mardi 19 mars 2024

C’est trop pour notre président petit bourgeois donneur de leçon bienpensant qui n’arrive à rien car ne sachant que faire ni décider qui va cultiver son inutilité de procrastinateur pathologique qui ne sait plus où il va et n’ayant en plus aucun amour propre !?

 

Visite de Tebboune à Paris : les dessous d’une annonce (qui ne sert à rien !?)

La confirmation d’une visite en France du président algérien, annoncée pour l’automne, dégonfle un peu les nuages de tensions entre Alger et Paris.

Par notre correspondant à Alger, Adlène Meddi

Publié le 19/03/2024 à 08h43

*      Le président algérien Abdelmadjid Tebboune effectuera une visite d'État en France a annoncé l'Élysée à l'issue d'un entretien téléphonique entre M. Tebboune et son homologue français Emmanuel Macron, le 11 mars dernier. © Ludovic Marin/AP/SIPA / SIPA

COMME SI C’ETAIT UTILE DE RECEVOIR CE PRESIDENT ALGERIEN QUI SE MOQUE DE LA FRANCE ET BIEN SUR DE NOTRE PRESIDENT SANS AMOUR PROPRE MAIS CA ON LE SAVAIT DEJA ( on est si mal gouverné et protégé à cause de nous Français lambda qui votons si mal ?!)

Un ascenseur émotionnel qui déroute, décourage, et offre parfois, comme en ce moment, des lueurs d'espoir. La relation bilatérale entre Alger et Paris connaît un nouveau rebondissement à la faveur d'un échange téléphonique entre Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebboune

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Fatigue des « algérophiles » à Paris

« Il fallait respirer un bon coup, laisser passer la tempête, et se reconcentrer sur l'essentiel : travailler avec les Algériens sur le fond et la forme de la visite d'État. De toute manière, nous, nous faisons tout notre possible pour que les choses avancent », confie une source officielle à Paris. 

Les moindres indices, rumeurs, déclarations ou gestes d'Alger, sont analysés à Paris. Sherpas et hauts fonctionnaires à Paris, au Quai ou à l'Élysée, n'attendent même pas des gestes positifs, juste des indications vagues pour conforter leur ténacité à sauver l'axe Paris-Alger alors que tout décourage, à commencer par les attitudes intempestives de leurs interlocuteurs ou leur manque de réactivité. 

Une vraie fatigue « s'est emparée même des réseaux les plus algérophiles » dans les couloirs de l'Élysée et du Quai, entend-on régulièrement à Paris. « Nous avons l'impression de beaucoup donner sans trop recevoir », un euphémisme pour ne pas avoir à critiquer – publiquement – l'apathie de la coopération dans divers domaines ou les campagnes anti-françaises.

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Un très « relatif » réchauffement

La rémission de ces fameuses campagnes de french bashing, lancées souvent par des périphéries politiques ou médiatiques du pouvoir algérien, pourrait d'ailleurs être lue comme un très « relatif » réchauffement, voire une disposition algérienne à même de paver la route vers ce moment clé de la reprise du bilatéral : la visite d'État de Tebboune en France

« Cela peut paraître maigre comme présage positif, mais au vu de l'état du bilatéral, tout est bon à prendre », commente-t-on encore à Paris tout en redoutant un prochain couac ou « irritant » qui remette la relation sous pression. 

Mais pour le moment, « le climat s'apaise », selon nos interlocuteurs des deux côtés qui avancent l'atmosphère de « bonne entente » lors de la visite à Alger, fin février, d'Anne-Marie Descôtes, secrétaire générale du ministère français de l'Europe et des Affaires étrangères, ou encore l'accueil chaleureux des officiels algériens réservé à l'ambassadeur Stéphane Romatet.

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Une visite d'État, pas une « visite touristique »

Ce faisceau d'indices encourageants a connu son paroxysme ce 11 mars après l'échange téléphonique et l'annonce de la visite à l'automne. D'après nos sources, ce calendrier, fixé en collaboration avec Alger, a pris en compte l'encombrement de l'agenda des événements en France : les élections européennes (6-9 juin), le 80e anniversaire du Déparquement en Normandie (6 juin) puis en Provence (15 août), les Jeux olympiques (26 juillet-11 août) et paralympiques (28 août-8 septembre)… La projection en automne permet aussi de s'affranchir du sujet clivant de la situation au Moyen-Orient, sur lequel Paris et Alger ont des positions plus que divergentes, si d'ici-là la guerre Israël-Hamas se résolvait d'une manière ou d'une autre. 

« Au-delà du calendrier, il faut y mettre du sens et du concret », résume-t-on à Paris. « Une visite d'État a des nécessités, elle doit déboucher sur des résultats. Ce n'est pas une visite touristique. Il faudrait s'accorder sur le programme d'une véritable visite d'État », avait insisté le président algérien en août. 

