mercredi 13 décembre 2017

Ce profiteur traîne en plus une réputation très douteuse de libidineux pour ne pas dire autre chose !

Aux assises, Georges Tron dénonce un « complot »

L'ancien secrétaire d'État, toujours maire de Draveil, est accusé de viols et d'agressions sexuelles en réunion par deux anciennes employées.


C'est un procès très médiatique qui s'est ouvert ce mardi devant les assises de Seine-Saint-Denis. Celui de l'ancien secrétaire d'État Georges Tron accusé de viols et d'agressions sexuelles en réunion par deux anciennes employées de sa mairie de Draveil (Essonne), avec la complicité de son ancienne adjointe à la Culture Brigitte Gruel. Tous deux clament leur innocence. Le procès se tient en dehors de l'Essonne où Georges Tron est élu de longue date : il est maire de Draveil (30 000 habitants) depuis 1995, conseiller départemental et ancien député (1993-2010, 2011-2012).
Jugé dans le sillage de l'affaire Weinstein, le scandale avait éclaté en mai 2011, peu après la retentissante arrestation à New York de l'ancien directeur général du Fonds monétaire international Dominique Strauss-Kahn. Georges Tron avait démissionné du gouvernement Fillon, affirmant qu'il ferait de la reconnaissance de son innocence une « affaire personnelle ». Sa passion pour la réflexologie plantaire est soudain devenue connue du grand public, suscitant nombre de détournements et de caricatures. Ce qui vaut au maire de Draveil d'être renvoyé devant les assises va au-delà de massages de pied impromptus. Virginie Ettel et Eva Loubrieu disent avoir subi des attouchements et des pénétrations digitales entre 2007 et 2010. Le tout, disent-elles, avec la complicité de Brigitte Gruel. Les plaignantes affirment avoir été incapables de s'opposer, tétanisées face à leur employeur de 20 ans leur aîné.

« Un outil pour me nuire »

« La réflexologie est devenue un outil pour me nuire », a soutenu l'élu LR de 60 ans au cours de l'interrogatoire sur sa personnalité au premier jour de son procès. S'exprimant d'une voix claire et posée, il a expliqué que la pratique de la réflexologie était pour lui une activité « parapublique » dans la mesure où il était membre fondateur de l'Association pour l'alternative en médecine (APAM). « Je ne pensais pas une seconde que ça pouvait poser problème », a-t-il ajouté, concédant une « forme d'imprudence ». Les plaignantes ont affirmé que les séances de réflexologie plantaire étaient le prélude des violences sexuelles qu'elles disent avoir subies.
Georges Tron est aussi revenu sur sa démission de secrétaire d'État à la Fonction publique le 29 mai 2011 : « J'ai considéré que même si je récusais évidemment les faits, je ne pouvais pas devenir un poids pour le gouvernement. » Pourquoi ne pas démissionner également de son mandat de maire ? Georges Tron met en avant le « soutien » de son équipe municipale et le fait qu'il ne souhaitait « pas faire un tel cadeau » à ses opposants, les jumeaux Jacques et Philippe Olivier, ce dernier étant le beau-frère de la présidente du Front national Marine Le Pen.

« Complot »

Georges Tron estime qu'ils sont derrière le « complot » qui l'a mené devant la justice. « Ma famille, mes amis, mes adjoints et mes administrés ont été en bloc avec et derrière moi. J'ai finalement tenu plutôt bien face à ce que je ne souhaite à personne », a-t-il également déclaré. Le procès devant les assises de Seine-Saint-Denis doit se tenir jusqu'au 22 décembre.
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Si ses supposées victimes appelons les comme cela l’ont dénoncées, puisque la « sacro sainte » présomption d'innocence est toujours d'actualité pour ce triste sire !

Bien que ce soit difficile d’inventer des faits connus à DRAVEIL sa ville où il a été Maire ?!

Cet ex élu d’une clique de cette ancienne classe politique sclérosée qui a sévit depuis des décennies ne désignons personne, la liste est déjà assez longue, ce n’est pas la peine et naturellement bien sûr, il est arrogant et nanti !

Et aussi  profiteur par exemple : Car l’ex secrétaire d’état Georges Tron louait un «appartement ILN» (immeuble à loyer normal) de six pièces, situé rue Mademoiselle dans le XVe arrondissement de la capitale pour 1.401,88 euros par mois, hors charges. Un prix très en deçà de celui du marché !

Et qui voyons nous (encore) comme défenseur dans son sillage, car il doit avoir les moyens de se le payer, ce bon avocat de DUPOND-MORETTI le champion des acquittements ou des causes perdues pour les nantis ou ceux pouvant lui augmenter sa notoriété !

Tout cela est déplorable et encore plus, « s’il passe entre les gouttes » de cette justice qui protège souvent ces politiciens élus bien mieux que les gueux du peuple lambda !

Réminiscence des privilèges de l’ancien régime historique qui colle à notre histoire ancienne !

Le mieux semble-t-il, c’est que l’on n’entende plus parler de ce personnage quel que soit l’issu de procès après, car on a déjà trop de ces personnages douteux qui s’engraissent en plus sur notre dos !


Jdeclef 13/12/2017 10h16 LP

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