samedi 30 mars 2024

IL FAUT BIEN UN LAMPISTE POUR SUPPORTER L’INSSUPORTABLE DE LA SITUATION GLOBALE FRANCAISE QUAND ON A UN PRESIDENT QUI BOTTE EN TOUCHE EN SE PROMENANT C’EST LE LOT DE TOUT 1ER MINISTRE BIEN UTILE EN FAIT !?

 

Le nouveau seul en scène de Gabriel Attal (IL EST LÀ POUR CELA !?)

Le Premier ministre se voit octroyer une tribune sur mesure à l’Assemblée nationale. Comme s’il en manquait !

On se demande vraiment à quoi sert le parlement si notre président faux monarque roi sans couronne fait tout et n’importe quoi (plutôt rien en fait !?)

on ne parle pas ici, avec ce seul en scène, de la surexposition médiatique du Premier ministre cette semaine (convocation d'un séminaire gouvernemental en lieu et place du conseil des ministres, 20 heures de TF1), comme s'il avait profité du voyage d'Emmanuel Macron en Guyane et au Brésil – une aubaine !

On parle d'une nouveauté qu'inaugurera Gabriel Attal, ce mercredi 3 avril, dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Faute, en effet, d'avoir procédé à quelques substantielles réformes parlementaires (introduction de la proportionnelle dans les élections législatives, révision du non-cumul des mandats pour les élus nationaux), l'Assemblée a décidé de modifier la pratique des questions au gouvernement (QAG), inventées voilà cinquante ans par Valéry Giscard d'Estaing. Désormais, seul le Premier ministre répondra aux questions des députés lors de la session du mercredi. Attal n'y est pour rien, mais ne s'est pas dérobé face à cette nouveauté qui ne doit pas lui déplaire : son expérience de porte-parole l'a initié à de pareils exercices et son tempérament, voire son talent, le prédispose à ce grand oral particulier.

Le magistère de la parole est un combat

Les mœurs de la République n'en seront guère bouleversées. Mais cette réforme n'en est pas pour autant anodine. Pour preuve, les débats internes. Contre la réforme, les quatre groupes de gauche (Insoumis, Écolos, PS et PC) mais aussi MoDem et Horizons. Pêle-mêle, ils critiquent cette tribune octroyée au Premier ministre, la « verticalité » du pouvoir qu'elle accentue, l'incongruité de lui prêter une science à spectre large. Pour la réforme : Renaissance, LR, FN et Liot, qui, entre autres, se réjouissent de donner à de simples députés (et non plus aux seuls présidents de groupe) la possibilité d'apostropher directement le Premier ministre.

La véritable intention de Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée, est de rendre de l'intérêt à ce rituel, de lutter contre l'absentéisme ou l'ennui des députés, de pimenter cette procédure qu'elle tient pour essentielle dans la vie démocratique où le pouvoir doit s'expliquer sur toute question d'actualité qui importe aux élus.

Gabriel Attal va donc essuyer les plâtres de cette formule pour l'expérimenter pendant cinq semaines, avant qu'on en tranche le sort. Deux éléments au moins nous semblent mériter l'attention.

D'abord, le sort réservé aux ministres, désormais réduits à un rôle de figurants. Est-il bien raisonnable de les cantonner ainsi, dans ce rituel parlementaire, en muets du sérail parce que leur parole serait moins importante, impactante, excitante pour retenir l'attention ? Leur confisquer la réplique à une question qui les concerne, n'est-ce pas les dévaloriser ? Certes, ils auront toujours la parole lors des QAG du mardi, mais n'est-ce pas créer une fâcheuse hiérarchie, une sorte de 1re classe dont ils sont exclus ? Chercher la montée en gamme du débat, sa montée en tension, en y impliquant le numéro deux de l'exécutif, c'est en outre ajouter à la verticalité du pouvoir, dont on s'inquiète à juste titre par ailleurs.

Son réseau à droite, sa « meute » : la galaxie de Gabriel Attal

Le deuxième élément est plus conjoncturel. Que Gabriel Attal, par sa franchise, son refus du « pas de vague », son sens de la repartie polémique, soit un client prometteur de l'exercice, on n'en doute pas. Mais cet habit fait pour lui n'ira pas à tous : qu'en sera-t-il avec un Premier ministre, peut-être excellent, mais piètre orateur ou triste débatteur ? Élisabeth Borne s'était d'ailleurs désistée quand la proposition lui avait été faite. Le but poursuivi – le regain d'intérêt – serait donc dépendant du tempérament du locataire de Matignon, un sur-mesure de grande bizarrerie institutionnelle.

Autre petit détail. On ne sait si Emmanuel Macron aura son mot à dire sur la suite à donner à cette expérimentation. Mais sans rien savoir du tout, on ne le devine pas forcément très favorable à cette tribune donnée à son Premier ministre, dans le seul endroit, en outre, où le président de la République ne peut pénétrer. Même entre eux, le magistère de la parole est un combat.

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Pauvre petit minet bon chic bon genre tout sourire qui va faire son cinéma en bonne marionnette inféodée au président pendant son absence qui se promène alors que le pays est au plus mal que ce soit en situation économique ou crises internationales c’est ubuesque car les deux n’ont pas une majorité qui est relative à l’assemblée nationale !?

Car c’est les FRANÇAIS qui souffrent et vont peut-être souffrir plus au fils des évènements graves se profilant avec cette dette qui enfle comme un cancer que même le ministre de l’économie LEMAIRE a été obligé d’admettre ne pouvant cacher éternellement les 5,5 % de dette en 2023, le déficit public qui s'établit à 154,0 milliards d'euros, ou La dette publique française a atteint 3013,4 milliards d'euros le 31 mars 2023 en fait irremboursable et un président qui semble s’en laver les mains comme un Ponce Pilate de mauvaise politique politicienne c’est effarant car les Français (gogo pour certains) en lui donnant trop de pouvoir l’ont élu et surtout réélu ça ressemble à « un sauve qui peut ou un suicide politique de dernier chance qui n’existe pas car trop de problèmes internationaux et nationaux s’enchaine et le trop c’est trop !?

Ce qui semble évident c’est que nos dirigeants de tous bords présents et passés ne savent plus ou ils en sont en termes de finances nationales et c’est cela la vérité !?

Car en fait on jongle avec des milliards qu’on n’a pas ou on n’à plus ou si on les a eus dans le passé ou le budget était en équilibre ce qui remonte aux années 1970 ?!

Pour résumer le 1er ministre sarkozien FILLON avait dit le pays en faillite on y est presque comptablement !?

Si on y ajoute les problèmes internationaux récents guerre en Ukraine et annonce fumeuse de Poutine et ces attentats islamistes terroristes de DAEH EI renaissant c’est dramatique avec un président qui ne sert à rien alors bon courage à notre petit 1er ministre ATTAL (sans pouvoir…) et bonnes pâques aux FRANÇAIS ?!

Jdeclef 30/03/2024 13h59 CLP

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1 commentaire:

  1. Ca y est censure arbitraire du POINT infeodé au pouvoir macronien en place surtout sa redaction car il ne faut pas critiquer nos dirigeants1er ministre ou president pourtant d'une nulité qui frise le ridicule qui risque de couter cher financieremen aux français qui ne s"en rendent pas compte de qui est effarant car se voyant comme le nez au mlieu de leurs figures de bien pensants donneurs de leçon hypocrites !?

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