Italie :
une école fermée pour la fin du ramadan crée la polémique ?! En Italie
TRES RELIGIEUSE CE N’EST PAS BANAL ?!
Face au
risque d’absence des élèves, un établissement scolaire de la métropole
milanaise a décidé de fermer ses portes le 10 avril, provoquant la colère
de la droite italienne.
Publié le
26/03/2024 à 17h00, mis à jour le 27/03/2024 à 08h36
QUAND LES
RELIGIONS ESSAIENT DE PRENDRE LE PAS SUR LES DEMOCRATIES LIBRES ET DEMOCRATIQUES
C’EST LE PIRE DES VIRUS SUR TERRE IL SERAIT TEMPS D’EN PRENDRE CONSCIENCE CHEZ
LES HOMMES DE TOUS PAYS ?!
La
polémique est désormais nationale et ne devrait pas retomber de sitôt. Sûrement
pas d'ici le 10 avril prochain, date choisie par une école de l'est de
Milan pour fermer ses portes à l'occasion de l'Aïd-el-Fitr, jour marquant la fin du ramadan. Une
décision prise à l'unanimité par le conseil scolaire de l'Istituto Comprensivo
Iqbal Masih de Pioltello, il y a de cela dix mois. Et confirmée lundi
25 mars par les représentants des professeurs, des parents d'élèves et du
personnel administratif. Un « choix éducatif et non religieux »,
veut-on rassurer du côté de la direction de cet établissement de près de
1 300 élèves, rassemblant des classes de la maternelle jusqu'au début du
secondaire.
« À Pioltello, nous avons des classes où, les années précédentes, à la
fin du ramadan, ils n'étaient que trois ou quatre à venir à l'école »,
raconte dans les colonnes du Fatto Quotidiano Alessandro
Fanfoni, directeur de l'Institut Masih – du nom de ce jeune Pakistanais vendu
par ses parents à 4 ans et assassiné en 1995 à 12 ans
après des mois passés à défendre la cause des enfants esclaves.
Dans cette structure éducative de la grande périphérie milanaise, plus de
40 % des élèves sont d'origine immigrée : en majorité d'Égypte,
du Maroc et du Pakistan. Au-dessus du niveau recommandé par les
« directives d'inclusion », fait remarquer le chef
d'établissement. « Nous ne pouvons pas fermer les yeux sur ces chiffres et
sur la réalité », estime-t-il.
L'extrême droite s'empare du sujet
Si ces dérogations dans le calendrier régional sont permises aux
établissements scolaires, Alessandro Fanfoni rappelle bien au journaliste
du Corriere qu'aucun
cours ne sera perdu : cette année, les élèves ont repris le chemin de l'école
un jour plus tôt. Et surtout que l'identité culturelle de l'Institut
n'est en rien menacée : « Il y a des crucifix dans les salles et
aucun élève ne demande à prier pendant le ramadan, tout
le monde suit le cours. La fermeture n'est pas un geste visant à gagner les
faveurs de la communauté arabe, c'est simplement une reconnaissance de la
spécificité de notre contexte », conclut-il. Loin de l'avis de certains
internautes qui ont déclenché, sur les réseaux sociaux, une vague de
haine et de menace contre le directeur lombard.
Italie :
à Florence, la réunion de famille du souverainisme européen
Sans surprise, l'extrême droite italienne n'a pas manqué de s'emparer de
cette affaire, un cas minoritaire pour ne pas dire unique dans la Péninsule, où
l'islam est la deuxième religion
la plus répandue, forte de plus de deux millions de
fidèles. Il y a une semaine, un groupe radical milanais déployait ainsi,
sur les grilles de l'établissement, une banderole au message on ne peut plus
clair : « École italienne, jamais musulmane ! Interdit de
fermer ! »
La Ligue de Matteo Salvini,
lancée sur un cap « à droite toute » pour la campagne des
européennes, s'est également invitée dans le débat. L'eurodéputée milanaise
Silvia Sardone a estimé que le choix de l'Institut Masih donnait « encore
plus de force au processus d'islamisation » de l'Europe. Quand le patron
leghiste et actuel vice-Premier ministre dénonçait, lui, un
« choix inacceptable, contraire aux valeurs, à l'identité et aux
traditions [du] pays ». « Ce n'est pas le "modèle" de l'Italie et de l'Europe que nous
voulons », prévenait Matteo
Salvini.
