samedi 23 mars 2024

Coucou le revoilou le vieux F.BAYROU hyper bavard clown devenu triste car peut être récidiviste encore à l’élection présidentielle de 2027 !?

 

François Bayrou ne retient plus ses coups comme un boxeur usé par l’âge 73 ans mais qui a gardé sa langue bien pendue ?!

LA CHRONIQUE DE CHRISTINE CLERC. Ce dimanche à Blois, François Bayrou fera un pas vers une quatrième candidature à la présidentielle.

Publié le 23/03/2024 à 08h00

F.BAYROU FAIT PARTIE DES POLITICIENS INCURABLES DANS CETTE CLASSE POLITIQUE FRANCAISE USEE ?!

Cela risquait fort d'être une humiliation de plus : ce vendredi soir, alors que le maire de Pau et président du MoDem, François Bayrou, devait rejoindre les élus de son parti pour célébrer, durant deux jours à Blois, son retour sur le devant de la scène après sa relaxe, le 5 février, dans l'affaire des « assistants parlementaires », les dirigeants de Renaissance avaient décidé de tenir leur second meeting de campagne européenne à Bayonne. À une heure de chez lui, mais en son absence ! Plusieurs ministres allaient renouveler leur soutien à la jeune candidate Valérie Hayer. C'est dire le peu de cas qu'ils faisaient du centriste qui osait, il y a un mois, refuser le ministère de l'Éducation nationale (qu'il occupa déjà voilà 30 ans dans un gouvernement de cohabitation mené par Édouard Balladur) « faute d'un accord profond sur la politique à suivre avec le Premier ministre », Gabriel Attal.

Mais voilà que, jeudi, à la veille de leur meeting, éclate un scandale : la révélation d'un déficit de la France supérieur à 5 % du PIB ! Suprême humiliation pour le ministre de l'Économie et des Finances Bruno Le Maire, au moment où il publie son douzième livre Une voie française (Ed. Flammarion) : une délégation du Sénat s'est rendue à Bercy pour éplucher les comptes et « obtenir des réponses sur leur dégradation ». Alors que le ministère a œuvré durant des mois pour que le chiffre officiel se maintienne à 4,9 % et que la note de la France ne soit pas dégradée !

Bien entendu, ce coup dur pour le ministre de l'Économie et le président de la République n'est pas une victoire pour François Bayrou. Mais force est de reconnaître que le président d'un parti centriste à la comptabilité contestée avait raison lorsqu'il alertait, depuis des années, sur la dette française, en plaisantant parfois, lui l'auteur d'une douzaine de livres, dont le best-seller Henri IV, le roi libre : « J'ai l'air d'un homme de lettres alors que je suis fasciné par les chiffres ! » Durant des années, dit-il, « on m'a traité de fou quand je mettais en garde contre l'aggravation de nos déficits. Car tout le monde était complice : la gauche ne rêve que de dépenses publiques, le RN veut encore les accroître… »

Même âge et presque même score que Mélenchon

On riait de lui : à 72 ans, plusieurs fois ministre (la dernière fois, en 2017, à la Justice durant 32 jours avant de démissionner pour cause de procès) et déjà candidat par trois fois à la présidence de la République, n'avait-il pas, en 2007, atteint face à Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal son score maximum – 18,57 % des voix ? Rêvait-il des 21,9 % réalisés en 2022 par Jean-Luc Mélenchon, âgé lui aussi aujourd'hui de 72 ans ? Ne jouait-il pas l'éternel « poil à gratter » de la droite et du centre ?

François Bayrou : « Il n'y a pas de démocratie si on ne comprend pas où l'on va »

À la présidentielle de 2012, François Bayrou alla jusqu'à choisir François Hollande contre Nicolas Sarkozy. Cela lui valut la haine tenace de l'ancien président, qui épingle à plusieurs reprises dans son dernier livre (Le Temps des combats, Ed. Fayard) « l'ineffable François Bayrou, ce centriste dans l'âme »… Cela lui vaut aussi l'agacement, sinon l'exaspération, de toutes celles et ceux qu'il n'a cessé d'épingler dans ses livres et ses interviews : les femmes au pouvoir, d'abord, comme Élisabeth Borne dont il réclama plusieurs fois le remplacement à Matignon car elle n'était pas « politique », ou Catherine Vautrin qui lui paraissait trop réac… Exception étant faite pour Valérie Hayer dont le jeune âge, « l'authenticité » et « l'enracinement » le touchent. Mais aussi le jeune Premier ministre Gabriel Attal, dont la ligne, trop à droite selon Bayrou, « fait la part trop belle aux technocrates gestionnaires »… Et même son propre allié Édouard Philippe, 53 ans, dont les 30 parlementaires, ajoutés aux 49 députés MoDem, constituent une réelle force de contestation au sein de la majorité... Ne sont-ils pas de futurs rivaux ?

