vendredi 29 mars 2024

Une information sans intérêt fumisterie pré électoraliste dont on a déjà vu la médiocrité dans la gestion déplorable de la mairie de PARIS par A.HIDALGO !? (IL Y A PLUS IMPORTANT A TRAITER EN FRANCE EN CE MOMENT!)

 

LA LETTRE DU PALAIS. La maire de Paris, qui fête les dix ans de son accession à l’hôtel de ville, est contestée jusque dans son propre camp. La bagarre pour 2026 est déjà lancée.

CELA NE CONCERNE QUE PARIS ET SES ADMINISTRES QUI NE REPRESENTENT PAS TOUS LES FRANCAIS LOIN DE LA ?!

Ceci pourrait être une métaphore, mais non. Le samedi 23 mars, en début d'après-midi, Anne Hidalgo fête les dix ans de son élection à la tête de Paris au moment où les nuages s'amoncellent au-dessus de sa tête. C'est la vérité : vers 16 heures, la pluie s'abat fort sur la capitale. Les attractions dressées sur le parvis de l'hôtel de ville, comme les mini-murs d'escalade, sont désertées. Les visiteurs, venus en nombre, se réfugient dans les immenses salles tout en dorures de l'hôtel de ville, ouvert pour l'occasion au public. Anne Hidalgo se balade au milieu de la foule, en veste bleu marine et le sourire aux lèvres. Elle prend la pose pour les selfies, passe entre les nombreux stands qui vantent la « ville inclusive » ou les jardins potagers, papote avec les curieux, serre tout plein de mains. Elle semble ravie.

Mais les nuages, la pluie et la fraîcheur du jour peuvent aussi illustrer le moment délicat que traverse Anne Hidalgo. Le même week-end, un sondage publié par La Tribune sonne comme un coup de semonce : la maire de Paris serait largement battue si elle briguait un troisième mandat, avec 14 % des voix contre 38 % à Rachida Dati et 18 % à l'écologiste Yannick Jadot. Pis, peut-être, son bilan est rejeté par 67 % des sondés… « La garde rapprochée d'Anne Hidalgo a été très énervée par ce sondage, on a reçu des messages plutôt agressifs », note un élu écolo parisien.

La maire de Paris en a vu d'autres. Un sondage réalisé deux ans avant une élection, fondé sur une méthode différente du scrutin (qui, à ce stade, est toujours indirect), ne l'ébranlera sans doute pas. Ce n'est pas son genre. Et puis a-t-elle envie de se représenter ? La maire de Paris laisse planer le doute. Elle repousse sans cesse l'annonce de son choix, d'abord au début de 2024, puis désormais au-delà des sacro-saints Jeux olympiques, sur lesquels elle mise beaucoup pour se relancer.

Stationnement des SUV : Anne Hidalgo invente l'écolo-populisme

Dans les somptueux couloirs de l'hôtel de ville, on se perd en conjectures. Pour certains, c'est sûr, ce mandat est le dernier ; pour d'autres, c'est sûr, elle veut en briguer un troisième. « Elle va repartir [pour un autre mandat, NDLR], c'est ma thèse depuis longtemps », dit un membre de la majorité municipale. Ne tend-elle pas la main, depuis peu, à ses alliés écologistes, qui travaillent avec elle sans enthousiasme ? Il y a quelques semaines, Anne Hidalgo confie ainsi qu'un écologiste pourrait très bien mener la liste socialiste aux européennes à la place de Raphaël Glucksmann. Elle fait aussi alliance avec les écolos pour offrir une place éligible à Yannick Jadot aux sénatoriales de l'automne. Et, à quelques occasions comme au printemps dernier, elle invite Cécile Duflot à parler lors d'un grand raout organisé à l'hôtel de ville.

