Menaces d’attentats
contre les écoles : « On ramasse ce qu’on n’a pas voulu voir » et
c’est logique quand nos dirigeants font la politique de l’autruche bien française
avec cet alibi de notre laïcité à la française qui semble bien inefficace !?
tout ce dit dans cet
article parce que nos autorités se cache derrière leurs moralités bien
pensantes de donneurs de leçons hypocrites ne veulent pas dire ces vérités que
l’on subit dans la vie quotidienne des français européens et notamment
occidentaux et judéo chrétien détestés et hais par les extrémistes de cet islam
rigoriste intolérant qui veut la perte de cet occident chrétien ou juifs et qui
pervertit les esprits des plus faibles en les fanatisant et en se servant pour
commettre ces attentats lâches voire barbares ?!
INTERVIEW.
Pour Iannis Roder, la multiplication des menaces terroristes à l’école est
« la conséquence de l’inaction politique face à la montée de
l’islamisme ».
Son établissement, situé en Seine-Saint-Denis, n'a pas reçu de menaces.
« Pas encore », précise Iannis Roder, professeur
d'histoire-géographie en Seine-Saint-Denis. Mais de nombreux lycées et collèges
d'Île-de-France et des Hauts-de-France ont été touchés ces derniers temps
par des menaces de mort, parfois accompagnés d'une vidéo de décapitation. Et,
si une surveillance policière statique a été mise en place devant les
établissements concernés et si des équipes patrouillent aux alentours,
l'inquiétude s'installe chez les professeurs, ainsi que parmi certains parents,
qui hésitent à envoyer leurs enfants à l'école.
Comment ne pas céder face à la menace ? La question est d'autant plus
pressante qu'on apprenait mardi soir la démission du proviseur de la cité
scolaire Maurice-Ravel, située dans le 20e arrondissement de
Paris. Ce dernier, qui avait été menacé de mort après
une altercation avec une élève fin février pour qu'elle enlève son voile, a
fini par abandonner.
La faute à l'Éducation nationale et à son fameux « pas de
vagues » ? Pour l'enseignant, également directeur de l'Observatoire
de l'éducation de la Fondation Jean-Jaurès et membre du Conseil des sages
de la laïcité, « le problème est bien plus large », il est
« sociétal ». Et, s'il se traduit désormais aussi à l'école,
« l'école ne pourra pas le régler seule ».
L'affaire Maurice-Ravel,
une capitulation française
Le Point : Démission d'un proviseur menacé de mort à Paris, piratages
de messageries scolaires dans le Nord et en région parisienne, contestations
de la laïcité, intimidations, provocations en tous genres. Six mois
après l'assassinat de Dominique Bernard et trois ans et demi après celui de
Samuel Paty, l'école n'est plus le sanctuaire laïque, de calme et de paix
nécessaire à l'apprentissage qu'elle devrait être. Elle est devenue le lieu
même de la menace. Comment l'expliquer ?
Iannis Roder : C'est justement parce qu'elle est un
sanctuaire laïque que l'école est l'objet de la menace ! C'est parce
qu'elle est le lieu où les enfants de France apprennent et expérimentent la
laïcité quotidiennement que les entrepreneurs identitaires et religieux
cherchent à la briser. Parce que ça les gêne.
Atteintes
à la laïcité : « Nous devons sonner la fin de la récré ! »
C'est-à-dire ?
L'école est le lieu où la République propose à tous les enfants de France de
se dégager de leur déterminisme. Si, par exemple, vous naissez dans une
famille où la religion a une place importante, l'école vous dira « oui, tu
as le droit de croire », car il y a en France quelque chose qui s'appelle
la liberté de conscience et la liberté de culte.
Mais elle dira aussi qu'il existe d'autres façons de voir le monde, en se
basant non pas sur la religion mais sur la science et la raison. Et ça,
c'est absolument insupportable pour les entrepreneurs identitaires et religieux
islamistes, qui refusent que leurs enfants – et en réalité tous les enfants de
culture musulmane – puissent voir le monde autrement qu'à travers leur filtre
religieux. C'est parce que l'école est le lieu de cette
émancipation qu'ils s'en prennent à elle.
Face à cela, il faut être intransigeant,
sanctionner et parler aux familles aussi, parce que, si des gamins contestent
l’autorité de l’école, c’est parce qu’ils se sentent autorisés à le faire.
C'est effrayant. Comment demander à un enseignant de faire
correctement son travail et à des enfants d'apprendre
sereinement dans ces conditions ?
C'est évidemment impossible. L'école n'est heureusement pas à feu et à sang,
et la très grande majorité de mes collègues font leur travail dans un climat
serein. Il est important de le dire. Mais on sait désormais tous depuis l'assassinat de Samuel Paty et
de Dominique Bernard que des
crises peuvent éclater et mener à des situations très graves.
Attentats
islamistes : pourquoi les profs sont devenus des cibles
D'où la tentation de l'autocensure…
En effet. Celle-ci grandit chez les
enseignants à mesure que les menaces se multiplient. Certains se mettent à
éviter certains sujets, notamment les questions religieuses, pour éviter
d'être remis en question, parce que c'est pénible, parce qu'on n'est pas là
pour discuter de certaines vérités scientifiques, mais aussi parce qu'ils ont
peur. Mais il n'y a pas que les profs qui ont peur. Des élèves ont dû quitter
leur établissement, et même leur quartier, parce qu'ils étaient juifs et
étaient menacés.