« Nous sommes en 1938 »

Dimanche à Blois, dans le grand discours dont il tient secret le contenu, s'étant bien gardé d'intervenir dans les médias les jours précédents et n'ayant rencontré Emmanuel Macron que très discrètement, Bayrou fera un pas vers une quatrième candidature à la présidentielle. Après avoir testé le succès de sa nouvelle formule, « la France qui se bat en bas contre la France qui décide en haut », il insistera sur les « immenses marges » possibles afin de réduire la « suradministration française ». Il reviendra sur la réforme des retraites, qu'on n'a pas su « expliquer clairement aux Français ». Il dressera le plan d'économie à long terme sans lequel on ne pourra pas « sortir enfin de la dette ». Mais il se projettera surtout sur la scène internationale. Il parlera de la guerre.

Les Français sont-ils conscients qu'elle est à nos portes ? Pas encore. Mais « nous sommes en 1938. Le seul parti opposé aux accords de Munich, c'est le nôtre ». Ce jour-là, ou plutôt cette nuit-là, du 29 au 30 septembre 1938, l'Italien Mussolini, le Britannique Chamberlain et le Français Daladier, convoqués par Hitler, signent un accord de cession des Sudètes au profit du IIIe Reich… À son retour, acclamé par des Français soulagés, Daladier s'exclamera « Ah, les cons ! » Mais un centriste agrégé d'histoire, Georges Bidault, qui succédera à Jean Moulin à la tête de la Résistance avant d'être, à la Libération, ministre du général de Gaulle, sera l'un des premiers à réagir. Plus tard, bien plus tard, Bidault rejoindra, hélas, les colonels militant pour l'Algérie française. Mais Bayrou ne veut retenir que l'image du président du Conseil national de la Résistance, fondateur il y a cent ans du mouvement centriste. Cet homme-là, ce grand résistant, déclarait : « Lorsqu'il s'agit de dire non, le meilleur moment est le premier ! »

 

Quels coups (foireux semble-t-il) peut donner ce pauvre F.BAYROU  que le ridicule ne tue pas heureusement pour lui car il fait partie de ses politiciens ex élu ex ministre médiocre presque meilleur bavard que notre président actuel qui lui aussi nous soulent avec ces discours alambiqués et qui s’accroche aux branches de cette classe politique française lamentable que l’on traine depuis + de 40 ans !?

Il fait parti de ces politiciens de partis ringards que l’on revoit à chaque élections présidentielles ou autres grand donneur de leçons qui s’écoute parler d’ailleurs il a été dans 1993 et 1997, sous 3 gouvernements de droite (Balladur Juppé I et Juppé II) ministre de l'Éducation nationale. En parallèle, il préside plusieurs formations centristes : le Centre des démocrates sociaux (CDS) de 1994 à 1995 et Force démocrate (FD) de 1995 à 1998 l'Union pour la démocratie française (UDF) de 1998 à 2007 et le Mouvement démocrate (MoDem) depuis 2007.

Il a été candidat à 3 reprises à une élection présidentielle. Investi par l'UDF alors une 4 eme il n’est pas à cela près !?

Comment voulez-vous que la France change avec de telles vieilles barbes de 73 ans qui s’écoutent parler dans notre pays où il faudrait depuis la fin du mitterrandisme PS (qui fut un échec renouvelé) et après refaire en 2017/2022 par l’élection de notre président actuel et sa « macronie » et son parti « en marche » tiré au sort dans la population des candidats lambda députés novices qui n’a plus la majorité car devenue relative en 2022 par la réélection de notre président bien plus jeune comme quoi l’âge n’est pas un facteur de changement et avoir changé le nom de son parti plutôt une habitude de droite classique en « renaissance » qui n’en n’est pas une !?

Car les FRANÇAIS sont bons publics râleurs mais votant si mal ou ne sachant pas qui choisir (enfin pour ceux qui votent ou y comprennent quelque chose) car l’abstention est importante ne semble pas comprendre encore que le pays va de plus en plus mal et çà c’est préoccupant (pour ne pas dire autre chose !?)

Jdeclef 23/03/2024 14h34LP

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