Dans le doute, les prétendants sortent du bois. Emmanuel Grégoire est le premier d'entre eux. Anne Hidalgo l'a pris comme bras droit en 2018. Depuis, assis dans le vaste bureau qu'elle-même occupait sous Bertrand Delanoë, le premier adjoint se prépare. Il consulte beaucoup les maires d'arrondissement de gauche, tisse son réseau et multiplie les apparitions médiatiques. La dernière en date ne lui a pas réussi. Dans Le Monde, le 4 février, il dévoile fermement son ambition tout en dénigrant Anne Hidalgo. « Le moment est venu de m'affirmer davantage. […] Nous devons créer une nouvelle histoire, nous devons changer radicalement de récit. »

Les doutes d'Anne Hidalgo sur Emmanuel Grégoire

Dans son bureau grand comme un hall de gare, Anne Hidalgo enrage. L'impertinent en fait trop. Le lendemain de la parution de l'article du Monde, elle doit annoncer le résultat de son référendum sur les SUV à Paris. Hidalgo compte beaucoup sur cette mini-consultation pour redorer son blason – même si ses résultats sont mitigés. Mais la première question des journalistes porte sur… la sortie d'Emmanuel Grégoire dans Le Monde. Le premier adjoint, absent ce soir-là, est même obligé de revenir sur ses propos, après avoir confié à des camarades qu'il était très fier de son coup, dûment réfléchi…

Aux yeux d'Anne Hidalgo, Emmanuel Grégoire va un peu vite en besogne. « Je lui dis : “Restons concentrés sur les Jeux. […] Ne gâchons pas ce moment en sautant les étapes. J'annoncerai ce que je ferai le temps venu.” », affirme la maire de Paris dans une interview accordée cette semaine au magazine Le Nouvel Obs. Son entourage précise que les JO ne sont pas seuls en cause. Anne Hidalgo aurait des doutes sur la carrure de son premier adjoint pour affronter les flots tempétueux à venir. « Est-ce vraiment la bonne personne ? s'interroge un membre de son équipe. L'extrême droite est à 40 %, la guerre est à nos portes, il faudra être en mesure de tenir les barricades. » Autrement dit, qui d'autre qu'Anne Hidalgo peut être en mesure de défendre les « valeurs républicaines » si Marine Le Pen est élue pas très loin de l'hôtel de ville, au palais de l'Élysée ?

Sûre de son pouvoir, Anne Hidalgo joue avec les nerfs de son premier adjoint. « Elle est très dure avec lui, elle l'humilie en réunion, elle lui donne des ordres contradictoires, dit un membre de l'équipe d'Anne Hidalgo. Ces petites vexations lui ont pesé, mais il ne va plus se laisser faire. » À l'hôtel de ville, on note d'ailleurs qu'Emmanuel Grégoire n'est pas le seul à subir les foucades d'Anne Hidalgo. « Elle veut épuiser tous les prétendants à sa succession », dit un grand élu.

Ministère de la Culture, Mairie de Paris : Rachida Dati, femme pressée

L'un d'entre eux n'hésite pas à mordre quasi publiquement les mollets de la maire de Paris. David Belliard, l'adjoint écologiste chargé des transports et des mobilités, rêve de repartir au combat. Il se prépare et le fait savoir. Dès le lendemain de la publication du sondage de La Tribune, il tente d'en récupérer les fruits, favorables aux Verts (deuxièmes derrière Dati). « On y est, les écologistes à Paris sont la force qui rassemble à gauche ! » fanfaronne Belliard sur X. Au Point, il précise sa pensée : « Ce sondage montre que la politique des écologistes à Paris est crédibilisée et que l'image de la maire de Paris est écornée. L'option écologiste est donc sur la table. Nous allons, je le souhaite, mener la bataille, et nous déciderons qui doit la mener. » Mais celui qui peut sans doute mieux que lui rassembler la gauche se tait : Yannick Jadot, nouveau sénateur de Paris, attend son heure sans heurter de plein fouet Anne Hidalgo, qui n'aime rien tant que la bagarre.

Avec Rachida Dati, elle est servie. C'est le nouveau front, ouvert depuis la nomination de la maire du 7e arrondissement rue de Valois. La ministre de la Culture peut compter sur ses nouveaux amis macronistes pour réaliser son rêve de déloger Hidalgo de l'hôtel de ville. Mais la bagarre est remise à plus tard. Dati, qui siège au Conseil de Paris, n'y vient plus. « Ça fait des vacances pour Anne ! » dit l'un de ses adjoints, qui ajoute que la ministre de la Culture n'aura pas la partie facile avec son ancien camp. Elle a été exclue de LR et, si elle reste influente auprès des Républicains de Paris, certains entendent faire bande à part. Le maire du 16e, Francis Szpiner, vient ainsi de créer un groupe opposé à Rachida Dati au Conseil de Paris.