Face à cela, il faut être intransigeant, sanctionner et parler aux familles
aussi, parce que, si des gamins contestent l'autorité de l'école, c'est parce
qu'ils se sentent autorisés à le faire. Mais, pour cela, il faut aussi que le
discours de l'Éducation nationale soit clair et que toute la hiérarchie fasse
bloc. Le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé la création de « cellules d'appui
pédagogiques » pour aider les enseignants confrontés à des
contestations de leurs enseignements. C'est bien, mais il faut aussi savoir
frapper du poing sur la table, comme il l'a fait en décembre, en rappelant aux
élèves que ce n'est pas à eux de décider ce qu'ils peuvent étudier ou pas.
Mais on sait désormais tous depuis
l’assassinat de Samuel Paty et Dominique Bernard que des crises peuvent éclater
et mener à des situations très graves.
Mais, dans le cas précis du proviseur du lycée Maurice-Ravel, menacé
de mort après une altercation avec une élève fin février à qui il avait demandé
d'enlever son voile, l'Éducation
nationale n'est pas restée sans rien faire. Tout de suite,
l'institution s'est mobilisée : des équipes mobiles de sécurité ont été
envoyées dans et autour de l'établissement, une protection fonctionnelle a été
octroyée, un signalement a été fait au parquet, la ministre s'est déplacée… Ce
dernier a pourtant fini par démissionner. Comment le lui reprocher au regard
des menaces qu'il a reçues ? Mais qu'est-ce que l'Éducation nationale
pouvait faire de plus ? Mettre un policier dans chaque classe ?
Non, évidemment. Les écoles ne doivent pas se transformer en bunkers. Ce ne
sont pas des conditions pour apprendre. Et, de toute façon, ce n'est pas
réalisable d'un point de vue logistique et humain. Dans le cas du proviseur de
Maurice-Ravel, c'était en réalité presque trop tard. Si on en est à se poser ce
genre de question aujourd'hui, c'est parce qu'on n'a pas pris la mesure de ce
que certains dénoncent depuis vingt-cinq ans et qu'on n'a pas voulu voir
– ou accepter –, à savoir la progression de normes islamistes. Laïcité
à l'école : ce que dit le rapport sénatorial accablantLa question
dépasse le seul cadre de l'école…
Oui, évidemment. Le problème concerne la société dans son ensemble.
L'Éducation nationale semble être en train de prendre conscience de la
gravité des choses et le cas du proviseur de Maurice-Ravel a été pris assez
rapidement au sérieux. Mais, pour un cas traité sérieusement, et qui n'a malgré
tout pas suffi à retenir le proviseur, combien, plus localement, ont pu
être minorés par le passé sur le principe du « pas de vagues » ?
Au-delà de l'école, combien de plaintes
ont été déposées dans les commissariats sans être suivies d'effet ?
Combien de commentateurs se limitent à des explications paresseuses sans
évoquer le problème de la montée de l'islamisme ? La conséquence, c'est le
sentiment d'impunité qui s'installe. Et, s'il se traduit désormais
essentiellement dans l'école, cette dernière ne pourra pas le régler
seule.
Si cette religion avec son
islam extrémiste terroriste qui nous a fait subir ces attentats de par le monde
depuis 2001/2013/2015 et jusqu’à maintenant s’infiltre et renait insidieusement
bien que n’ayant pas disparu et maintenant dans les écoles de la république
Française ou les professeurs qui ont subi ces attentats chez certains jusqu’à
la mort c’est une catastrophe que l’on n’a pas voulu voir malgré des attentats
contre des professeurs de collège ou d’école primaire voire université !?
Il faut comprendre ces
parents qui mettent à l’école de la république ou l’enseignement est
obligatoire qui peuvent avoir peur de ces malades dit fous de dieu et ses
enseignants dont certains edulcore les programmes pour éviter tout incident
relatif aux religions diverses et même avoir avoir à faire avec certains
parents vindicatifs musulmans ou autres !?
Car on est revenu en arrière
à avant 2001 et après 2015 en France malgré des procès fleuves sans effets car
pour les fanatiques illuminés incurables ils s’en fichent !?
Et il ne faut pas oublier
aussi ces pays moyens orientaux ou africains Maghreb ou Afrique issus de notre
ex empire colonial et autres ou comme l’IRAN par exemple et leurs républiques
islamiques avec leur courant religieux sunnites et chiites qui se détestent mais
montre s’il le fallait que cet islam est instable voir dangereux car voulant le
pouvoir avant tout !?
Moi qui suis âgé ayant 2 grands
enfants de 42 et 51 ans et une petite fille de 26 ans je suis désespéré depuis
avant 2015 car ces hommes de toutes nationalités sont incapables de s’entendre et
les religions sont des plaies ouvertes de plus qui les divises !?
Si je suis encore de ce monde
en 2027 je voterais pour un président qui lutera efficacement contre cet
islamisme extrémiste qui nous détestent (car hélas celui qu’on a au pouvoir en
France ne fait rien pour cela ou tout autres problemes sociétaux et internationaux !?)
Jdeclef 29/03/2024 11h42
J'avais demandé AU POINT de ne pas censurer mon commentaire il l'on fait quand même je m'y attendaits et je l'ai fait expres et ils sont tombés dans le piege on ne peut pas demander à des moderateurs bornés et leur redaction de faire preuve d'intelligence car il sont de fait hors la loi car la liberté d'expression est inscrite dans notre constitution etant un droit inalienable de tous les Français dans un pays libre et democratique dans notre pauvre FRANCE ?!
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