Les syndicats dénoncent une polémique électoraliste
Le dossier est arrivé jusque sur le bureau de son collègue et camarade de
parti Giuseppe Valditara. Le ministre de l'Éducation a notamment pointé du
doigt des irrégularités administratives concernant les justifications de
fermeture du 10 avril prochain. « Les écoles ne peuvent pas établir
de nouveaux jours fériés », a-t-il ainsi rappelé, avant que l'affaire ne
soit évaluée par le bureau scolaire régional de Lombardie.
Lacune finalement comblée lundi soir après la réunion du conseil
d'établissement, qui a souligné, dans un communiqué, une fermeture au seul
motif pédagogique. Maigre consolation pour le ministre Valditara, qui espère
encore que l'école garde ses portes ouvertes pour la fin du ramadan, estimant
que « l'inclusion se fait en investissant dans l'enseignement et non en
arrêtant les cours ».
Plongée au cœur de l'Europe
nationalisteCôté soutien, l'Istituto Comprensivo Iqbal Masih a
pu en revanche compter sur l'appui du syndicat CGIL (la CGT italienne) qui,
lors d'une manifestation devant l'établissement, a dénoncé la politisation à
outrance de l'affaire : « L'école est sous pression et en procès, les
enseignants et les directeurs peinent à préserver la sérénité des enfants alors
qu'ils sont attaqués par certains partis en quête
de voix supplémentaires. »
Soutien également venu de plusieurs
prêtres des paroisses de Pioltello ainsi que du corps enseignant. Deux cents
professeurs de l'Institut sont ainsi sortis du silence. Dans une lettre, ils
revendiquent leur choix, « fait sans aucune intention politique », et
leur engagement dans les écoles de Pioltello « pour ne pas faire fuir les
Italiens, éviter les classes ghettos et créer l'harmonie et l'interaction
entre les différentes cultures, sans jamais que l'une ne détruise ou ne soumette
l'autre ».
C’est quand même inquiétant
dans cette Italie siège du pape chef de l’église catholique chrétienne et de
son Vatican son petit état indépendant bien que religieux implanté à ROME leur
capitale et surtout depuis son histoire ancienne remontant à l’empire roman qui
a duré 400 ans !?
Car
cette hégémonie ou suprématie d'une religion ou d'un mysticisme
obscurantiste à consonance hélas extrémiste par certains côtés de ces
mouvements terroristes envahissants qui vient de se réveiller car seulement
endormi avec ces nouveaux attentats car mal surveillés ou mal éradiqués depuis
2001 2013/2015 etc avec ce DAESH EI que l’on peut lister notamment les plus
importants comme ce dernier a MOSCOU et cacher les autres isolés par nos
autorités bien pensantes donneuses de leçons pour ne pas affoler les populations
de nos pays libres démocratiques ?!
Donc c’est nos pays
libres et democratiques qui sont en danger car cet Islam veut prendre sa
revanche et le pouvoir sur cet occident judéo chrétien libre trop arrogant qu’elle
veut détruire comme elle l’a fait pour ISRAEL dans la bande de GAZA le 7
octobre contre les juifs avec ce Hamas terroriste !?
Cette fermeture d’école
milanaise est un symbole politique mais réaliste que même en France car l’ITALIE
est notre voisin historique de par nos histoires anciennes communes qu’on
devrait prendre en compte avant d’être débordé !?
Car depuis 60 ans et
la fin de nos empires coloniaux Indochine Maghreb et Afrique d’après la fin de
la 2 eme guerre mondiale à cause des immigrations importantes et mauvaises
gouvernances de nos autorités qui ne veulent pas regarder la réalité en face et
qui nous protègent mal !?
C’est pareil pour cette
hypothétique de 3eme guerre mondiale en filigrane car certains de nos
bienpensants n’y croient pas car croyant à une paix éternelle alors que l’on se
bat partout dans ce monde instable indirectement !?
Alors attendons « avant
que le ciel nous tombe sur la tête » comme les gaulois nos ancêtres car les
Français n’ont pas évolué en bon sens !?
Jdeclef 27/03/2024
11h07LP
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