Soutenue par le PS… parisien

D'ailleurs, Anne Hidalgo a un peu le même problème. Elle peut sans doute compter sur la puissante fédération socialiste de Paris qui, dirigée par son adjointe Lamia El Aaraje, réfléchit à l'avenir avec la structure Paris 2030. Mais la maire de Paris est brouillée avec l'essentiel du PS. « Nos relations sont revenues à la normale une fois la campagne présidentielle passée : on ne se parle pas ! » confie-t-on à la direction du Parti socialiste. Olivier Faure, le premier d'entre eux, n'a pas du tout apprécié l'attitude d'Anne Hidalgo durant la campagne de 2022 : elle avait tenu à distance le PS et ses militants. Le patron du PS n'est donc pas décidé à lui faciliter la tâche. Quant aux grands élus qui l'avaient accompagnée dans sa bataille pour l'Élysée, comme la maire de Nantes Johanna Rolland ou celui de Nancy Mathieu Klein, ils ont en grande majorité pris leurs distances, excédés par l'individualisme d'Anne Hidalgo et son imperméabilité au doute.

Le ras-le-bol gagne jusqu'aux équipes d'Anne Hidalgo. La mauvaise image de la maire de Paris rejaillit sur tout le monde, et le moral des troupes est atteint. Certains, parmi ses soutiens, s'interrogent sous le couvert de l'anonymat : ne faut-il pas qu'elle se retire de la course ? « On est plusieurs à penser qu'elle ne doit pas se représenter parce que son image parasite notre bilan », dit un membre de l'exécutif parisien. Le 21 mars, dans les somptueux salons de l'hôtel de ville, Anne Hidalgo avait encore le sourire pour fêter son bilan…

1,3 million d'électeurs à Paris

Ces « Parisiens partis » restent ainsi inscrits dans la capitale. Sur un corps électoral de 1,3 million électeurs près de 200 000 cartes d'électeurs reviennent en mairie. Certains ont changé d'arrondissement. D'autres ont quitté Paris. Charge à la Ville de vérifier la situation des personnes dont la carte est revenue.

« Nous adressons d'abord un courrier à la personne. Puis une seconde lettre recommandée cette fois-ci annonçant une radiation prochaine. Entre10 à 15 % des électeurs nous répondent », explique-t-on à la mairie. Et pour les 85 % restant ? La Ville admet avoir une « position plutôt souple » en la matière. « Si on applique la circulaire ministérielle lorsqu'une carte est retournée, il faut faire une recherche du lien de l'électeur avec la commune mais cela ne veut pas dire qu'il y a obligation de radiation », juge la mairie.

« Nous, nous ne voulons priver personne de son droit de vote », argumente la Ville de Paris qui brandit le principe de la « défense du citoyen ». La mairie garde en plus un mauvais souvenir de sa dernière grande opération de radiation en masse.

De toute façon A.HIDALGO  est surement la plus mauvaise maire de PARIS élue par défaut grâce au  président de la république qui avait changé les dates d’élections municipales à cause soi-disant du COVID et aussi avec la mauvaise situation économique qui a mis en faillite la ville qui devrait être gérée de fait par la préfecture si on respectait la règle mais comme l’ELYSEE résidence des président se trouvant à PARIS capitale de la FRANCE cela fait mauvais effet !?

De toute façon c’est les parisiens INTRA MUROS inscrits sur les listes électorales qui peuvent voter pas les français de la petite couronne de PARIS qui pourtant représente la majorité de ceux qui y travaillent et font vivre les commerces de ces arrondissements !?

Ça ne représente pas la majorité des Français dont beaucoup n’aiment pas les parisiens d’ailleurs donc une fumisterie électorale de plus avec une parenthèse pour Rachida DATI qui se verrait bien à sa place catapulté ministre de la culture alibi par notre président !?

Jdeclef 29/03/2024 13h23

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