vendredi 1 mars 2024

Car bien sûr on ne veut plus faire la guerre que l’on croyait impossible depuis celles mondiales mais elle revient vers nous à cause de certains hommes déséquilibrés!?

 

Vladimir Poutine  lors de son discours, le 29 février 2024 à Moscou. © Sergey Guneev/Sputnik/Sipa

Sommes-nous à la veille d’une guerre nucléaire franco-russe ?!

LA CHRONIQUE DE GÉRARD ARAUD. Les récentes déclarations d’Emmanuel Macron et de Vladimir Poutine suscitent l’inquiétude en Europe.

Par Gérard Araud

Publié le 01/03/2024 à 11h32

 Dans une guerre, les enjeux sont trop importants pour ne pas mobiliser des camps farouchement opposés et les souffrances sont trop intenses pour ne pas susciter l'émotion. Dans ce contexte, la voix de la raison est rapidement étouffée. Ses nuances apparaissent trahison, son réalisme lâcheté. Cette semaine, le plus sage serait d'ailleurs qu'elle se taise devant l'ampleur de la tâche.

Comment voulez-vous, dans ces conditions, faire taire le chœur qui s'élève pour crier au danger, pour annoncer une guerre mondiale ? Voilà que l'un dit qu'il « ne veut pas mourir pour le Donbass » comme si on le lui avait demandé et que l'autre appelle à une négociation à tout prix. Dieu sait que je me méfie des parallèles historiques avec la Seconde Guerre mondiale, mais j'ai parfois l'impression de lire la presse française avant notre capitulation à Munich en 1938.

« Rien ne doit être exclu »

TOUT EST POSSIBLE AVEC UN MALADE DESEQUILIBRE ET DES RUSSES QUI NE CONNAISSENT QUE LA FORCE AVEUGLE DEPUIS LE TSARISME ET CET EMPIRE MORCELE APRES LA GUERRE FROIDE QUI SE RECHAUFFE QUE POUTINE VEUT RECONSTITUER !?

(Le tout étant de savoir celui des deux blocs OCCIDENTAUX et accessoirement les USA Otanien et RUSSIE qui aura peur le 1er et cèdera d’où l’élimination de POUTINE  mais même là ce ne sera pas gagné !?)

M'écouterez-vous si je vous disais que c'est beaucoup de bruit pour rien ? Revenons d'abord à la déclaration du président de la République à la source de ce brouhaha. Après avoir réuni une vingtaine de pays européens pour organiser et intensifier le soutien à l'Ukraine alors que la Russie marque des points et que les États-Unis se déchirent, en réponse à une question d'un journaliste, il a déclaré : « Il n'y a pas de consensus pour envoyer de manière officielle assumée des troupes au sol. Mais, en dynamique, rien ne doit être exclu. »
Vladimir Poutine brandit la menace d'un conflit nucléaireC'est clair : les Européens n'ont pas décidé d'envoyer des forces au sol en Ukraine au-delà des forces spéciales ou des techniciens dont la présence sur le terrain est un secret de Polichinelle. C'est la confirmation de cette absence de décision qui est l'essentiel. Nul besoin de s'affoler et de protester, mais évidemment qu'il fallait ajouter que rien n'était exclu à l'avenir : c'est le b.a.-ba de la dissuasion que de laisser planer l'incertitude sur ses intentions. « Toutes les hypothèses sont sur la table » est la phrase clé de toute crise pour brouiller les calculs de l'adversaire. « Troupes au sol en Ukraine » : qu'a voulu dire Macron ?

Si Emmanuel Macron n'avait pas répondu comme il l'a fait, le message à la Russie aurait été : « Prenez Kiev, vous n'avez rien à craindre de nous. » Au fond, au-delà des considérations de politique intérieure, cette poussée de fièvre médiatique prouve, une fois de plus, que nos sociétés pacifiques ont oublié la logique de la guerre.

Si vous voulez la paix, ce n'est pas en allant la mendier chez l'agresseur que vous l'obtiendrez, mais en le persuadant que vous êtes déterminé à l'empêcher de l'emporter. Il s'assiéra à la table non par amour de la paix, mais par obligation. La manière la plus sûre de ne pas « mourir pour le Donbass », c'est de convaincre l'adversaire qu'on est prêt à le faire.

« Nouvelle Russie »

Quant à la réponse de Poutine qui fait froid dans le dos de beaucoup, j'espère que je rassurerai certains en leur disant qu'il n'y a là rien de nouveau. Dans un discours fleuve de deux heures et demie, il n'a rien fait d'autre que de rappeler la doctrine nucléaire de son pays comme il l'avait d'ailleurs fait à d'autres reprises, dans des termes comparables, depuis le début de la guerre.

