samedi 17 août 2019

Cela se confirme dans les faits, mais en ce qui concerne la ponctualité :


Retards, fréquentation, trains supprimés... Quel bilan pour la SNCF en 2018 ?

Entre les grèves et les incidents comme à Montparnasse, la SNCF a dû annuler 400 000 trains en 2018. La ponctualité, en revanche, reste stable ?

L'année 2018 a été difficile pour la SNCF, qui a notamment connu un important mouvement de grève perlée entre avril et juin, et qui a paralysé le trafic pendant plusieurs jours en gare de Montparnasse à , en plein cœur de l'été. Conséquence : 400 000 trains ont été supprimés l'an dernier contre seulement 63 000 en 2017,
Logiquement, la fréquentation a légèrement baissé. Alors que
, ils n'étaient plus que 1,35 milliard l'an passé. Cependant, elle « reste à un niveau supérieur aux années 2015 et 2016 », souligne l'Arafer dans son rapport, confirmant l'attractivité du train malgré les perturbations.

Avènement des Ouigo et déclin des trains de nuit L'année dernière a été marquée par l'avènement des Ouigo, l'offre à grande vitesse low cost de la SNCF lancée en 2013. « Le nombre de circulations Ouigo a presque doublé en 2018 », note l'Arafer, indiquant que ces trains rose et bleu représentent désormais 5,5 % du trafic à grande vitesse domestique contre 2,9 % un an plus tôt. Leur taux d'occupation s'établit à 76 %, soit 8 points de plus que pour les TGV classiques.
Dans le même temps, le taux d'occupation des trains de nuit a chuté de 9 points à seulement 36 % en 2018. Une baisse que l'Arafer explique « en partie par la fermeture de la ligne Paris-Nice-Vintimille [fin 2017] qui affichait le plus fort taux d'occupation de l'offre de nuit en 2017 ». La ligne Paris-Rodez-
-Latour de Carol,
, a dans le même temps connu une baisse de son taux d'occupation. La SNCF ne communique cependant pas la fréquentation précise de ces trains. L'offre de trains de nuit a été « fortement impactée [sic] » par les mouvements sociaux, baissant de 64 % au deuxième trimestre.

La ponctualité des trains reste stable ?

Côté ponctualité, la SNCF se maintient par rapport à 2017, affichant un taux de retard moyen de 13 %. La grève n'a pas eu d'effet significatif sur ce point, « celle-ci ayant plus impacté [sic] l'offre de service que le niveau de service ». Le taux de retard des trains du quotidien, qui représentent 88,5 % de la fréquentation, est resté stable à 12 % pour les TER, et a même légèrement reculé à 10 % (- 1 point) pour les Transilien en Île-de-FRANCE
Quant aux trains des grandes lignes, leur ponctualité s'est légèrement dégradée en 2018. Vingt-six pour cent des trains à grande vitesse domestiques sont arrivés en retard d'au moins cinq minutes (+ 1 point), 27 % des Intercités (+ 2 points) et 31 % des trains internationaux (+ 7 points). Leurs taux de retard plus importants que pour les lignes régionales s'expliquent par la plus grande distance parcourue. En prenant en compte les retards de plus de 15 minutes, on retrouve des taux similaires (11 % pour les TGV, 13 % pour les Intercités).
Dans un cas sur quatre, le retard est dû à un problème de gestion du matériel. Bien souvent – 16 à 33 % des retards –, ce sont également des causes extérieures à la SNCF (suicide, animal sur les voies, intempéries…) qui mettent à mal la ponctualité des trains. Le matériel roulant peut aussi être capricieux : il est mis en cause dans près de la moitié des annulations de TER.
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On ne peut être totalement d'accord sur ce qui n'est que des statistiques et leurs chiffres à qui l'on fait dire ce que l'on veut !

Notamment sur le parent pauvre : le RER, SNCF moi qui utilise le "D" mais il n'y a pas que celui-là, dans la région IDF, c'est presque quotidien pour ces trains qui transportent des voyageurs allant à leur travail quotidiennement et ces retards se transformant souvent par la suppression des trains incriminés par ces retards !

A çà, il faut ajouter les incidents techniques ou autres, sans oublier les actes de malveillance divers !

(Laissons de côté les grèves endémiques qui se produisent chaque année comme planifiées par la CGT ou sud rail pour différentes raisons dont certaines totalement injustifiées !)

Ce qui fait que les utilisateurs de ceux-ci, quand ils ont des rendez-vous à ne pas manquer par exemple sont obligés pour ne pas les rater de prendre 1 à 2 trains d'avance !

Et supprimer des trains sur ces lignes déjà surchargées en voyageurs ne fait qu'augmenter la mauvaise qualité des conditions de voyage déjà fatigante par l’affluence de la clientèle, car elle paie ces voyages urbains !

Et parallèlement à cela, on nous serine de prendre les transports en commun pour diminuer la pollution entre autres problèmes, il faudrait déjà qu'ils soient déjà suffisants et fiables, car le nombre de voyageurs lui, augmente !

Oh bien sûr, il y a les alertes incidents diffusées pour informer les utilisateurs qui arrivent sur les smartphones en temps à peu près réel pour ceux comme beaucoup qui en possèdent, c'est gratuit, il faut être seulement être abonné au site dédié, mais il y a tellement d'incidents divers que les messages sont continuels et nombreux (et souvent aux heures de pointes ou le trafic des trains est dense et sujet à problèmes divers pas toujours assez précis !)

Quant aux solutions apportées pour régler ces incidents, il ne faut pas rêver et surtout ne pas être pressé, car gérer ces problèmes n'est pas le point fort de la SNCF!

Jdeclef 17/08/2019 10h37LP

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