Le Maghreb plébiscite le
Hamas (pas étonnant... !?)
LETTRE DU
MAGHREB. Le massacre du 7 octobre est jugé « légitime » par les
trois quarts des opinions libyennes, marocaines, tunisiennes et algériennes.
Publié le
10/03/2024 à 11h00
Des
milliers de Marocains manifestant en solidarité avec les Palestiniens de Gaza
et contre la normalisation avec Israël, à Casablanca, le dimanche 29 octobre
2023. © Mosa'ab Elshamy/AP/SIPA
NOUS EN FRANCE
CHAMPION DE LA BIEN PENSANTE HYPOCRITE ON IMPORTE INDIRECTEMENT DEPUIS + DE 60
ANS DES GENS QUI SE RENDENT COMPTE QU’ILS SONT PLUS MALHEUREUX CHEZ EUX DANS
LEURS PAYS TOTALITAIRES AVEC LEURS RELIGIONS QUELQUEFOIS MOYENNAGEUSES
EXTREMISTES VOIRE PIRE TANT PIS POUR NOUS CAR NOUS SOMMES LE PAYS DES DROITS DE
L’HOMME ET DU DROIT D’ASILE :
(Mais pas
de la femme ceci en passant qu’ils ne respectent pas !?)
Et bien sûr
le pire peut être l’antisémitisme anti juif viscéral car tout n’est
qu’hypocrisie humaine des hommes n’arrivant pas à s’entendre dans ce monde
malade à cause de mysticismes religieux et leur différence dans leur race
humaine car c’est ainsi et pas sur le chemin de changer n’en déplaise aux
bienpensant de tous poils !?
IL N’Y A
PAS DE QUOI ETRE FIER MAIS PLUTOT AVOIR HONTE ?!
Seule certitude, le mois de ramadan ne
commencera pas le même jour en Algérie et au Maroc. La guerre froide qui oppose les deux pays bloque les frontières de la région,
produisant un ramadan à deux vitesses. Cette situation serait presque drôle
d’absurdité si elle ne paralysait toute une région. Pour les télévisions, on a
mitonné depuis plus d’un an des feuilletons dantesques qui seront le summum de
l’année audiovisuelle. Passé le repas de l’iftar, la rupture du jeûne, de très
nombreuses familles se réuniront devant leur téléviseur. Un autre feuilleton,
quotidien, heure par heure, relayé sur TiKTok & Co, nourrira les
conversations : la guerre menée à Gaza par Tsahal. Les images de morts, de
destructions et de famine attisent à feu constant le ressentiment des pays
arabes. Ce sera, de facto, un des principaux sujets de discussion des familles
durant le ramadan 2024.
Guerre Hamas-Israël : le Maghreb
tout feu tout flamme pour Gaza
« Une opération
légitime »
Une récente étude,
orchestrée par le Doha Institute, s'intéresse précisément à la perception du
Hamas par les populations arabes. Titre du sondage : « Une évaluation
de l'opération militaire du Hamas du 7 octobre ». Cinq appréciations
ont été proposées, pays par pays, d'une « opération légitime de
résistance » jusqu'à une « opération illégitime ». Ce sont les
Maghrébins qui jugent en masse « légitime » l'opération menée par le Hamas le 7 octobre faisant quelque 1 400 victimes
israéliennes, 242 otages.
91 % des Libyens,
75 % des Tunisiens et des Marocains, 72 % des Algériens et 67 %
des Mauritaniens qualifient le 7 octobre d'« opération de résistance
légitime ». À l'inverse, ils ne sont que 2 % des Libyens, 7 %
des Tunisiens, 4 % des Marocains et 6 % des Algériens à juger
« l'opération illégitime ». Dans le monde arabe, ce sont les
Égyptiens (34 %) et les Irakiens (40 %) les moins virulents.
Le fait palestinien a toujours été
présent au Maghreb.
Le drapeau se trouve aux murs de partis politiques, d'associations, de
commerces… Les autocrates savent user de la carte palestinienne pour faire
bifurquer la colère sociale de leurs concitoyens. Pour autant, il n'est pas
toujours évident pour un Palestinien de franchir les douanes du Maghreb. Entre
les déclarations d'intentions et la réalité, il y a toujours eu un décalage.
