vendredi 29 mars 2024

Ce dictateur Russe intelligent est machiavélique en cherchant à diviser une Europe mal unie et ça peut marcher hélas !?

 

Ukraine : le coup de bluff de Poutine que redoute la France à raison !?

Le chef du Kremlin pourrait demander un cessez-le-feu entre les élections européennes et la présidentielle américaine. Avec un objectif bien précis.

Par Julien Peyron

Publié le 29/03/2024 à 06h00, mis à jour le 29/03/2024 à 08h43

IL Y A DE QUOI AVOIR PEUR SURTOUT AVEC NOTRE PRESIDENT QUI NE SAIT PAS OU IL VA CROYANT A UNE PAIX ETERNELLE APRES NOS GUERRES MONDIALES COMME D’AUTRES DE NOS PAYS LIBRES ET DEMOCRATIQUES AVEC « LA CERISE SUR LE GATEAU EMPOISONNE » DE CET EI DAESH AUTRE ERREUR QUE L’ON AVAIT PAS ELIMINE TOTALEMENT !?

MERCI A NOS DIRIGEANTS PASSES OU PRESENTS QUI NOUS PROTEGENT SI MAL DE PAR NOTRE FAUTE CAR NOUS LES ELISONS ET REELISONS ?!

Il y eut Poutine l'espion, puis l'apparatchik devenu président. Ensuite, il y eut Poutine le bourreau, qui plongea l'Europe dans l'horreur d'une guerre d'un autre siècle. Allons-nous assister à l'émergence d'un nouvel avatar, Poutine l'homme de paix ? Ce qui pourrait passer pour une blague de mauvais goût est pris très au sérieux par un haut diplomate français.

Ce dernier révèle que la France a eu vent d'un stratagème mis au point par des éminences russes et qui pourrait survenir entre les élections européennes et la présidentielle américaine, une « zone grise » au cours de laquelle le camp occidental sera en pleine recomposition. Poutine en profiterait pour avancer ses pions sur l'échiquier diplomatique, en dévoilant une nouvelle stupéfiante : une demande de cessez-le-feu en Ukraine.

Pourquoi stopperait-il ses troupes au moment où celles-ci semblent être en mesure de faire reculer l'armée ukrainienne ? Poutine aurait en tête un objectif autrement plus stratégique que les villages du Donbass conquis récemment : la mer Noire. S'il parvenait à faire la jonction avec la Transnistrie, région moldave où une partie de la population est russophone, il couperait un accès maritime vital à l'Ukraine et pourrait s'enorgueillir d'une victoire importante.

Or, pour mener à bien une telle percée, il a besoin de faire une pause dans les combats et de réorganiser ses troupes, selon la source française. La demande de cessez-le-feu serait une manière de préparer discrètement une nouvelle offensive.

Scénario qualifié de « préoccupant »

Le bluff a peu de chances de berner les Occidentaux, qui commencent à avoir l'habitude des manœuvres poutiniennes. Mais le maître du Kremlin sait qu'il peut compter sur des soutiens de poids à l'international. « Imaginez qu'il demande un cessez-le-feu, il serait aussitôt soutenu dans sa démarche par l'ensemble des Brics [Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud, Égypte, Émirats arabes unis, Éthiopie et Iran, NDLR], prédit la source diplomatique. Tout le “Sud global” se rallierait à sa proposition, et Poutine pourrait se présenter comme l'homme qui veut la paix face à un Occident décrit, une fois de plus, comme belliciste. »

Quel dénouement possible à la guerre en Ukraine ?Au Quai d'Orsay, un tel scénario est qualifié de « préoccupant ». Le ministre des Affaires étrangères Stéphane Séjourné refuse d'anticiper le prochain coup de Poutine – « personne ne peut connaître ses intentions » –, mais il se félicite de la nouvelle posture française, plus agressive à l'égard de Moscou.

