dimanche 24 mars 2024

QU’IL RESTE A LA MAISON FRANCE ET FASSE SON TRAVAIL DE PRESIDENT EN S’OCCUPANT PRIORITAIREMENT DES FRANÇAIS ET DE LA FRANCE QUI EN A BESOIN DANS TOUTE URGENCE AVANT QUE CELA N’AILLE PLUS MAL SVP ?!

 

France : bras de fer avec le Maroc ?! En fait avec le MAGHREB+ L’EX AFRIQUE FRANCOPHONE DE NOTRE EX EMPIRE COLONIAL ?!

LETTRE DU MAGHREB. Emmanuel Macron peut-il encore aller au Maroc sans accéder aux demandes du royaume sur le Sahara occidental ?

Par Benoît Delmas

Publié le 24/03/2024 à 11h06

Le roi du Maroc Mohammed VI, à droite, et Emmanuel Macron, au centre à gauche, arrivent au Palais royal de Rabat, au Maroc, le mercredi 14 juin 2017. C'est la première visite d'Emmanuel Macron,  en tant que président nouvellement élu, dans un pays d'Afrique du Nord.  © Alain Jocard/AP/SIPA

ira, ira pas ? Il y a encore dix ans cette interrogation n'avait pas de sens, hormis quelques querelles vite percées. En 2024, signe du chaos géopolitique actuel, la venue du président de la République française au Maroc est devenue un problème. Les deux pays ont traversé une crise carabinée dont personne ne connaît les raisons. « Question de susceptibilités mal placées », explique un familier de la monarchie. On vous expliquera qu'entre le roi Mohammed VI et Emmanuel Macron, « ça ne passe pas ». Dommage, d'autant que le palais parisien du monarque est à une poignée de stations de métro de l'Élysée. Et que M6, acronyme dont on l'affuble, y vit une partie de l'année.

Macron : le casse-tête marocain

Une crise sans raison officielle

Que les échanges coincent entre l'Algérie et la France, cela ne surprend personne. Il existe des rayonnages entiers dans les bibliothèques sur la relation algéro-française. Il n'y a pas la même littérature entre la France et le Maroc. La guerre d'Algérie a laissé des traces et des stèles parmi les populations des deux pays, traces qui s'effacent avec le temps, les générations successives privilégiant l'avenir. Alger a utilisé la rente mémorielle jusqu'à la corde, continuant en 2024, plus de soixante ans après les accords d'Évian, à jauger la France avec les lunettes de 1960. Cela n'a jamais été le cas avec Rabat. Pendant que Paris mettait en place de nouvelles mesures mémorielles avec Alger, dans l'espoir de clore le contentieux, les relations avec le Maroc glissaient sans qu'on puisse expliquer la raison.

Un pays connaît mieux que quiconque ce tumulte : l'Espagne. Avec 21 milliards d'euros de commerce entre les deux pays, 17 000 entreprises espagnoles exportant vers le Maroc, Madrid ne peut pas se permettre de crise. Et Rabat détient la plus redoutable des grenades, l'arme migratoire. suffit que sa police des frontières fasse relâche quelques heures pour que des milliers de Marocains affluent vers l'Union européenne (UE). En ce début d'année 2024, les chiffres de la migration illégale ne sont pas bons : plus de 15 000 arrivées par la mer en neuf semaines. Pourtant, Pedro Sanchez, le Premier ministre espagnol, a accédé à de nombreuses exigences de son partenaire, sacrifiant une ministre des Affaires étrangères qui n'agréait pas à Rabat, allant dans le sens d'un Sahara marocain, empruntant illico son avion officiel au moindre mécontentement. « Les socialistes espagnols sont très pragmatiques : ils font le dos rond, acquiescent aux demandes, les couvrent de déclarations enflammées. » Ils ont les yeux de Chimène ou font tout comme. La France devra-t-elle agir de même pour retrouver une relation réelle, de l'antiterrorisme à l'économie, en passant par la migration, le dossier de la pêche avec l'UE ?

Après le ballet diplomatique maroco-espagnol, vers un réchauffement des relations entre Paris et Rabat ?

