samedi 9 mars 2024

Sur le fond il n’a pas tort dans notre Veme république avec ces FRANCAIS qui élise et réélise toujours les mêmes en fait depuis que cette VEME république existe et surtout avec des présidents qui se prennent pour des monarques sans couronne digne de l’ancien régime post révolution et empires malgré nos républiques et à qui ils donnent trop de pouvoir qu’ils utilisent mal (quand ils le font ce qui n’est pas le cas de celui en place illuminé bavard et procrastinateur !?)

 

François Rebsamen : « Être ministre, aujourd’hui, ce n’est plus rien ! ?»

ÇA RESTE ENTRE NOUS. Le maire de Dijon soutient la liste macroniste aux européennes, mais ne distribue pas que des bons points au chef de l’État, entre confidences personnelles et Coca Zero.

Par Michel Revol

Publié le 09/03/2024 à 09h00

*      Le maire de Dijon François Rebsamen soutient la liste macroniste aux européennes © DR

IL FAUT SAVOIR DIRE CE QUI EST EVIDENT ON A ENCORE LE DROIT DE LE FAIRE DANS NOTRE PAYS ENCORE LIBRE (AVANT DE GLISSER DANS UNE PSEUDO DEMOCRATURE COMME DANS D’AUTRES GRAND PAYS CONNUS ?)

CAR LES FRANCAIS SEMBLE APATHIQUES VOIRE PRESQUE MASOCHISTES CAR SUBISSANT UNE OU DES CRISES BIEN PRESENTES QUE NOTRE GOUVERNEMENT ET SES MINISTRES COMMENCENT A ADMETTRE CE QUI NE CHANGE RIEN SUR LE FOND JUSQU’EN 2027 MAIS DEVRAIENT QUAND MEME LES ALERTER AVANT QUE SE SOIT INSSUPPORTABLE (POUR INTERPELLER ENFIN NOTRE PRESIDENT QUI SE MOQUE D’EUX DEPUIS LE DEBUT EN LES DEDAIGNANT AVEC CES BAVARDAGES CREUX !?)

François Rebsamen est un peu contrarié. Le club de son cœur, le Dijon Football Côte-d'Or, ne pointe qu'à la cinquième place du classement de National, la troisième division, bien loin de ses années fastes en Ligue 1. Pour cet amoureux du foot, capable de donner la plupart des noms des stades français, c'est un crève-cœur. Mais c'est sans doute le seul.

Pour les européennes, Rebs soutient Renaissance

À 72 ans, Rebs s'active. Il vient tous les mardis à Paris et pose ses affaires au Novotel de la gare de Lyon. Il travaille et reçoit dans l'une des alcôves de bois clair situées au premier étage, dans l'espace coworking de l'hôtel. François Rebsamen, qui carbure au Coca Zero et à l'eau de Vichy, est une sorte de cumulard : il est aux commandes de Cités unies de France (qui assure la promotion des collectivités locales à l'étranger) et du Conseil national des économies régionales (qui coordonne les agences de développement économiques), il dirige depuis vingt-cinq ans Dijon et sa communauté urbaine, il préside enfin la Fédération progressiste, une sorte de club à tendance sociale-démocrate qui vise à produire des idées. En novembre, lors de sa dernière assemblée à Paris dans le joli bâtiment de la maison de l'Amérique latine, la Fédération progressiste avait réuni une ribambelle de ministres macronistes marqués à gauche tels Olivier Dussopt, Olivier Véran, Clément Beaune, Agnès Pannier-Runacher, Patrice Vergriete…

On ne sera donc qu'à moitié étonné en entendant Rebsamen nous révéler : « Je soutiens la liste Renaissance aux européennes. » L'ancien socialiste est un pragmatique. Il ne faut pas disperser les voix, dit-il, il faut faire bloc pour contrer le RN et, partant, donner à Emmanuel Macron les moyens de s'opposer à Poutine. À l'inverse, il raille la liste socialiste emmenée par Raphaël Glucksmann, qui tracte derrière lui des architectes de la Nupes comme Pierre Jouvet, le numéro 3. « Glucksmann, c'est la liste du moratoire, une liste d'apparatchiks faite de bric et de broc », cingle Rebs en allusion à la volonté de LFI de négocier un cessez-le-feu sans conditions à Gaza.