Il est d'ailleurs frappant de relever que, si les Russes ont agité un peu trop fréquemment la menace nucléaire depuis deux ans, ils ne l'ont fait que d'une manière parfaitement « orthodoxe » en termes de doctrine de dissuasion. Il s'agit, disent-ils – et Poutine le rappelle une fois de plus –, de défendre les intérêts vitaux du pays, en particulier en cas d'invasion étrangère.

Ce n'est pas une arme de théâtre, mais le recours ultime. Il se trouve que nul n'a l'intention de menacer ainsi la Russie : ce n'est donc qu'un sabre de bois qu'on agite pour effrayer les opinions publiques européennes. Par ailleurs, pour tous ceux qui appellent à une négociation immédiate avec l'agresseur, une lecture du reste du discours devrait les éclairer : le président russe, qui parle de la « Nouvelle Russie » – concept qui couvre une grande partie du territoire ukrainien –, n'évoque, à aucun moment, la perspective d'un compromis.

L'Occident est-il condamné à perdre la guerre en Ukraine ?

Sa seule perspective reste, à l'évidence, la victoire militaire qu'il considère à sa portée. Négociation peut-être, mais sur l'équilibre stratégique et avec les États-Unis dans ce qui est l'obsession de la diplomatie russe d'être considérée comme l'interlocuteur et l'égal de la seule puissance qu'on respecte à Moscou.

L'enseignement d'une polémique surréaliste à force d'être détachée de la réalité conduit à la nécessité de lancer un débat national avec les principales forces politiques sur une guerre qui engage les intérêts essentiels du pays et qui peut, dans les mois qui viennent, exiger des décisions exceptionnelles par leur ampleur et leur gravité. Ce n'est plus une question de plateaux de télévision, mais du Parlement et au-delà du pays : pourrions-nous tolérer une défaite de l'Ukraine ? Et sinon, jusqu'où serions-nous prêts à aller ? Le 6 novembre 2024, au lendemain de l'élection américaine, nous pourrions devoir y répondre.

Ce qui démontre s’il le fallait que l’on ne puisse négocier avec dictateurs « fous » ivres de pouvoir absolu par des orgueils démentiels et notamment avec ce criminel POUTINE qui a déjà utilisé sa force de lâche criminel depuis le début de cette guerre d’invasion de cette Ukraine EUROPEENNE avec la barbarie dont son armée a déjà fait preuve avec en plus des mercenaires qui utilisait prisonniers de droits communs ou autres comme chair à canons leur promettant la liberté !?

Car il ne fallait pas bavarder avec cet individu mais stopper dans l’œuf son éradication de l’Ukraine car voulant rayer de la carte Européenne ce pays qui voulait sa liberté (hors de cet ex Urss Soviétique ou empire Russe tsariste déchu) voir pour augmenter sa détestation de l’Occident dans sa globalité  qui a déjà menacé d’utiliser sa force nucléaire en se moquant de notre président si bavard donneur de leçon qui recommence à pérorer en le menaçant en plus avec ces possibles hypothétiques envois de troupes au sol ce dont il a cure en recommençant ses menaces nucléaires !?

Alors que l’on avait déjà commis la même erreur Franco-Anglaise avec HITLER en 1939 comme semble l’avoir oublié notre petit président bourgeois si bien élevé qui se dit féru en histoire générale mondiale contemporaine mais parle pour ne rien dire d’utile en procrastinateur pathologique et quand par hasard il veut décider quelque chose sort des inepties inqualifiables que le reste des pays de l’U.E. ont rejeté et dont notre principal allier les USA Otanien ne veulent plus participer ou aider (pour l’instant) car trop occupé par leurs élections présidentielles de vieux présidents usés BIDEN/TRUMP de ces 50 Etats UNIS !?

Conclusion : on est mal protégé nous Européens encore libres et occidentaux car mal gouvernés de toute façon ne dit-on pas « fou comme des Russes » mais surtout niais incurables donneurs de leçons comme nous Français arrogants sans amour propres tant pis pour nous !?

Jdeclef 01/03/2024 14h19

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1 commentaire:

  1. Pitoyable censure DU POINT par ses moderateurs et sa redaction infeodé au pouvoir en place incapable de regarder la réalité en face ET LE DANGER à nos portes car mal gouverné et mal protégé par notre president hyper bavard qui helas si une guerre arrivait à cause de se dictateur Russe dangereux n'arriverait pas à gerer ce malheur car pour tous les autres problèmes de notre société française malade ainsi que dans son monde dejà instable en matiere internationale il n'est pas à la hauteur ne sachant pas depuis 2017 ou il va ce qui est deplorable car les Français doivent enfin regarder leurs problemes de tout bords en face avant qu'il ne soit trop tard et ne pas hesiter au moins à en parler plutot que faire l'autruche SVP !

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