Un changement de braquet nécessaire, selon lui. « Nous, Européens, devions nous remobiliser rapidement et ne plus laisser Poutine dicter notre stratégie. On a considérablement augmenté l'aide fournie à l'Ukraine et on a réussi à alerter les opinions publiques sur l'importance d'un sursaut. » Il ajoute que la France n'est pas seule dans sa volonté de remobiliser les populations du continent : « Le sursaut stratégique que nous prônons est notamment partagé par les Tchèques, les Baltes, les Polonais, la Suède, les Pays-Bas… »

Puissants relais russes en Europe

L'unité européenne est pourtant loin d'être parfaite sur la question des relations avec Moscou. En dehors même d'une possible percée de l'extrême droite populiste lors des élections européennes, en juin, Poutine possède de puissants relais au sein de l'Union. Hormis les soutiens français, il joue de sa proximité avec deux leaders européens, les Premiers ministres de Hongrie et de Slovaquie, Viktor Orban et Robert Fico.

Munich 1938, retour sur un traumatisme françaisCe dernier est pointé du doigt à l'Élysée et au Quai d'Orsay depuis qu'il a fait fuiter le sujet « des troupes au sol », sur lequel Emmanuel Macron a dû ensuite s'expliquer lors de la conférence de Paris sur l'Ukraine, le 26 février. Le débat qui agite la France et l'Europe depuis ce jour prouve que la manœuvre a fonctionné.

Quant à Orban, il n'a pas hésité à féliciter Poutine pour sa réélection, vantant la coopération entre la Hongrie et la Russie, basée sur « le respect mutuel ». « En cas de proposition de cessez-le-feu russe, on connaît déjà les noms de ceux qui se rangeront immédiatement derrière », grince une source élyséenne.

Alliés de circonstance

En plus de ces soutiens clairement identifiés, Poutine peut compter sur des alliés de circonstance. Le numéro deux du gouvernement italien et chef de file de la Ligue Matteo Salvini, par exemple. Contrairement à la présidente du Conseil Giorgia Meloni, fidèle à la ligne atlantiste de l'Italie, il a salué la récente « victoire électorale » de Poutine, espérant que 2024 serait « une année de paix ». Meloni, qui a dénoncé au contraire un « simulacre d'élection », a demandé des comptes à son adjoint.

Plus inquiétant, le chancelier allemand traîne les pieds : Olaf Scholz refuse toujours de livrer des missiles de longue portée Taurus aux Ukrainiens, malgré les demandes répétées de Kiev, de Paris, de Londres et de responsables de sa propre coalition.
 Guerre en Ukraine : la métamorphose d'Olaf Scholz

« Scholz est perçu comme celui qui refuse de faire le job, celui qui n'a pas le profil, analyse le géopoliticien François Heisbourg. Il est encore dans la doctrine “Diplomaten statt Granaten” [“des diplomates plutôt que des grenades”, NDLR]. » Le chef du groupe social-démocrate au Bundestag, Rolf Mützenich, a appelé ce mois-ci « à geler puis à terminer » la guerre en Ukraine.

Une position considérée comme un blanc-seing offert à Poutine par le Frankfurter Allgemeine Zeitung, qui, dans un éditorial cinglant, a qualifié le député de « Chamberlain de notre temps ». Plus à gauche, c'est l'Autrichien Walter Baïer qui a été désigné pour conduire la liste des partis de gauche aux européennes. Preuve que l'époque est aux grandes recompositions, l'élu communiste s'est rangé derrière la ligne du… pape François et de son appel à « hisser le drapeau blanc ».

Pékin « dans le camp de la paix et de la justice »

Hors d'Europe, le « camp de la paix » en Ukraine est composé de tout ce que l'Occident compte d'ennemis ou de rivaux. En contradiction avec sa posture de respect du droit international, la Chine s'est toujours refusée à condamner l'offensive russe en Ukraine. La semaine dernière, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a réaffirmé que Pékin se trouvait « dans le camp de la paix et de la justice ».

