RENNES LA BRETONNE EST-ELLE DEVENUE LE CHICAGO DE LA DROGUE ?! Il faut espérer que notre président monarque sans couronne dort bien car il n’est pas fatigué par sa mauvaise gouvernance de petit bourgeois qui ignore ou dédaigne les Français de peu ou d’en bas !?

 

La guerre de la drogue frappe Rennes !? (pauvres bretons…)

Le week-end dernier, une violente fusillade a éclaté au sud de la ville pour la suprématie d’un point de deal très lucratif. Les habitants, eux, sont à bout.

Par Charles Guyard

Publié le 12/03/2024 à 21h19, mis à jour le 13/03/2024 à 06h32

      Sur l'entrée de ce hall d'immeuble, sept impact de balle ont été dénombrés. © CG

IL N’A PAS DE QUOI ETRE FIER DE L’ETAT DIT REGALIEN TOTALEMENT DEPASSE COMME NOTRE PRESIDENT BAVARD DONNEUR DE LECON BIEN PENSANT ?!

Sept impacts sur la baie vitrée à l'entrée d'un hall, trois autres sur une porte, un gros trou sur un pilier d'immeuble un peu plus loin… Trois jours après, la place du Banat au cœur du quartier du Blosne porte encore les stigmates de la violente fusillade qui a réveillé les habitants, dans la nuit de samedi à dimanche, comme Maria-Helena. De sa fenêtre, elle a tout vu, tout entendu. « Des balles partout, comme un feu d'artifice, avec des mitraillettes tenues par des jeunes cagoulés qui tiraient dans tous les sens ! J'ai eu très peur, on aurait dit la guerre ! »

Le point du soir

Tous les soirs à partir de 18h

Cette retraitée ne se trompe pas vraiment, car les 32 douilles récoltées le lendemain par les enquêteurs évoquent clairement du très gros calibre utilisé. Quant aux vidéos qui ont rapidement tourné sur les réseaux sociaux, elles montrent des ombres courir, s'arrêter, puis viser et tirer avec des armes longues, imposantes. Et ce pendant plus d'une heure, de 1 h 56 à 3 h 03 dimanche matin, selon le parquet de Rennes. À cet effet, le bilan relève du miracle : seules deux personnes ont été admises aux urgences sans que leur pronostic vital ne soit engagé. Nés en 1994 et 2000, il s'agit de deux hommes déjà connus des services de police.

« Des dealers ont envahi tout l'immeuble »

Dans cet appartement, une balle a traversé une fenêtre avant de ricocher sur le four à micro-onde pour finir par se loger dans un mur. © CG

De leur côté, Henri et Alice l'ont échappé belle puisqu'une balle a traversé le montant de la fenêtre de leur cuisine avant de ricocher sur le four puis le plafond pour finir par se loger dans le mur. « D'habitude, je me lève toujours la nuit pour aller boire un verre d'eau, heureusement que je ne l'ai pas fait sinon je ne serais plus là », raconte cet octogénaire encore tout chamboulé. Compte tenu des coups des rafales qui faisaient rage dehors, il a préféré rester dans son lit avec son épouse, sans bouger. Ce n'est qu'au lever du jour qu'il a constaté les dégâts. « Quand je me suis levé pour aller prendre mon petit-déjeuner, j'ai allumé la lumière et j'ai vu tout le bazar ! Le joint de ma fenêtre et mon micro-onde ont été défoncés, j'ai retrouvé la manivelle de mon store par terre, et j'ai deux impacts, l'un côté salle à manger et l'autre au niveau du débarras. »

 Trafic de drogue en France : quand les dealers font la loiTrop c'est trop pour le couple qui, dès lundi, a demandé à être changé d'adresse. Un crève-cœur pour madame. « Ça y est, on a fait la demande ! Ça fait 38 ans que l'on habite ici, c'est une partie de notre vie qui va s'en aller, mais là, on ne peut pas rester dans cette terreur. Des dealers ont envahi tout l'immeuble, notamment l'appartement juste en dessous de chez nous. Comme ils font leurs affaires jour et nuit, sept jours sur sept, on ne dort plus, c'est infernal ! »

Le point de deal génère entre 50 000 et 70 000 euros par jour !

