Le nouveau seul en scène
de Gabriel Attal (IL EST LÀ POUR CELA !?)
Le Premier
ministre se voit octroyer une tribune sur mesure à l’Assemblée nationale. Comme
s’il en manquait !
On se demande vraiment à quoi sert le parlement si notre président faux monarque
roi sans couronne fait tout et n’importe quoi (plutôt rien en fait !?)
on ne parle pas
ici, avec ce seul en scène, de la surexposition médiatique du Premier ministre
cette semaine (convocation d'un séminaire gouvernemental en lieu et place du
conseil des ministres, 20 heures de TF1), comme s'il avait profité du
voyage d'Emmanuel Macron en Guyane et au Brésil – une aubaine !
On
parle d'une nouveauté qu'inaugurera Gabriel Attal, ce mercredi
3 avril, dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Faute, en effet,
d'avoir procédé à quelques substantielles réformes parlementaires (introduction
de la proportionnelle dans les élections législatives, révision du non-cumul
des mandats pour les élus nationaux), l'Assemblée a décidé de modifier la
pratique des questions au gouvernement (QAG), inventées voilà cinquante ans par
Valéry Giscard d'Estaing. Désormais, seul
le Premier ministre répondra aux questions des députés lors de la session du
mercredi. Attal n'y est pour rien, mais ne s'est pas dérobé face à
cette nouveauté qui ne doit pas lui déplaire : son expérience de
porte-parole l'a initié à de pareils exercices et son tempérament, voire son
talent, le prédispose à ce grand oral particulier.
Le magistère de la parole est un combat
Les mœurs de la République n'en seront guère bouleversées. Mais cette
réforme n'en est pas pour autant anodine. Pour preuve, les débats internes.
Contre la réforme, les quatre groupes de gauche (Insoumis, Écolos, PS et PC)
mais aussi MoDem et Horizons. Pêle-mêle, ils critiquent cette tribune octroyée
au Premier ministre, la « verticalité » du pouvoir qu'elle accentue,
l'incongruité de lui prêter une science à spectre large. Pour la réforme :
Renaissance, LR, FN et Liot, qui, entre autres, se réjouissent de donner à de
simples députés (et non plus aux seuls présidents de groupe) la possibilité
d'apostropher directement le Premier ministre.
La véritable intention de Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée, est
de rendre de l'intérêt à ce rituel, de lutter contre l'absentéisme ou l'ennui
des députés, de pimenter cette procédure qu'elle tient pour essentielle dans la
vie démocratique où le pouvoir doit s'expliquer sur toute question d'actualité
qui importe aux élus.
Gabriel
Attal va donc essuyer les plâtres de cette formule pour
l'expérimenter pendant cinq semaines, avant qu'on en tranche le sort. Deux
éléments au moins nous semblent mériter l'attention.
D'abord, le sort réservé aux ministres, désormais réduits à un rôle de
figurants. Est-il bien raisonnable de les cantonner ainsi, dans ce rituel
parlementaire, en muets du sérail parce que leur parole serait moins
importante, impactante, excitante pour retenir l'attention ? Leur
confisquer la réplique à une question qui les concerne, n'est-ce pas les
dévaloriser ? Certes, ils auront toujours la parole lors des QAG du mardi,
mais n'est-ce pas créer une fâcheuse hiérarchie, une sorte de 1re
classe dont ils sont exclus ? Chercher la montée en gamme du débat,
sa montée en tension, en y impliquant le numéro deux de l'exécutif, c'est en
outre ajouter à la verticalité du pouvoir, dont on s'inquiète à juste titre par
ailleurs.
Son réseau à droite, sa
« meute » : la galaxie de Gabriel Attal
Le deuxième élément est plus conjoncturel. Que Gabriel
Attal, par sa franchise, son refus du « pas de vague »,
son sens de la repartie polémique, soit un client prometteur de l'exercice, on
n'en doute pas. Mais cet habit fait pour lui n'ira pas à tous : qu'en
sera-t-il avec un Premier ministre, peut-être excellent, mais piètre orateur ou
triste débatteur ? Élisabeth Borne s'était d'ailleurs désistée quand la
proposition lui avait été faite. Le but poursuivi – le regain d'intérêt –
serait donc dépendant du tempérament du locataire de Matignon, un sur-mesure de
grande bizarrerie institutionnelle.
Autre petit détail. On ne sait si Emmanuel
Macron aura son mot à dire sur la suite à donner à cette
expérimentation. Mais sans rien savoir du tout, on ne le devine pas forcément
très favorable à cette tribune donnée à son Premier ministre, dans le seul
endroit, en outre, où le président de la République ne peut pénétrer. Même
entre eux, le magistère de la parole est un combat.
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Pauvre petit minet bon chic
bon genre tout sourire qui va faire son cinéma en bonne marionnette inféodée au
président pendant son absence qui se promène alors que le pays est au plus mal
que ce soit en situation économique ou crises internationales c’est ubuesque
car les deux n’ont pas une majorité qui est relative à l’assemblée nationale !?
Car c’est les FRANÇAIS qui
souffrent et vont peut-être souffrir plus au fils des évènements graves se
profilant avec cette dette qui enfle comme un cancer que même le ministre de l’économie
LEMAIRE a été obligé d’admettre ne pouvant cacher éternellement les 5,5 % de
dette en 2023, le déficit public
qui s'établit à 154,0 milliards d'euros, ou La dette publique française a atteint 3013,4 milliards d'euros le 31
mars 2023 en fait irremboursable et un président qui semble s’en
laver les mains comme un Ponce Pilate de mauvaise politique politicienne c’est
effarant car les Français (gogo pour certains) en lui donnant trop de pouvoir l’ont
élu et surtout réélu ça ressemble à « un sauve qui peut ou un suicide
politique de dernier chance qui n’existe pas car trop de problèmes
internationaux et nationaux s’enchaine et le trop c’est trop !?
Ce qui semble évident c’est
que nos dirigeants de tous bords présents et passés ne savent plus ou ils en
sont en termes de finances nationales et c’est cela la vérité !?
Car en fait on jongle avec
des milliards qu’on n’a pas ou on n’à plus ou si on les a eus dans le passé ou
le budget était en équilibre ce qui remonte aux années 1970 ?!
Pour résumer le 1er
ministre sarkozien FILLON avait dit le pays en faillite on y est presque
comptablement !?
Si on y ajoute les problèmes
internationaux récents guerre en Ukraine et annonce fumeuse de Poutine et ces attentats
islamistes terroristes de DAEH EI renaissant c’est dramatique avec un président
qui ne sert à rien alors bon courage à notre petit 1er ministre ATTAL
(sans pouvoir…) et bonnes pâques aux FRANÇAIS ?!
Jdeclef 30/03/2024 13h59 CLP
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Ca y est censure arbitraire du POINT infeodé au pouvoir macronien en place surtout sa redaction car il ne faut pas critiquer nos dirigeants1er ministre ou president pourtant d'une nulité qui frise le ridicule qui risque de couter cher financieremen aux français qui ne s"en rendent pas compte de qui est effarant car se voyant comme le nez au mlieu de leurs figures de bien pensants donneurs de leçon hypocrites !?
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