneurs sur le nucléaire est fragile, voire inexistant », s'agace une source à l'Élysée. « Ils ont une hésitation à la fois politique et liée au manque de coopération avec l'AIEA sur les principes de sécurité qui doivent encadrer les investissements. »

Un processus de discussion avec les principales banques mondiales devrait être lancé à Bruxelles pour débloquer les financements, qui vont se chiffrer en dizaines, voire en centaines de milliards. « Certains acteurs craignent encore d'investir à perte si la situation devait se normaliser avec la Russie. Ils hésitent », confie un industriel du secteur. La souveraineté, devrait leur rappeler à Bruxelles Emmanuel Macron (dont le pays a dépensé 72 milliards d'euros en boucliers tarifaires pendant la crise énergétique), a toujours un prix.

 

Nous sommes revenus presque psychologiquement au Moyen Age avec nos dirigeants politiciens et autres qui sont comme « ces crieurs de la nuit » dans les rues de paris ou leur existence était importante au Moyen Âge (consistant à annoncer des ordonnances royales ou des bans urbains,) cette fonction n’est pas totalement perdue « Il est onze heures, bonnes gens : Dormez, le guet veille ! »

Le guet qui faisait la ronde de nuit dans les rues de Paris était en fait une milice bourgeoise censée sécuriser les voies de la capitale fort peu sûres au Moyen Âge  

Mais avec notre président pauvre petit roi sans couronne qui dit presque la même chose similaire à : « dormez brave gens je veille sur vous et vous protègent » ayez confiance ?!

Car notre « guet » ou polices diverses de notre état régalien si mal gouverné est dépassé d’ailleurs l’insécurité quotidienne augmente !?

Car bien sur la délinquance et la voyoucratie se porte bien dans notre pays il n’y a que chaque jour ouvrir la rubrique de faits divers dans nos journaux ou médias journaliers voire nos réseaux sociaux poubelles habituelles !?

Car le nucléaire civil ou militaire ça coute très cher et les pays concernés la possédant par ces énergies ne se sont pas mobilisés rapidement pour évoluer donc la Russie poutinienne totalitaire en a forcément profité car hyper puissance opposée aux USA similaires car en plus au sujet des guerres qui n’ont jamais vraiment jamais cesser dans notre monde instable avec nos dirigeants européens naïfs grands donneurs de leçons comme le nôtre que personne n’écoute ne croyaient pas à de nouvelles guerres de hautes intensités ou mondiales voire nucleaire !?

Hélas ceux qui nous gouvernent continue à bavarder sans agir "pauvres de nous Français occidentaux et Européens" !?

COMME DIT LA CHANSON "FAUT RIGOLER FAUT RIGOLER AVANT QUE LE CIEL NOUS TOMBENT SUR LA TETE" ?!

Jdeclef 21/03/2024 13h21

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