Le Sahara occidental, la clé de la discorde

Le nouvel ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier, fait assaut de bienveillance diplomatique, vantant son hôte depuis toutes les tribunes qui s'offrent à lui. Il est dans son rôle, il a été nommé pour cajoler le royaume. Pour sa part, Stéphane Séjourné, le ministre des Affaires étrangères du gouvernement Attal, revient de loin. Il a été reçu en visite officielle en février, signe qu'il n'est plus l'ennemi public numéro un. Lorsqu'il présidait le groupe Renew au Parlement européen, certains textes sur les droits et les libertés au Maroc lui ont valu un mitraillage en règle de la part de la presse proche du Palais, celle qui donne le ton de façon officieuse. Durant plusieurs trimestres, il a endossé les pires accusations. Devenu l'homme du Quai d'Orsay, difficile de continuer à le passer à la paille de verre.

Au beau milieu, un mistigri nommé Sahara occidental. Ce territoire, vaste comme l'Italie, faiblement peuplée (deux habitants par kilomètre carré), est revendiqué depuis plus de cinquante ans par les indépendantistes sahraouis appuyés par l'Algérie. Dans les faits, le Maroc administre le Sahara occidental, développe « sa » capitale Dakhla, veut en faire un hub touristique, économique, un pont entre l'Atlantique et les États du Sahel. Et la pêche issue de ses côtes pèse lourd dans la balance de ses exportations. Rabat veut que ses partenaires reconnaissent que ces « terres du sud » sont les siennes.

Autre dossier, la coopération entre polices. La récente arrestation à Rabat du « Chat », alias Félix Binguy, trafiquant de drogues, chef du gang Yoda à Marseille, est analysée comme un progrès de la collaboration entre les services des deux pays. Pour l'heure, il n'a pas encore été expulsé. Il faut rester prudent : le Liban et les Émirats arabes unis viennent de remettre en liberté deux poids lourds français du trafic de drogue. Son extradition sera le test de la bonne volonté du Maroc. Et pourrait permettre une visite du président Macron. Mais le dossier du Sahara occidental demeure l'éléphant dans le salon.

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Mais est ce que notre président peut s’occuper de la France et de ses citoyens et compatriotes avant de jouer à l’ex donneur de leçons bienpensant (hypocrite) pour se MAGHREB indépendant depuis + de 60 ans et après cette guerre d’Algérie inutile qui nous déteste anti français ex colonisateurs de leur ex empire colonial africain ou anti blanc et qui en plus continue à nous exporter certains de leurs ressortissants migrants qui ne supportent pas leurs totalitarismes bornés !?

La France économiquement va mal malgré que nos autorités lui cachait le contraire depuis les quinquennats « macronien » ou le 1er il ne sait rien passé de positif car ne datant pas d’hier ou d’aujourd’hui car le 2eme entamé en 2022 jusqu’en 2027 prend le même chemin à l’image de notre ministre de l’économie LEMAIRE inféodé au président soit obligé de dire une partie de  la vérité alors qu’il mentait pour la cacher mais trop voyante pour les français lambda qui s’en sont rendus compte dans leurs vies quotidiennes en faisant leurs courses alimentaires par exemple aux supermarchés ou autres comme l’énergie (EDF) avec les prix en augmentation et en plus avec une insécurité grandissante suite à cet attentat de l’état islamique qui a frappé MOSCOU et que Poutine super menteur attribue à sa guerre aux ukrainiens car cela l’arrange mais faux !?

Notre président actuel ne peut même pas démissionner comme Hollande avant la fin car de toute façon inutile car en 2027 il ne sera pas réélu et qui en plus base tout sur ces J.O de PARIS qu’il voit se dérouler le mieux possible (comme tout le monde l’espère) mais très risqués dans le contexte actuel en termes de sécurité qui n’a rien à voir avec la politique médiocre de notre chef d’état qui depuis le début ne sait pas nous gouverner ni nous protéger !?

Les citoyens Français peuvent encore dire ce qu’ils pensent mais faut-il encore les écouter de la part de nos autorités gouvernementales (cela ne semble pas le cas pour l‘instant ?!)

Jdeclef 24/0382024 12h38LP

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