Attaque du Hamas en Israël : la
délicate position du Maroc
Déclarations et envois
d'aides matérielles
Le Maghreb a manifesté les
six premières semaines après l'attaque du 7 octobre. C'est au Maroc que
ces manifestations furent les plus nombreuses, ils étaient des dizaines de
milliers sur les avenues de Rabat, Casablanca… Depuis, la fièvre est retombée.
Unique pays à avoir signé les accords d'Abraham, une normalisation avec Israël, le
Maroc jouait gros. Le royaume chérifien traverse la crise avec aplomb. Un
numéro d'équilibriste mené avec soin. Après une période de diplomatie
disruptive, Rabat a changé d'archet dans la foulée du
terrible tremblement de terre
qui a tué trois mille personnes le 12 septembre. L'heure est aux ententes,
médiations discrètes, réunions à la Ligue arabe… Si Gaza horrifie les opinions
publiques, les dirigeants se contentent de déclarations et d'envois d'aides
matérielles et médicales. La Tunisie – dont le président Saïed a toujours
placé le sujet en haut de ses préoccupations – souhaitait même former des
bataillons de volontaires pour combattre « l'ennemi sioniste ». Les
tigres étaient de papiers.
De cette colère chiffrée par
cette étude, une seule question pour les politiques et diplomates : que va
advenir de ce volume de ressentiments ? Les discussions intrafamiliales du
ramadan devraient infuser.
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En ce qui concerne la France
depuis sa décolonisation africaine (laborieuse) depuis les années 60 avec cette
cerise empoisonnée sur ce gâteau maghrébin par cette guerre d’ALGERIE inutile
que nous reproche toujours les algériens depuis 1962 et leur indépendance !?
Mais aussi la TUNISIE avec
l’affaire de Bizerte (méconnue) de cette
base militaire qui constituait un atout essentiel dans l’échiquier stratégique
de la France et de l’Occident. Or pour la Tunisie, la ville de Bizerte,
jusqu’en 1963, sera ce territoire manquant à la souveraineté nationale.
Quand les bombes et les balles sévissent à Bizerte au cours du mois de
juillet 1961, c’est la France et la Tunisie qui s’affrontent dans un
rapport asymétrique mais chargé de symboles. Il s’agit pour les Tunisiens de
parachever une indépendance déclarée cinq ans plus tôt et donc d’en finir
pleinement avec la colonisation.
Maroc indépendant (depuis 1956) :
protectorat
Le Maroc accède à son indépendance le 2
mars 1956 et se trouve confronté dès lors à de nombreux enjeux d'ordre
politique, économique et social (parachèvement de l'intégrité territoriale et
stabilisation de la situation intérieure). En 1961, le décès de Mohammed V,
qui a été le dernier sultan de l'Empire chérifien et le premier roi du Maroc
moderne (le titre de roi remplace celui de sultan en 1957),
laisse le trône à son fils Hassan
II qui doit relever dès lors un
ensemble de défis, consolider son pouvoir et assurer la place du Maroc dans le
contexte mondial de la guerre froide et
de la décolonisation.
Pour
résumer ces trois pays et notamment en tête Les ALGERIENS pour les plus
vindicatifs suivi des TUNISIENS et moindre chez les MAROCAINS nous détestent
cordialement il faut le dire nous reprochant toujours d’être des ex
colonisateurs profiteurs mais qui profitent toujours de la France indirectement
en nous envoyant leurs migrants depuis les années 60 à cause d’une très
mauvaise gestion politique de décolonisation de tous nos gouvernements depuis
les indépendances de ses pays tout comme pour l’Afrique noire francophone de
notre ex empire colonial ?!
Jdeclef 10/03/2024 14h08
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Voila ce qu'est la FRANCE des bien pensants hypocrytes de medias comme LE POINT qui s'acharne à vouloir fermer les commentaires qui les genes avec leurs moderateurs stupides et ignorants voire leur redaction infeodée au pouvoir en place à censurer des internautes qui osent dirent des verités historiques étayées et verifiées que l'on n'ose meme pas enseigner correctement dans nos écoles publiques bien que nous fussions (encore) dans un pays libre et démocratique qui n'a pas pas honte de ses medias orientés vers des dirigeants qui ne le meritent pas et qui doivent accepter toutes critques logiques utiles !
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