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Des chantiers à profusion

Depuis des années, les dossiers et les « délivrables » (sujets de coopération) en projet s'accumulent et n'ont pas bénéficié de la dynamique enclenchée par la visite de Macron en Algérie en août 2022.

Parmi les chantiers à venir, qui pourraient connaître un nouveau souffle avec la visite prévue de Tebboune : la relance du « Haut Conseil de coopération », chargé de superviser le dialogue bilatéral entre les deux chefs d'État, ou encore l'instauration d'un Conseil de partenariat économique à la place de l'actuel COMEFA (comité mixte économique franco-algérien). Il restera à trouver des solutions aux traditionnels « irritants » – les questions de migration, de coopération sécuritaire, économique, universitaire, éducative… – qui, selon nos sources, « peuvent être dépassées avec de la bonne volonté de part et d'autre », et à discuter de sujets sur lesquels Paris et Alger ont beaucoup à partager : le Sahel, traditionnelle zone d'influence de l'Algérie que ses partenaires d'hier, le Mali et le Niger, remettent aujourd'hui en question.

« Des deux côtés, nous travaillons de concert pour habiller de concret les déclarations d'intention et les mémorandums d'entente, il y a une très grande attente aussi bien à Paris qu'à Alger. » Quant aux « irritants », comme la question mémorielle qui parfois jette un froid, « on peut les dépasser avec de la bonne volonté de part et d'autre », assure une source algérienne. 

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Alger-Paris-Rabat : délicat « chemin de crête »

Ce léger vent d'optimisme intervient, et beaucoup d'observateurs le soulignent, au moment où Paris reprend langue avec le Maroc après une longue séquence de refroidissement des relations. Une reprise marquée par le premier déplacement au Maghreb du nouveau chef de la diplomatie Stéphane Séjourné qui a atterri à Rabat le 26 février. Un geste précédé par l'accueil à l'Élysée des sœurs du roi Mohammed VI par Brigitte Macron.

« Le président [Macron] ne met pas en balance le rapprochement avec Alger ou Rabat aux dépens de l'un ou de l'autre. Nous avons besoin de relations fortes avec ces deux pays du Maghreb », tranche un proche du dossier bilatéral. Les tensions entre les deux pays ne « devraient pas hypothéquer le bilatéral Paris-Alger et Paris-Rabat », d'après la même source, même si ce « chemin de crête semble assez délicat ». 

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On perd son temps avec ce pays qui nous déteste nous tenant responsable depuis la fin de cette guerre d’ALGERIE inutile pour la France et ce pays qui nous envoie toujours son immigration de certains de ses ressortissants qui fuit le totalitarisme de leurs dirigeants au pouvoir !?

C’est d’ailleurs le comble de cette hypocrisie réciproque des 2 chefs d’états à cause d’une décolonisation de ce MAGRHEB mais aussi d’Afrique noire et notre empire colonial qui s’est mal passé et que l’on n’a pas encore vraiment terminé correctement depuis + 60 ans et que l’on traine comme des boulets !?

Alors avec notre chef d’état actuel bienpensant donneur de leçon bien pensant hypocrite comme son interlocuteur par ce conflit débuté en 1954 mais n’ayant pas connu celui-ci car trop jeune car incapable de dire non à ce pays et surtout ses dirigeants que se succèdent depuis + de 60 ans en leur disant que chacun de nos pays devraient vivre sa vie internationale chacun  pour soi sans s’occuper de l’autre et tourner enfin la page en n’essayant pas de récupérer plus ce qu’ils ont de ce pays riche en ressources énergétiques exploitées et découvertes par les anciens colonisateurs Français dont beaucoup sont nés dans ce pays et qui ont été jetés comme des malpropres lors de l’indépendance de ce pays nord-africain en 1962 !?

Mais pour ceux qui admire (encore) notre président actuel petit bourgeois de plus en plus inutile sur bien des sujets internationaux et intérieurs avec les précédents de nos chefs dit d’état que nous avons élus et réélus au pouvoir dans cette Veme république pseudo monarchique usée n’ont rien fait de mieux !?

Car la diplomatie hypocrite n’est faite que pour les ânes qui avalent tout et on en a pas mal chez nous que ce soit le peuple lambda ou leurs élus jusqu’au plus haut de l’état (tant pis pour nous !?)

DE TOUTE FAÇON ON POINTE SUR TOUT CE QUE NE VA PAS DANS NOTRE PAYS  AVEC NOS POLITIQUES HYPER MÉDIOCRES !?

Jdeclef 19/03/2024 13h43

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