samedi 2 décembre 2017

Les musulmans hélas gênent de plus en plus dans le monde, les autres religions et même les non croyants en rien aussi car :

FOG - Les musulmans aussi sont victimes de l'islamisme !

Tandis que les ignorants continuent à amalgamer musulmans et islamistes, Mohamed ben Salmane prépare des réformes sans précédent en Arabie saoudite.


Ce que ne comprendra jamais un islamo-gauchiste confit dans son collaborationnisme morbide, comme ses sinistres semblables des années 1940, c'est que le monde musulman dans son ensemble n'a pas de pire ennemi que cet islamisme qui les fascine tant. Dernier exemple : l'attaque islamiste de la mosquée de Bir el-Abed, dans le Sinaï, en Égypte, qui a fait au moins 305 morts (dont 27 enfants) chez les soufis.
La doxa de la si pesante bien-pensance qui gangrène une grande partie de la presse française a mis au point un théorème fondé sur une ignorance crasse de l'Orient compliqué : tous les Arabes sont musulmans, lesquels sont tous des islamistes en puissance. Donc, si on ne comprend pas ceux-ci, à défaut de les soutenir, c'est qu'on est raciste ! L'aveuglement de nos islamo-gauchistes les amène donc à considérer, contre toute évidence, les musulmans modérés, laïques, républicains comme quantité négligeable alors qu'ils sont largement majoritaires en France.

Certes, l'islamisme sunnite a pris l'Occident pour cible et, depuis le 11 septembre 2001, travaille méthodiquement à sa destruction. Ceux qui, à l'extrême gauche, disent le contraire sont les nouveaux Laval, Doriot, Brasillach. Mais le même islamisme s'attaque aussi, ne l'oublions pas, au monde musulman qu'il prétend « purifier 5 en frappant tous les courants qu'il juge hérétiques. Offensés, martyrisés, ceux-là paient depuis des années le prix fort en sang et en larmes, comme les derniers chrétiens d'Orient.
Les premières victimes de cet islamisme sunnite sont chiites (de 10 à 15 % de l'ensemble des musulmans mais largement majoritaires en Iran et en Irak) : à la différence des sunnites, ils insistent sur le raisonnement déductif, la liberté individuelle. Sinon, les victimes sont des soufis, comme à la mosquée du Sinaï : présents à la marge dans la plupart des pays musulmans, ce sont des mystiques souvent sophistiqués, généralement réformistes. Partisans du « grand djihad » à l'intérieur de soi, ils n'ont que mépris pour le « petit djihad » traditionnel, le poignard à la main.
Il va de soi que les victimes n'ont pas droit à la parole. En France même, sous couvert de lutte contre l'islamophobie, les islamistes radicaux s'emploient à couvrir la voix des modérés, qui, même s'ils ont leur communauté derrière eux, passent à l'as dans les médias : tel fut le cas dans l'affaire des prières de rue à Clichy, où l'on n'a quasiment entendu que les auteurs extrémistes de cette sombre manipulation montée pour dresser les Français les uns contre les autres. Auparavant, le procès d'Abdelkader Merah avait montré à quel point les musulmans dans leur ensemble vomissaient la psychopathie islamiste.
En attendant les clabauderies des « idiots utiles » de l'islamisme qui dénonceront sous peu, au nom des droits de l'homme, les mesures antiterroristes du président égyptien Al-Sissi, leur bête noire, après l'attaque du Sinaï, il ne faut cependant pas déprimer. Quelque chose d'important est en train de se dérouler sous nos yeux blasés. Sur le plan géopolitique, la dérive des continents est en marche et, apparemment, rien ne l'arrêtera. Pour preuve, l'aveu d'un grand confrère, Thomas L. Friedman, star du New York Times, qui dit n'avoir jamais pensé vivre assez longtemps pour pouvoir écrire un jour cette phrase : « Le processus de réforme le plus important en cours au Moyen-Orient aujourd'hui se déroule en Arabie saoudite*. »
Oui, vous avez bien lu. Du genre à qui on ne la fait pas, Thomas L. Friedman est convaincu que le printemps saoudien a commencé. Après avoir rencontré Mohammed ben Salmane, le prince héritier de 32 ans, désormais aux manettes, le journaliste américain note : « Seul un fou pourrait prévoir son succès, mais seul un fou pourrait ne pas l'appuyer. » Décidé à soulever le couvercle de l'arriération du wahhabisme, tradition obscurantiste de l'Arabie saoudite, « MBS », comme on l'appelle, plaide pour un islam « ouvert au monde et à toutes les religions ».
MBS est tout sauf un doux rêveur. Si les petits cochons ne le mangent pas dans les prochains mois, le prince héritier pourrait bien faire entrer l'Arabie saoudite dans son siècle et en finir avec ses triples ou quadruples jeux, sur fond de corruption, avec les islamistes qui, tel Ben Laden jadis, sont longtemps allés à la soupe dans ses arrière-cuisines. Il a déjà lancé une gigantesque opération « mains propres » qui frappe plusieurs personnages importants (et troubles) de l'oligarchie en place. Préoccupé par la montée en puissance d'un Iran dopé par ses victoires syriennes, il entend que son pays sorte de sa congélation religieuse pour relever enfin la tête sur les plans régional et international.
Le prince Ben Salmane sera-t-il celui qui, avec le président Al-Sissi, sauvera l'islam contre lui-même ? Puisse-t-il devenir le cauchemar de nos islamo-gauchistes !
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A cause d'une fraction de leur religion, et qui sont partisans d'un islam salafiste ancien radical et extrémiste voire obscurantiste moyenâgeux et même dangereux !

Naturellement en FRANCE, ce n’est pas tous les musulmans heureusement!

Mais hélas ils y en a certains isolés dans la masse des autres et on en a déjà eu la preuve!

Alors bien sur dire cela ne plait pas au bien-pensant de tous poils et est censuré pourtant dans un pays ou la liberté d'expression en principe ne devrait pas être censurée ni occulté sauf par des modérateurs frileux !

Alors on se demande pourquoi on empêche d'appeler "un chat un chat" et pratiquer le parler vrai utile, car il n'y a pas plus pernicieux que la politique de l'autruche de pleutre !


Jdeclef 02/12/2017 11h26 LP

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