mercredi 27 mars 2024

Malheureusement les Français lambda avalent tout ce que nos dirigeants et gouvernements à qui ils donnent trop de pouvoir leur servent car beaucoup n’y comprennent rien de cette mauvaise politique politicienne !?

 

À l’Assemblée nationale, les tartuffes de la vertu budgétaire ?! (Typiquement Français ces méthodes de gouvernements malhonnêtes pour mieux rouler les Français que l’on met devant les faits accomplis !?)

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Face aux mauvaises nouvelles, le gouvernement comme les oppositions se livrent à un concours d’hypocrisie confondant.

Par Sophie Coignard

Publié le 27/03/2024 à 07h05

Olivier Marleix , des Républicains, lors de la session de questions au gouvernement le mardi 26 mars 2024 à l'Assemblée nationale. © Isa Harsin - Sipa

Au théâtre, le double comique de situation et de répétition ferait rire. Mais, dans la vraie vie, celle de la politique française, il donne aussi envie de pleurer. L'Insee a confirmé, mardi aux aurores, ce que tout le monde soupçonnait déjà : le déficit budgétaire pour 2023 est plus élevé que prévu ; il représente non pas 4,9 mais 5,5 % du PIB, avec un trou supplémentaire de 15,8 milliards d'euros. Le ministre de l'Économie et des Finances avait préparé les esprits, mais, annoncée de manière officielle, la mauvaise nouvelle a fait l'effet d'une petite bombe.

 « Ça va faire très mal » : les options de l'exécutif pour réduire le déficit publicTous trois jouent les matamores mais sont embarrassés. Il leur devient difficile de revendiquer le monopole de la compétence gestionnaire, qualité dont s'est toujours prévalue la macronie, notamment face à Marine Le Pen et au RN. Alors ils éludent. Gabriel Attal entonne le vieux refrain de l'héritage, et rappelle la situation financière dégradée qu'ont laissée les prédécesseurs d'Emmanuel Macron.

« Depuis dix-sept ans, le déficit public de la France ne s'est trouvé qu'une seule fois sous la barre des 3 % du PIB, à savoir sous la présidence d'Emmanuel Macron, grâce à l'action de sa majorité au début de son premier mandat », ajoute-t-il à l'adresse d'Olivier Marleix, président du groupe LR.

La faute au Covid-19... Vraiment ?

La crise du Covid-19 est aussi invoquée, mais les autres pays européens ne l'ont-ils pas affrontée eux aussi ? Et sur les 1 000 milliards de dette supplémentaire accumulés depuis 2017, seul un quart environ est imputable à la gestion de la pandémie, comme le leur fait remarquer un député.

Thomas Cazenave assure que les autres pays européens ont eux aussi connu une baisse de leurs recettes fiscales liée au ralentissement de l'activité économique. Pourtant, le Portugal affiche un excédent, et le déficit public moyen dans la zone euro, estimé à 3,2 % du PIB, est bien inférieur à celui de la France.

 De Gaulle, reviens, ils sont devenus fous ! Bruno Le Maire s'en prend à la droite, qui donne des leçons de redressement des comptes mais qui n'a pas voté la réforme des retraites et qui a voulu « introduire 127 milliards d'euros de dépenses supplémentaires dans le projet de loi de finances pour 2024 ».

Accuser les autres n'est jamais glorieux. Mais sur ces deux sujets, il n'a pas tort. Les discours outragés de la droite sur la dépense publique ressemblent aux envolées de Tartuffe sur la vertu du dévot.

Un député RN vante quant à lui les propositions économiques et financières de son parti pour sortir de l'ornière. Il oublie de mentionner la nationalisation des autoroutes, la retraite à 62 ans, l'exonération de l'impôt sur le revenu pour les moins de 30 ans, mesures qui coûtent à elles seules 75 milliards d'euros.

Des impôts, des impôts, des impôts !

Socialistes et Insoumis se trouvent de nouveau unis pour défendre leur cause éternelle : l'augmentation des impôts. « C'est de recettes que nous manquons », clame le représentant des premiers, tandis que celle des seconds reproche les « cadeaux fiscaux aux plus riches et aux multinationales ».

Le plus raisonnable, en apparence, est le vétéran de cette Assemblée, le centriste Charles de Courson, qui s'exprime au nom du groupe Liot. Fin spécialiste des finances publiques, il prononce un réquisitoire articulé. Puis il s'indigne que les réductions de dépenses ne fassent pas l'objet d'une loi de finances rectificative, avec débat et vote parlementaire. En théorie, il a raison. Dans les faits, il est le dernier à pouvoir formuler une telle revendication. N'est-ce pas lui qui a porté la motion de censure contre la réforme des retraites en mars 2023 ? Une motion de censure votée allègrement, dans son sillage, par LFI et par le RN. La réponse à M. de Courson est donc dans la question qu'il a posée. Lui qui siège dans l'hémicycle sans discontinuer depuis 1993 ne peut l'ignorer.

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Si les français n’ont pas encore compris ce que valent leurs classes politiques de tous bords au pouvoir qu’ils ont élu et réélu ou dans l’opposition presque inexistante qui ne sait pas où elle va comme cette droite classique ou même cette extrême droite lepéniste RN avec la cerise sur ce gâteau faisandé empoisonné cette extrême gauche mélenchoniste LFI et cette gauche PS moribonde sans oublier ces écolos verts politiques illuminés devenus extrémistes pour certains trublions !?

Quant au pouvoir en place avec notre ministre de l’économie super menteur aux ordres de son patron et sa « macronie fantôme » et le  président qui gouverne mal enfin essaie avec sa majorité relative à l’Assemblée nationale en serrant les fesses suite à ces attentats islamistes de ce DAESH EI et les J.O. qui arrivent dans 4 mois à venir qui n’avait pas été éliminé depuis 2001 et 2013 jusqu’au dernier à MOSCOU par une coalition internationale inefficace qui n’avait pas terminé le travail du passé car préférant bavarder ce qui est leur habitude comme notre chef d’état petit bourgeois parvenu et sans oublier cet héritage de cette guerre Russo ukrainienne de ce dictateur déséquilibré Poutine à nos portes qui s’en moque en plus et qui fait ce qu’il veut !?

Alors avec notre économie qui va mal en plus (car on leur avait caché la vraie situation où se trouvait le pays à nos concitoyens) cela ne fait que voir la France glisser un peu plus vite vers le fond mais les Français sont naïfs et quand nos dirigeants vont vraiment leur serrer la ceinture cela risque de mal se passer !?

Mais hélas c’est de leur faute ils votent et réélisent toujours les mêmes politiciens de tous bords depuis + de 40 ans et c’est désesperant !?

Jdeclef 27/03/2024 14h52

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