Mais il exerce son droit d'inventaire des mandatures Macron

À rebours de nombreux leaders politiques, François Rebsamen a apprécié que le chef de l'État milite pour une présence en hommes en Ukraine. L'ex-numéro deux du PS, grand copain de François Hollande, s'y connaît dans l'art de négocier. « J'ai très bien saisi ce qu'Emmanuel Macron a voulu dire. Poutine ne connaît que le rapport de force. Emmanuel Macron l'a compris. Pour négocier avec lui, il faut être en position de force », dit-il. Il veut même aller plus loin en levant une taxe exceptionnelle sur les entreprises et les très grandes fortunes, afin de « financer l'effort de guerre ». Il ne serait pas contre la création, à Bruxelles, d'un commissariat européen de la Défense, afin de renforcer la défense européenne, surtout depuis que les États-Unis remettent en cause leur aide au travers de l'Otan.

Mais François Rebsamen n'est pas une groupie du chef de l'État. Il le critique et il en a le droit, minaude-t-il. « Je l'ai tellement soutenu pendant la présidentielle que je peux parfois prendre mes distances ! » Si ses dernières initiatives, comme la panthéonisation du couple Manouchian, lui ont beaucoup plu, deux réformes l'ont chiffonné. D'abord, celle des retraites. « Il manquait le dialogue social, je l'ai dit à Élisabeth [Borne], que je connais bien. » La loi immigration, ensuite. « Je lui ai dit mon désaccord », assure Rebsamen, qui a ligne directe avec Macron. Mais c'est surtout le mode d'exercice du pouvoir qui heurte le maire de Dijon. La valse des ministres, l'inconséquence de la stratégie présidentielle, le goût pour la communication, tout cela accable Rebs. Il cite un exemple. Il a voulu négocier avec le ministère des Transports le versement mobilité (dû par les entreprises pour financer les transports publics), mais rien à faire : trois ministres (Djebarri, Beaune, Vergriete) se sont succédé en moins de deux années !

Son appui à Macron pour les européennes ne serait donc pas un échange de bons procédés – soutien contre maroquin. Rebs n'a plus envie d'être ministre, en tout cas pas de Macron. « Être ministre, aujourd'hui, ce n'est plus rien. On te prend, on te jette, ton cabinet est déjà prévu, tu ne rencontres jamais Macron et tu n'as pas le droit de t'exprimer dans la presse ! »

François Rebsamen préfère agir à la tête de la Fédération progressiste et attendre la fin du double quinquennat Macron, en 2027. Un espace au centre gauche pourrait alors s'ouvrir, pour un candidat frappé du sceau social-démocrate – Cazeneuve, Hollande, Le Foll… En attendant, Rebs continue ses allers-retours entre Dijon et Paris, chaque mardi. Et croise les doigts pour que son club de foot retrouve son lustre d'antan.

Ce politicien âgé est surement aigri et déçu par la « Macronie » et son patron notre chef d’état bavard donneur de leçons bienpensant et procrastinateur incapable de décisions valables efficaces qui depuis 2017 continue à décevoir bien d’autres Français qui mêmes pour certains l’ont réélu en 2022 sans réfléchir ne croyant pas avoir d’autres choix ou ayant peut être peur du lendemain pour un 2 ieme  quinquennat qui prend le même chemin que le 1er jusqu’en 2027 alors que le président et son 1er ministre servile inféodé à sa personne nomme des ministres quelquefois incompétents mais aussi obéissant à la politique inexistante de son gouvernement qui continue a voir végéter la France qui maintenant entre vraiment dans une situation économique préoccupante que le ministre de l’économie MR LEMAIRE est obligé de dire un semblant de vérité (ce qui le change pour ce menteur patenté) en demandant aux FRANÇAIS de subir (encore un serrage de ceinture) dont ils sont habitués depuis + de 65 ans et surtout depuis après 1970 dans cette Veme république Gaulienne usée devenue pseudo monarchique !?

Avec en plus une situation internationale très tendue dans notre monde ou on se moque de notre petite France que l’on n’écoute plus et pour les pays libres et encore démocratiques de cette Europe Unie (sur le papier) dans un monde malade et instable que d’ailleurs notre président n’est pas capable bien sur de maitriser car le dépassant (ce qui est indirectement la faute aussi des FRANÇAIS lambda qui ne savent plus voter ou choisir leurs dirigeants et politiciens de tous bords !?)

Alors pour essayer de faire passer cette pilule amère on nous vend les J.O. belles festivités sportives de cet été on l’on voit ceci en passant que le ministre DARMANIN de l’intérieur usé par les problèmes d’insécurités divers dire qu’il passera la main après ceux-ci (mais à un autre qui ne se précipitera pas pour prendre sa place on pourra le comprendre..?!)

Il faudrait que les français ouvrent enfin les yeux !?

Jdeclef 09/03/2024 14h36

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