Poutine vient d'être invité à se rendre en Chine en mai. L'occasion de faire le point sur « le partenariat sans limite » qui lie la Chine et la Russie depuis février 2022. Les deux pays votent de concert aux Nations unies, où ils viennent de mettre leur veto à une résolution américaine en faveur d'un… cessez-le-feu à Gaza. Ils semblent préférer les propositions émanant du Hamas.

Car, si surprenant que cela puisse paraître, l'organisation terroriste s'est fait le chantre de la paix au Proche-Orient. « Notre offre de cessez-le-feu est tellement réaliste que l'ennemi ne peut pas la rejeter », a déclaré Osama Hamdan, l'un des principaux chefs du Hamas. Établi à Beyrouth, au Liban, il donne des conférences de presse pour faire le point sur l'avancée des négociations.

« Chine et Russie, deux États solitaires et sans alliés » À l'écouter, son organisation se montrerait « très flexible » et c'est l'« entité sioniste » qui serait la force belliqueuse et jusqu'au-boutiste. Un discours auquel souscrit une partie de l'opinion publique internationale. À Londres, à Paris, à New York, les manifestations pour dénoncer l'offensive de Tsahal ont rapidement remplacé celles demandant le retour des otages et le démantèlement du Hamas.

« Le message de “cessez-le-feu” peut sembler positif, mais, lorsqu'il émane du Hamas, il n'a qu'un seul objectif : mettre fin à l'attaque d'Israël contre les organisations terroristes à Gaza, ce qui lui permettrait de reconstituer ses forces militaires afin de perpétrer de nouveaux massacres », met en garde Alona Fisher-Kamm, chargée d'affaires d'Israël en France.

Elle dénonce un renversement des rôles. Suivant l'exemple de son allié au Proche-Orient, Poutine pourrait à son tour être tenté de se poser en colombe assiégée. Mais il faudra alors se souvenir des paroles définitives qu'il a prononcées en décembre 2023 : « Il n'y aura la paix en Ukraine qu'une fois nos objectifs atteints », à savoir « la dénazification de l'Ukraine, sa démilitarisation et sa neutralisation ». En clair, sa soumission à la férule russe.

Là il y a quoi être inquiet surtout si notre petit roi de président faux monarque sans couronne qui ne sait PAS quoi décider pour tout et rien ce qui est son principal defaut avale la proposition de ce dictateur déjanté mais intelligent car fourbe et dangereux !?

Pauvres de nous pauvres Français qui ne peuvent qu’espérer que les autres de cette Europe déjà mal unie ne se disperse pas au lieu de faire front unie contre Poutine qui veut la perte de l’occident et de ces USA son ennemi héréditaire et son OTAN qui deviendrait vraiment virtuel « en mort dite cérébrale » comme avait dit notre chef d’état procrastinateur surtout en plus si TRUMP venait à être réélu car là on rejoue presque 1938 avec ce pacte de non-agression qui n’avait pas été respecté par Hitler !?

Car ces mêmes alliés de circonstance de cette U.E.de ces après guerres mondiales et guerre froide qui ont vu la chute de l’ex URSS EN 1989 n’ont pas été capables de stopper pour empêcher de nuire ce Poutine qui ne pensait qu’a çà depuis trente ans et par son agression de l’UKRAINE prévue et vue par les USA depuis 2014 jusqu’à 2022 et qui ment à tous comme un arracheur de dent !?

Quand je dis souvent qu’on est mal gouverné depuis le début par des bavards donneurs de leçons bienpensant donneurs de leçons cela se vérifie hélas peut être pour notre malheur car c’est lamentable et pitoyable pour nos peuples encore dans des pays libres et démocratiques car en plus on subit la renaissance des attentats islamiques de ce DAESH EI que là aussi on n’avait pas été capable d’éradiquer totalement car inachevés !?

Tout cela n’est que de la vérité historique contemporaine de notre occident libre que certains veulent détruire !?

(Et il n'y a pas que ce dictateur russe car il y a dans ce monde instable d'autres dictatures et démocratures qui perdurent et se portent bien !?)

Jdeclef 29/03/2024 19h30

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