Il faut dire que ce point de deal est particulièrement lucratif et rapporterait « entre 50 000 et 75 000 euros par jour », selon une source policière. Pas étonnant qu'il suscite une telle convoitise ! Le long échange de tirs du week-end dernier a ainsi opposé une dizaine d'individus, les uns pour protéger leur territoire et les autres, venus d'autres régions, pour s'en emparer. Carte du quartier à la main, un agent détaille la géographie de ce trafic : « Ici c'est de l'héroïne, en face c'est de la cocaïne, là il y a du cannabis, plus loin c'est du crack. Tout autour, il y a des guetteurs, y compris devant le poste de police, qui préviennent les autres dès qu'on passe la porte. »

Et au milieu de tout cela, surtout, il y a des habitants désemparés qui n'osent plus sortir, sauf pour aller au travail ou emmener les enfants à l'école. Le petit parc de jeux, lui, est laissé à l'abandon… « Des parents ont retrouvé des matières stupéfiantes par terre, et dans une école, on a déjà vu des gamins jouer avec une seringue », déplore un gradé. « Moi je veux déménager le plus vite possible, assène Armelle en accompagnant l'un de ses fils au primaire. J'ai une grande qui est en CM2 et je suis très inquiète pour le collège, car sur le chemin, il y a des vendeurs de drogue partout. J'ai vraiment peur pour l'avenir de mes enfants. On leur dit de ne pas s'approcher, d'être vigilant, mais ce n'est pas facile ! Les grands du quartier veulent les attirer vers ces choses interdites. »

Ce mardi, la police patrouille au milieu des tours où s'est produit la fusillade. © CG

La police démunie face aux armes de guerre

Face à ce fléau, la police a beau se montrer déterminée, les moyens ne semblent pas à la hauteur des enjeux. Dans le poste de secteur du Blosne, on ne compte ainsi qu'une petite vingtaine de fonctionnaires, dont douze affectés à la brigade spécialisée de terrain (BST), qui patrouillent à pied, en vélo ou en voiture. Surtout, impossible pour eux de rivaliser face à des assaillants équipés d'armes lourdes. « On n'a pas le matériel pour », grince un uniforme. Par conséquent, lorsque la fusillade a éclaté, c'est l'antenne rennaise du RAID qui s'est déplacée, rallongeant d'autant les délais d'intervention.

Quand on voit à la télévision car filmé par des riverains de ces quartiers ces actes criminels de bandes de délinquants dangereux qui se battent à coup d’armes automatiques de guerre en pleine rue d’une capitale de province bretonne « RENNES » pour régler leurs comptes comme du temps de la prohibition sur l’alcool dans les années trente aux USA ou comme dans leur far West au IXX eme siècle qui a fini entre autre par une guerre de sécession meurtrière entre le sud et le nord des USA nos cousins d’Amérique pays dont on dit le plus démocratique du monde mais qui a aussi les mêmes problèmes  dont on importe toutes les tares depuis la fin de nos guerres mondiales en plus auxquelles on ne croyait plus de la part de nos dirigeants de tous bords illuminés bienpensant donneur de leçons d’une incapacité remarquable qui ne savent plus gouverner correctement notre pays !?

Et on parle de trafics de drogue qui augmente et l’on entend çà depuis toujours avec bien sur le trafic d’armes pour approvisionner ces criminels en disant en plus que la police est sous équipée pour lutter efficacement contre eux sans parler bien sûr parce que n’est pas bien de l’immigration grandissante depuis + de 60 ans et où il faut donc plus de dureté contre ce fléau qui détruit une partie de notre jeunesse et dégrade notre pays avec une justice nettement plus sévère en terme de code pénal pour dissuader ceux qui s’adonne à ces trafics?!

Alors en plus ce président va nous gratifier toujours plus d’un de ses discours lénifiants apaisant qui endort la vigilance au lieu de s’attaquer aux racines du mal avec fermeté avec un ministre de l’intérieur qui veut passer à autre chose après ces fameux J.O. de notre pauvre France si mal gouvernée !?

Car tout va mal et cela ne date pas d’hier et avant cette « macronie » car le président n’a fait que prendre la suite mais comme il ne fait rien avec son 2eme quinquennat tant pis pour les Français lambdas qui votent mal comme d’habitude !?

Jdeclef 13/03/2024 13h26CLP

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